En marge de l’ouverture du Salon international de l’enfant, un éditeur a sollicité l’aide du ministre de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbas pour éditer en Algérie des livres pour enfants, qui sont généralement importés. Car «un livre édité chez nous revient deux fois plus cher qu’un livre importé».
Ould Abbas a promis de voir ce qu’il peut faire, mais à condition que l’édition soit en langue arabe. Ceci alors que le ministre s’exprimait dans la langue de Voltaire.
Par le Soir
Ould Abbas a promis de voir ce qu’il peut faire, mais à condition que l’édition soit en langue arabe. Ceci alors que le ministre s’exprimait dans la langue de Voltaire.
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