Suspendue à la prose comment le dire
Il portait un diamant bleu en forme de miroir
Il portait le savoir même dans le noir
Transparent envoûtant et chantant
Ces volutes dansaient l’air du présent
Accrochant tes étoiles à l’embrun de mes yeux
Caressant d’un geste tendre un regard amoureux
Suspendant sans effort le temps qui enlace
Et se nicher dedans par instinct c’est si bien
Accrochant tes étoiles à l’embrun de mes yeux
Accrochant mes pensées pas réveillées
A la lumière éclairé de ta douceur
A contre courrant moi je rame souvent
Nageant dans l’humour tu en ris toujours
Accrochant tes étoiles à l’embrun de mes yeux
Percevant l’horizon infini comme une ligne rectiligne
Qui s’efface et retrace à mesure que le temps passe
Une absence un silence un chemin que l’on traverse
Un chant de tendresse me rappelle sereine
Accrochant tes étoiles à l’embrun de mes yeux
Un pont qui relie le profond au rivage
Et unit l’horizon au citron acide et aride
comme un désert de l’univers
Puis prends l’esquive, la tangente
Et parcourt sans frontière à travers un prisme
qui grandit réfléchis
Microcosme aussi
Accrochant tes étoiles à l’embrun de mes yeux
Un sillon très profond se creuse comme un puit
et s'enfuit la cuirasse
Profonde de l’univers en délire
qui délite et murmure
Non je ne te reconnais point
Suis demain qui efface
Puis dessine les contours de ton âme
Alors ressent ce que tu ne vois pas
Je suis là enfouis en toi
Accrochant mes étoiles à l’embrun de tes yeux.
morjane
07/01/06
Il portait un diamant bleu en forme de miroir
Il portait le savoir même dans le noir
Transparent envoûtant et chantant
Ces volutes dansaient l’air du présent
Accrochant tes étoiles à l’embrun de mes yeux
Caressant d’un geste tendre un regard amoureux
Suspendant sans effort le temps qui enlace
Et se nicher dedans par instinct c’est si bien
Accrochant tes étoiles à l’embrun de mes yeux
Accrochant mes pensées pas réveillées
A la lumière éclairé de ta douceur
A contre courrant moi je rame souvent
Nageant dans l’humour tu en ris toujours
Accrochant tes étoiles à l’embrun de mes yeux
Percevant l’horizon infini comme une ligne rectiligne
Qui s’efface et retrace à mesure que le temps passe
Une absence un silence un chemin que l’on traverse
Un chant de tendresse me rappelle sereine
Accrochant tes étoiles à l’embrun de mes yeux
Un pont qui relie le profond au rivage
Et unit l’horizon au citron acide et aride
comme un désert de l’univers
Puis prends l’esquive, la tangente
Et parcourt sans frontière à travers un prisme
qui grandit réfléchis
Microcosme aussi
Accrochant tes étoiles à l’embrun de mes yeux
Un sillon très profond se creuse comme un puit
et s'enfuit la cuirasse
Profonde de l’univers en délire
qui délite et murmure
Non je ne te reconnais point
Suis demain qui efface
Puis dessine les contours de ton âme
Alors ressent ce que tu ne vois pas
Je suis là enfouis en toi
Accrochant mes étoiles à l’embrun de tes yeux.
morjane
07/01/06
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