Des marocains auraient été expulsés d’Algérie, illégalement, en 1975.
Une organisation marocaine a appelé, avant-hier, l’Organisation des nations unies, (ONU), « à ouvrir une enquête internationale sur les crimes commis par le régime algérien contre les ressortissants marocains, victimes d’expulsion illégale de l’Algérie, en 1975 ».
Dans un communiqué rendu public par cette organisation, qui prétend défendre les droits des marocains « expulsés d’Algérie », à l’occasion du 55e anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale, regrette ce qu’elle a qualifié d’une« conduite abjecte » du système algérien, notamment en ce qui concerne les crimes perpétrés contre les marocains, à Sebkha, près la ville d’Oran. Elle a appelé à « traduire les auteurs de ces crimes devant la justice ». Par contre, l’association a rendu hommage « aux efforts de bonne intention, fournis par le Maroc, dans l’objectif de l’ouverture des frontières des deux pays et par la suite, rassembler les membres des familles déchirées, et raffermir les liens de paix et de coopération entre les deux peuples frères ». Dans ce sens, les efforts de cette organisation s’inscrivent dans le contexte des pressions exercées sur l’Algérie pour l’ouverture des frontières terrestres entre les deux pays, fermées depuis l’attentat de Marrakech, en 1994
Par ailleurs, la même association a indiqué dans le même communiqué que « les soldats algériens et leurs frères marocains se rappellent bien de ces moments de fierté, mais avec beaucoup de regrets aussi, car dès l’annonce de l’indépendance de l’Algérie, le régime algérien avait procédé à l’expulsion des milliers de marocains qui résidaient en Algérie ».
Pire encore, l’association marocaine prétend que « des milliers de marocains ont subi des actes de torture et le déchirement familial ». Elle n’a pas cessé d’appeler pour l’ouverture des frontières. « Quelques rues algériennes portaient des noms des chahid marocains », soutient-t-elle, dans une tentative de falsifier l’histoire de la glorieuse Guerre de libération nationale. Ces prétentions et accusations nous renseignent sur le degré de la confusion à laquelle fait face le palais royal marocain, qui fait face aux pressions internes. Celui-ci, vu son incapacité à trouver les solutions au malaise social, a eu recours, comme d’habitude, aux accusations portées contre l’Algérie, afin de justifier son échec.
El Khabar.
Une organisation marocaine a appelé, avant-hier, l’Organisation des nations unies, (ONU), « à ouvrir une enquête internationale sur les crimes commis par le régime algérien contre les ressortissants marocains, victimes d’expulsion illégale de l’Algérie, en 1975 ».
Dans un communiqué rendu public par cette organisation, qui prétend défendre les droits des marocains « expulsés d’Algérie », à l’occasion du 55e anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale, regrette ce qu’elle a qualifié d’une« conduite abjecte » du système algérien, notamment en ce qui concerne les crimes perpétrés contre les marocains, à Sebkha, près la ville d’Oran. Elle a appelé à « traduire les auteurs de ces crimes devant la justice ». Par contre, l’association a rendu hommage « aux efforts de bonne intention, fournis par le Maroc, dans l’objectif de l’ouverture des frontières des deux pays et par la suite, rassembler les membres des familles déchirées, et raffermir les liens de paix et de coopération entre les deux peuples frères ». Dans ce sens, les efforts de cette organisation s’inscrivent dans le contexte des pressions exercées sur l’Algérie pour l’ouverture des frontières terrestres entre les deux pays, fermées depuis l’attentat de Marrakech, en 1994
Par ailleurs, la même association a indiqué dans le même communiqué que « les soldats algériens et leurs frères marocains se rappellent bien de ces moments de fierté, mais avec beaucoup de regrets aussi, car dès l’annonce de l’indépendance de l’Algérie, le régime algérien avait procédé à l’expulsion des milliers de marocains qui résidaient en Algérie ».
Pire encore, l’association marocaine prétend que « des milliers de marocains ont subi des actes de torture et le déchirement familial ». Elle n’a pas cessé d’appeler pour l’ouverture des frontières. « Quelques rues algériennes portaient des noms des chahid marocains », soutient-t-elle, dans une tentative de falsifier l’histoire de la glorieuse Guerre de libération nationale. Ces prétentions et accusations nous renseignent sur le degré de la confusion à laquelle fait face le palais royal marocain, qui fait face aux pressions internes. Celui-ci, vu son incapacité à trouver les solutions au malaise social, a eu recours, comme d’habitude, aux accusations portées contre l’Algérie, afin de justifier son échec.
El Khabar.
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