Le cas confirmé de grippe porcine au village Maâmar dans la région de Draâ El Mizan dont le patient âgé de cinquante-sept ans émigré en France rentré au pays à la fin du mois d’octobre commence à semer l’inquiétude dans toute la localité.
Depuis dimanche, quand les services de la santé s’étaient déplacés jusqu’au domicile du malade afin d’examiner ses proches et ses voisins, ce cas anime toutes les discussions.
Tout le monde se demande comment ce passager a pu rentrer à l’aéroport sans qu’il ne soit détecté. “Pourtant, on parle d’un contrôle strict aux frontières. Comment se monsieur a-t-il alors franchi sans encombres les contrôles douaniers ?”, demande un jeune à un autre attablé sur la terrasse d’un café. Il faut dire que toutes les personnes ayant appris ce cas sont plongées dans une psychose. “En principe, il faudrait que cette information soit affichée partout. Et demander aux citoyens de prendre toutes les précautions : telle limiter les embrassades, les contacts directs entre personnes, se laver les mains avec du savon de préférence liquide à chaque sortie du domicile ou à chaque retour”, dit un vieux à un autre.
Ce cas inquiète les habitants qui se posent des questions sur l’indisponibilité des vaccins. “Nous attendons l’arrivée des vaccins contre la grippe, en vain. On ne sait pas quand ils seront prêts.
Il faut dire que cette année; ils vont manquer. On dit qu’ils ne seront disponibles que dans les structures sanitaires de l’état”, dit un vieux à un autre venu s’enquérir chez un pharmacien.
Le problème commence à devenir sérieux. “Puisque le virus se propose par voie aérienne, comment éviter cette propagation ?”, quelles sont les dispositions à prendre afin de faire face à une quelconque épidémie.
Durant une virée sur les lieux, il nous a été donné de voir que tout le personnel était sur le qui -vive. Tout le monde porte des bavettes. “Il n’y a pas lieux de s’alarmer. Il y a eu d’autres cas dans d’autres régions; mais ce n’est pas encore grave. La vigilance doit être de mise.
Chacun doit respecter la conduite à tenir devant cette situation”, nous a déclaré une source locale ayant requis l’anonymat. Enfin, c’est dans les écoles, dans les lycées et dans les collèges que doivent être respectées les mesures préconisées par le secteur sanitaire.
Par la Dépêche de Kabylie
Depuis dimanche, quand les services de la santé s’étaient déplacés jusqu’au domicile du malade afin d’examiner ses proches et ses voisins, ce cas anime toutes les discussions.
Tout le monde se demande comment ce passager a pu rentrer à l’aéroport sans qu’il ne soit détecté. “Pourtant, on parle d’un contrôle strict aux frontières. Comment se monsieur a-t-il alors franchi sans encombres les contrôles douaniers ?”, demande un jeune à un autre attablé sur la terrasse d’un café. Il faut dire que toutes les personnes ayant appris ce cas sont plongées dans une psychose. “En principe, il faudrait que cette information soit affichée partout. Et demander aux citoyens de prendre toutes les précautions : telle limiter les embrassades, les contacts directs entre personnes, se laver les mains avec du savon de préférence liquide à chaque sortie du domicile ou à chaque retour”, dit un vieux à un autre.
Ce cas inquiète les habitants qui se posent des questions sur l’indisponibilité des vaccins. “Nous attendons l’arrivée des vaccins contre la grippe, en vain. On ne sait pas quand ils seront prêts.
Il faut dire que cette année; ils vont manquer. On dit qu’ils ne seront disponibles que dans les structures sanitaires de l’état”, dit un vieux à un autre venu s’enquérir chez un pharmacien.
Le problème commence à devenir sérieux. “Puisque le virus se propose par voie aérienne, comment éviter cette propagation ?”, quelles sont les dispositions à prendre afin de faire face à une quelconque épidémie.
Durant une virée sur les lieux, il nous a été donné de voir que tout le personnel était sur le qui -vive. Tout le monde porte des bavettes. “Il n’y a pas lieux de s’alarmer. Il y a eu d’autres cas dans d’autres régions; mais ce n’est pas encore grave. La vigilance doit être de mise.
Chacun doit respecter la conduite à tenir devant cette situation”, nous a déclaré une source locale ayant requis l’anonymat. Enfin, c’est dans les écoles, dans les lycées et dans les collèges que doivent être respectées les mesures préconisées par le secteur sanitaire.
Par la Dépêche de Kabylie
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