Lorsque j'ai été aimé, puisque OUI, je le jure, je l'ai été,
Il faisait beau sur ma vie, comme en plein mois d'été !
Inutile de sortir le parapluie lorsqu'il pleuvait,
Parce qu'on était là tous les deux, pourquoi s’en abriter !
Lorsque j'ai été aimé, j'en doute maintenant l'avoir été,
Je n'avais peur de rien, ni de personne, ni de l'éternité.
Elle était la seule, l'unique et tout ça me convenait.
Je n'avais d'autre rivage que celui de ses baisers,
Ni d'autre horizon, que les courbes de son corps aimé !
Elle donnait la raison à mes moments de doutes torturés
Et caressait mes peurs pour mieux les apprivoiser !
Elle savait tout de moi, mon futur, mon présent, (un peu de) mon passé,
Mais préférait les plans que tous les deux on faisait !
Lorsque j'ai été aimé, même si je sais ne l'avoir jamais été,
Je ne vivais que pour les heures où on allait se retrouver.
On pouvait alors passer des journées sans se parler,
Accroché à l'autre, par la pensée et dans nos yeux nous noyer,
Sans que cela n'entrave le monde autour qui s'entretuait,
Ni notre bonheur d'être deux et de s'aimer !
Je croyais en Elle et en l'amour, plus qu'en l'Humanité,
Et j'ai donné mon cœur pour toujours, mais Elle je ne l'aurai jamais…
Il faisait beau sur ma vie, comme en plein mois d'été !
Inutile de sortir le parapluie lorsqu'il pleuvait,
Parce qu'on était là tous les deux, pourquoi s’en abriter !
Lorsque j'ai été aimé, j'en doute maintenant l'avoir été,
Je n'avais peur de rien, ni de personne, ni de l'éternité.
Elle était la seule, l'unique et tout ça me convenait.
Je n'avais d'autre rivage que celui de ses baisers,
Ni d'autre horizon, que les courbes de son corps aimé !
Elle donnait la raison à mes moments de doutes torturés
Et caressait mes peurs pour mieux les apprivoiser !
Elle savait tout de moi, mon futur, mon présent, (un peu de) mon passé,
Mais préférait les plans que tous les deux on faisait !
Lorsque j'ai été aimé, même si je sais ne l'avoir jamais été,
Je ne vivais que pour les heures où on allait se retrouver.
On pouvait alors passer des journées sans se parler,
Accroché à l'autre, par la pensée et dans nos yeux nous noyer,
Sans que cela n'entrave le monde autour qui s'entretuait,
Ni notre bonheur d'être deux et de s'aimer !
Je croyais en Elle et en l'amour, plus qu'en l'Humanité,
Et j'ai donné mon cœur pour toujours, mais Elle je ne l'aurai jamais…
Commentaire