Illusion....
Te voila encore,
On dirait un fantome,
Obstacle a l'espoir de l'humanite,
Tu te dresses heroique et menacante,
Avec ta taille de geante
Qui saurait te resister?
Virtuose de la mechancete,
Tu pretends n'avoir pas de nom..
Pourtant, tu n'es pas une etrangere
Qui ne te connait guere ?
Deception, desillusion, desaveu
Deconvenue, dedain..
Tu traines apres toi ce manteau ecarlate
Laissant degouliner
Le sang vif des coeurs blesses,
Ton visage diabolique
Abrite un sourire sardonique.
Tout en toi est aneantissement
Jamais rassasie
Appetit mal calme,
Avalant tout gloutonnement,
Riches et pauvres
Jeunes et vieux
Sans pitie et sans distinction...
Tu emboites le pas a tes victimes
Pour les ecraser par devant..
Dans tes mains , ces doubles chaines
Alourdissant l'espoir vain et futile
Pour les vaincus et les souffrants,
Tu fais toujours semblant.
Tu fais le mal, tu le refais
Quel malin plaisir!! Tu t'en balances !!
C'est fini... tu n'as plus de place
Tu m'attristes et je me lasse
Rends moi la liberte
Dont tu m'as depouillee
Redonne- moi ma naivete
Car tu l'as profanee.
C'est mon destin.. tu ne m'apprends rien :
Consoler par le chagrin mon coeur en peine d'emotions.
Il est peut-etre en biais,
Peine perdue,
Ne t'efforce plus!
Docile et conciliante ecoliere sentimentale,
Me voila deja au seuil d'un apprentissage sans egal!!!!
Suzanna le 28 octobre 2009
Te voila encore,
On dirait un fantome,
Obstacle a l'espoir de l'humanite,
Tu te dresses heroique et menacante,
Avec ta taille de geante
Qui saurait te resister?
Virtuose de la mechancete,
Tu pretends n'avoir pas de nom..
Pourtant, tu n'es pas une etrangere
Qui ne te connait guere ?
Deception, desillusion, desaveu
Deconvenue, dedain..
Tu traines apres toi ce manteau ecarlate
Laissant degouliner
Le sang vif des coeurs blesses,
Ton visage diabolique
Abrite un sourire sardonique.
Tout en toi est aneantissement
Jamais rassasie
Appetit mal calme,
Avalant tout gloutonnement,
Riches et pauvres
Jeunes et vieux
Sans pitie et sans distinction...
Tu emboites le pas a tes victimes
Pour les ecraser par devant..
Dans tes mains , ces doubles chaines
Alourdissant l'espoir vain et futile
Pour les vaincus et les souffrants,
Tu fais toujours semblant.
Tu fais le mal, tu le refais
Quel malin plaisir!! Tu t'en balances !!
C'est fini... tu n'as plus de place
Tu m'attristes et je me lasse
Rends moi la liberte
Dont tu m'as depouillee
Redonne- moi ma naivete
Car tu l'as profanee.
C'est mon destin.. tu ne m'apprends rien :
Consoler par le chagrin mon coeur en peine d'emotions.
Il est peut-etre en biais,
Peine perdue,
Ne t'efforce plus!
Docile et conciliante ecoliere sentimentale,
Me voila deja au seuil d'un apprentissage sans egal!!!!
Suzanna le 28 octobre 2009
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