Bonjour tout le monde,
Aujourd'hui j'ai eu une petite discussion avec une collègue du Master (pour la première fois, avant je ne connaissais même pas son nom). Au bout de quelques mots elle m'a dit qu'elle en était à sa première année en France, et qu'elle vivait seule et sans amis (en dehors de notre petite classe de master). Elle m'a dit qu'elle trouvait la vie à Rennes trop monotone (j'ai acquiescé) et qu'elle avait beaucoup de mal à ouvrir ses cahiers pour réviser.
A la fin le mot est tombé: la dépression.
Elle a peur de tomber dedans et visiblement elle ne sait pas trop quoi faire pour l'éviter. Ses confessions m'ont rappelé l'état dans lequel j'étais il y a deux ans, et ça m'a fait peur (pour elle).
Je lui ai donné l'adresse du service universitaire de médecine préventive en l'incitant vivement à "faire le premier pas" pour ne pas tomber dans le piège, mais je ne voulais pas aller plus loin.
Donc question aux spécialistes: qu'auriez-vous dit d'autre ?
Aujourd'hui j'ai eu une petite discussion avec une collègue du Master (pour la première fois, avant je ne connaissais même pas son nom). Au bout de quelques mots elle m'a dit qu'elle en était à sa première année en France, et qu'elle vivait seule et sans amis (en dehors de notre petite classe de master). Elle m'a dit qu'elle trouvait la vie à Rennes trop monotone (j'ai acquiescé) et qu'elle avait beaucoup de mal à ouvrir ses cahiers pour réviser.
A la fin le mot est tombé: la dépression.
Elle a peur de tomber dedans et visiblement elle ne sait pas trop quoi faire pour l'éviter. Ses confessions m'ont rappelé l'état dans lequel j'étais il y a deux ans, et ça m'a fait peur (pour elle).
Je lui ai donné l'adresse du service universitaire de médecine préventive en l'incitant vivement à "faire le premier pas" pour ne pas tomber dans le piège, mais je ne voulais pas aller plus loin.
Donc question aux spécialistes: qu'auriez-vous dit d'autre ?
Commentaire