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Mondial 2010 : le match Égypte - Algérie déchaîne toutes les passions
Les deux équipés doivent se rencontrer dans le cadre des éliminatoires jumelées CAN - Coupe du monde de football 2010
Le match devant opposer les Algériens à leurs homologues égyptiens pour le compte des éliminatoires jumelées Coupe du monde et Coupe d’Afrique des nations, le 14 novembre prochain, déchaîne les passions dans les deux pays. Côté algérien, la Fédération de football s’est assigné la tache de dépassionner cette empoignade en dépêchant au Caire des émissaires.
Le récent séjour, mi-octobre, de Mohamed Raouraoua, président de la Fédération algérienne de football, dans la capitale égyptienne, s’inscrit dans la volonté réciproque de dépassionner la confrontation décisive entre les deux pays, le 14 novembre prochain. Elle comptera pour les éliminatoires jumelées Coupe du monde et Coupe d’Afrique des nations. Une démarche fructueuse puisque cette intervention a réussi à tempérer les ardeurs des Egyptiens qui étaient allés jusqu’à critiquer l’histoire de l’Algérie, et la Guerre de Libération nationale en particulier.
Le secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé de la communication, M. Azzedine Mihoubi, s’est également rendu en Egypte pour apaiser autant que faire ce peu les esprits. Il a tenu à réitérer devant les médias égyptiens, le 18 octobre, que les relations algéro-égyptiennes "vont au-delà d’une rencontre de football quel qu’en soit le résultat".
La rencontre Egypte-Algérie n’est aux yeux du secrétaire d’Etat chargé de la communication qu’un derby nord africain. Il a précisé que les derbies sont souvent sujets de tensions, mais cependant « doivent être caractérisés par le fair-play ». Pour M. Mihoubi chacune des deux sélections ambitionne de dominer la région Nord africaine, ce qui explique l’état d’effervescence qui marque des rencontres aussi importantes. L’émissaire algérien aux yeux duquel "l’histoire témoigne des bonnes relations qui lient les deux pays et tout discours contraire n’a comme finalité que le show médiatique" est très sollicité par les médias égyptiens qui s’intéressent de très près au climat psychologique qui prévaut dans les deux pays à mesure que le jour « J » approche.
Dans la même logique, M. Mihoubi recommande l’organisation des rencontres amicales entre les clubs et les sélections des deux pays afin de lever les susceptibilités, ainsi que des rencontres entre les journalistes algériens et égyptiens.
Côté préparation, un vol spécial a été pour la sélection algérienne qui préparera ce rendez-vous dans de meilleures conditions dans la capitale égyptienne où les responsables algériens n’ont rien laissé au hasard. Les camarades de Lounes Gaouaoui se disent prêts à la bataille pour la qualification, mais sans plus puisque tenus de ne tenir aucune déclaration à la presse afin d’éviter de faire monter la tension déjà à son paroxysme.
Un voyage par bateau est aussi à l’étude au sein des instances algérienne pour permettre aux supporters algériens d’effectuer le déplacement en Egypte.
AFRIK
Les deux équipés doivent se rencontrer dans le cadre des éliminatoires jumelées CAN - Coupe du monde de football 2010
Le match devant opposer les Algériens à leurs homologues égyptiens pour le compte des éliminatoires jumelées Coupe du monde et Coupe d’Afrique des nations, le 14 novembre prochain, déchaîne les passions dans les deux pays. Côté algérien, la Fédération de football s’est assigné la tache de dépassionner cette empoignade en dépêchant au Caire des émissaires.
Le récent séjour, mi-octobre, de Mohamed Raouraoua, président de la Fédération algérienne de football, dans la capitale égyptienne, s’inscrit dans la volonté réciproque de dépassionner la confrontation décisive entre les deux pays, le 14 novembre prochain. Elle comptera pour les éliminatoires jumelées Coupe du monde et Coupe d’Afrique des nations. Une démarche fructueuse puisque cette intervention a réussi à tempérer les ardeurs des Egyptiens qui étaient allés jusqu’à critiquer l’histoire de l’Algérie, et la Guerre de Libération nationale en particulier.
Le secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé de la communication, M. Azzedine Mihoubi, s’est également rendu en Egypte pour apaiser autant que faire ce peu les esprits. Il a tenu à réitérer devant les médias égyptiens, le 18 octobre, que les relations algéro-égyptiennes "vont au-delà d’une rencontre de football quel qu’en soit le résultat".
La rencontre Egypte-Algérie n’est aux yeux du secrétaire d’Etat chargé de la communication qu’un derby nord africain. Il a précisé que les derbies sont souvent sujets de tensions, mais cependant « doivent être caractérisés par le fair-play ». Pour M. Mihoubi chacune des deux sélections ambitionne de dominer la région Nord africaine, ce qui explique l’état d’effervescence qui marque des rencontres aussi importantes. L’émissaire algérien aux yeux duquel "l’histoire témoigne des bonnes relations qui lient les deux pays et tout discours contraire n’a comme finalité que le show médiatique" est très sollicité par les médias égyptiens qui s’intéressent de très près au climat psychologique qui prévaut dans les deux pays à mesure que le jour « J » approche.
Dans la même logique, M. Mihoubi recommande l’organisation des rencontres amicales entre les clubs et les sélections des deux pays afin de lever les susceptibilités, ainsi que des rencontres entre les journalistes algériens et égyptiens.
Côté préparation, un vol spécial a été pour la sélection algérienne qui préparera ce rendez-vous dans de meilleures conditions dans la capitale égyptienne où les responsables algériens n’ont rien laissé au hasard. Les camarades de Lounes Gaouaoui se disent prêts à la bataille pour la qualification, mais sans plus puisque tenus de ne tenir aucune déclaration à la presse afin d’éviter de faire monter la tension déjà à son paroxysme.
Un voyage par bateau est aussi à l’étude au sein des instances algérienne pour permettre aux supporters algériens d’effectuer le déplacement en Egypte.
AFRIK