La ministre de la Justice française Michèle Alliot-Marie a annoncé de nouvelles mesures pour lutter contre les violences conjugales, et notamment la mise en place d’une expérimentation à Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour équiper des personnes battues de "portables d’urgence’’.
La ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a dévoilé quatre nouvelles mesures pour lutter contre les violences conjugales. La principale consiste en une expérience qui sera menée à Bobigny (Seine-saint-Denis), à partir du 23 novembre. Elle part du principe que les bracelets électroniques qui alertent les autorités à l’approche du conjoint violent, ne peuvent être placés que sur les personnes déjà condamnées, et que c’est en amont qu’il faut agir.
Il s’agira donc d'équiper une vingtaine de femmes - ou d’hommes - battu(e)s de portables d’urgence”, explique la ministre. Leur manipulation sera simplifiée pour qu’ils puissent être facile à utiliser, même en cas de pic de stress : “il suffira d’appuyer sur un bouton pour alerter la police, qui enverra immédiatement une équipe”, détaille Michèle Alliot-Marie, qui espère un effet dissuasif.
LeMatin.ch
Et les hommes battus, on les oublie. Qui leur portera secours ?
La ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a dévoilé quatre nouvelles mesures pour lutter contre les violences conjugales. La principale consiste en une expérience qui sera menée à Bobigny (Seine-saint-Denis), à partir du 23 novembre. Elle part du principe que les bracelets électroniques qui alertent les autorités à l’approche du conjoint violent, ne peuvent être placés que sur les personnes déjà condamnées, et que c’est en amont qu’il faut agir.
Il s’agira donc d'équiper une vingtaine de femmes - ou d’hommes - battu(e)s de portables d’urgence”, explique la ministre. Leur manipulation sera simplifiée pour qu’ils puissent être facile à utiliser, même en cas de pic de stress : “il suffira d’appuyer sur un bouton pour alerter la police, qui enverra immédiatement une équipe”, détaille Michèle Alliot-Marie, qui espère un effet dissuasif.
LeMatin.ch
Et les hommes battus, on les oublie. Qui leur portera secours ?
Commentaire