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M. Mourad Medelci a annoncé hier qu'une société privée allait bientot émettre des obligations et serait ainsi la première à investir le marché obligataire algérien. Des rumeurs ont laissé entendre qu'il s'agirait de Cevital mais rien n'a filtré et il faut attendre encore un peu pour le savoir.
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“Dans les prochains jours, une première société privée va intervenir sur le marché obligataire”, a-t-il dit en réponse à des questions orales des membres de l’Assemblée populaire nationale (APN), sans donner de précisions sur le nom ou l’activité de cette société. Allusion sans doute au groupe privé Cevital détenu par l’industriel Issad Rebrab.
Interrogé par l’APS sur la nationalité de cette société, M. Medelci a répondu : “C’est une entreprise algérienne, une grosse entreprise dont les activités marchent bien.”
Depuis 2004, plusieurs entreprises publiques, dont la Sonelgaz et Air Algérie, ont investi le marché des obligations afin de mobiliser des financements nécessaires à la modernisation et à l’élargissement de leurs activités.
Quant à la “réanimation” de la Bourse d’Alger, souhaitée par un député, M. Medelci s’est limité à souligner que cela “se fera systématiquement, une fois que le secteur privé aura trouvé toute sa place dans l’économie”.
Source: APS
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“Dans les prochains jours, une première société privée va intervenir sur le marché obligataire”, a-t-il dit en réponse à des questions orales des membres de l’Assemblée populaire nationale (APN), sans donner de précisions sur le nom ou l’activité de cette société. Allusion sans doute au groupe privé Cevital détenu par l’industriel Issad Rebrab.
Interrogé par l’APS sur la nationalité de cette société, M. Medelci a répondu : “C’est une entreprise algérienne, une grosse entreprise dont les activités marchent bien.”
Depuis 2004, plusieurs entreprises publiques, dont la Sonelgaz et Air Algérie, ont investi le marché des obligations afin de mobiliser des financements nécessaires à la modernisation et à l’élargissement de leurs activités.
Quant à la “réanimation” de la Bourse d’Alger, souhaitée par un député, M. Medelci s’est limité à souligner que cela “se fera systématiquement, une fois que le secteur privé aura trouvé toute sa place dans l’économie”.
Source: APS