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Le président Bouteflika inaugure le 14ème Salon international du livre d’Alger
APA-Alger (Algérie) Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a ouvert ce mardi la 14ème édition du Salon International du livre Alger (Sila) sous un chapiteau blanc sur l’esplanade du complexe olympique 5 juillet, sur les hauteurs d’Alger.
Accompagné du Premier ministre, M. Ahmed Ouyahia, et de plusieurs membres du gouvernement, il a fait le tour des stands où des explications lui ont été fournies.
Outre l'exposition des livres, cette manifestation, qui aura la Palestine et l'Afrique du Sud comme invités d'honneur, prévoit des activités, des conférences et des communications sur des sujets littéraires et politiques liés à l'Algérie, au Maghreb, au monde arabe et à l'Afrique.
Cette manifestation culturelle qui s’étalera sur 10 jours (jusqu’ au 6 novembre prochain) réunit 343 éditeurs représenteront 25 pays dont l’Inde, l’Egypte, le Pérou, le Togo, la France, le Maroc et la Belgique notamment.
Pas moins de 120.000 ouvrages couvrant différentes disciplines y seront exposés.
Ces ouvrages ont été passés au peigne fin par une commission de lecture composée de fonctionnaires des ministères de la Culture et des Affaires religieuses pour éviter que la «littérature subversive» ne soit l’invitée surprise du salon.
«Les livres qui portent atteinte à la moralité ou prônent le radicalisme religieux ne sont pas admis», a précisé le commissaire général du Sila, M. Smail Ameziane, dans une conférence de presse.
Ce quatorzième Sila sera l’occasion de rendre plusieurs hommages aux hommes de cultures algériens et étrangers.
Il s’agit notamment de la romancière algérienne Ahlem Mostaghanemi, du poète palestinien Azzedine El Menasra et du militant français Francis Jeanson (disparu cette année).
En outre des tables rondes et des conférences aborderont l’œuvre de Kateb Yacine dont l’Algérie commémore le 20ème anniversaire de sa mort en 1989. Des thèmes aussi divers que l’édition en Afrique, la critique littéraire au Maghreb, la pensée arabe face à la modernité, la place du livre dans les médias algériens, les littératures sud américaines, seront également abordés.
Des auteurs des pays africains présents à Alger durant le deuxième Festival culturel panafricain (Panaf) de juillet dernier, devraient également animer des «résidences d'écriture». Dans ce même ordre d’idées, les organisateurs ont invité l'Ivoirienne Tannela Boni et le Camerounais Eugène Ebodé pour intervenir lors des conférences sur la littérature africaine entre autres.
Aucun prix littéraire n’est prévu pour ce 14ème Sila.
Accompagné du Premier ministre, M. Ahmed Ouyahia, et de plusieurs membres du gouvernement, il a fait le tour des stands où des explications lui ont été fournies.
Outre l'exposition des livres, cette manifestation, qui aura la Palestine et l'Afrique du Sud comme invités d'honneur, prévoit des activités, des conférences et des communications sur des sujets littéraires et politiques liés à l'Algérie, au Maghreb, au monde arabe et à l'Afrique.
Cette manifestation culturelle qui s’étalera sur 10 jours (jusqu’ au 6 novembre prochain) réunit 343 éditeurs représenteront 25 pays dont l’Inde, l’Egypte, le Pérou, le Togo, la France, le Maroc et la Belgique notamment.
Pas moins de 120.000 ouvrages couvrant différentes disciplines y seront exposés.
Ces ouvrages ont été passés au peigne fin par une commission de lecture composée de fonctionnaires des ministères de la Culture et des Affaires religieuses pour éviter que la «littérature subversive» ne soit l’invitée surprise du salon.
«Les livres qui portent atteinte à la moralité ou prônent le radicalisme religieux ne sont pas admis», a précisé le commissaire général du Sila, M. Smail Ameziane, dans une conférence de presse.
Ce quatorzième Sila sera l’occasion de rendre plusieurs hommages aux hommes de cultures algériens et étrangers.
Il s’agit notamment de la romancière algérienne Ahlem Mostaghanemi, du poète palestinien Azzedine El Menasra et du militant français Francis Jeanson (disparu cette année).
En outre des tables rondes et des conférences aborderont l’œuvre de Kateb Yacine dont l’Algérie commémore le 20ème anniversaire de sa mort en 1989. Des thèmes aussi divers que l’édition en Afrique, la critique littéraire au Maghreb, la pensée arabe face à la modernité, la place du livre dans les médias algériens, les littératures sud américaines, seront également abordés.
Des auteurs des pays africains présents à Alger durant le deuxième Festival culturel panafricain (Panaf) de juillet dernier, devraient également animer des «résidences d'écriture». Dans ce même ordre d’idées, les organisateurs ont invité l'Ivoirienne Tannela Boni et le Camerounais Eugène Ebodé pour intervenir lors des conférences sur la littérature africaine entre autres.
Aucun prix littéraire n’est prévu pour ce 14ème Sila.
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