Alouane Ahmed faisait trembler l’armée française au point où on le surnomma Alouane le diable Les 21 + 1, à leur tête Musapha Ben Boulaïd ont pesé de tout leurs poids pour que la haute et basse Kabylie soient reconnues comme zone 3 et que le comité des 5 soit élargi à Krim Belkacem et devienne comité des 6.
Krim Belkacem deviendra le principal négociateur des accords d’Evian. L’effectif du 1re Novembre 1954 dans la Wilaya III avoisinait les 450 combattants et Alouane Ahmed dit Ahmed le chitane faisait partie de ce contingent.
Alouane Ahmed est issu d’une famille pauvre et modeste. Très jeune, il avait la fibre patriotique pour devenir l’un des grands symboles de la révolution armée dans la région de Bordj Menaïl. Malheureusement, il est méconnu aujourd’hui même par les citoyens de cette ville car aucun hommage ne lui a été rendu par les autorités locales, à l’instar d’autres chouhada jetés à l’oubliette.
En effet, Alouane Ahmeds’est battu dès sa jeunesse pour la libration de son pays et que pour les futures générations vivent dans la paix et la dignité. Son esprit et son attachement à sa patrie lui ont permis de rejoindre ses frères maquisards qui combattaient dans les montagnes de l’Algérie profonde.
Personne ne sait actuellement où il est mort, mais tout ce que nous savons, c’est qu’il est ignoré et qu’il n’est qu’un exemple parmi des milliers d’autres.
C’est le moment ou jamais pour qu’un hommage soit rendu à cet «emblème national ainsi qu’à d’autres à l’image des Benmansour Sadek, Abbas Abdelkader, Rebihi Djillali, Bouhamadache, Djelloul Salah, Meflah Ahmed, Chouchane.
La liste est beaucoup trop longue que l’on nous pardonne de ne pas pouvoir les citer tous.
Gloire à nos martyrs.
par Kouider Djouab, La Nouvelle République
Krim Belkacem deviendra le principal négociateur des accords d’Evian. L’effectif du 1re Novembre 1954 dans la Wilaya III avoisinait les 450 combattants et Alouane Ahmed dit Ahmed le chitane faisait partie de ce contingent.
Alouane Ahmed est issu d’une famille pauvre et modeste. Très jeune, il avait la fibre patriotique pour devenir l’un des grands symboles de la révolution armée dans la région de Bordj Menaïl. Malheureusement, il est méconnu aujourd’hui même par les citoyens de cette ville car aucun hommage ne lui a été rendu par les autorités locales, à l’instar d’autres chouhada jetés à l’oubliette.
En effet, Alouane Ahmeds’est battu dès sa jeunesse pour la libration de son pays et que pour les futures générations vivent dans la paix et la dignité. Son esprit et son attachement à sa patrie lui ont permis de rejoindre ses frères maquisards qui combattaient dans les montagnes de l’Algérie profonde.
Personne ne sait actuellement où il est mort, mais tout ce que nous savons, c’est qu’il est ignoré et qu’il n’est qu’un exemple parmi des milliers d’autres.
C’est le moment ou jamais pour qu’un hommage soit rendu à cet «emblème national ainsi qu’à d’autres à l’image des Benmansour Sadek, Abbas Abdelkader, Rebihi Djillali, Bouhamadache, Djelloul Salah, Meflah Ahmed, Chouchane.
La liste est beaucoup trop longue que l’on nous pardonne de ne pas pouvoir les citer tous.
Gloire à nos martyrs.
par Kouider Djouab, La Nouvelle République
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