ALGERIE. Le projet d’approvisionnement de l’Europe en gaz naturel algérien par le biais du projet Medgaz, gazoduc reliant directement l’Algérie à l’Espagne sans passer par le Maroc, a pris un trimestre de retard.
Les essais de mise en service n’auront lieu qu’au mois de mars 2010, officiellement du fait de retard dans la livraison de certains équipements.
Mais pour le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, le problème réside plutôt dans un désaccord avec les entreprises espagnoles au sujet du prix et de la distribution des produits de Sonatrach en Espagne.
Ce projet de 900 M€, qui vise à accroître les exportations de gaz algérien en direction de l'Europe, est réalisé par un consortium regroupant la société publique algérienne Sonatrach (36%), les entreprises espagnoles Cepsa (20%), Iberdrola (20%) et Endesa (12%) ainsi que le français Gaz de France (12%).
© Copyright Econostrum
Les essais de mise en service n’auront lieu qu’au mois de mars 2010, officiellement du fait de retard dans la livraison de certains équipements.
Mais pour le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, le problème réside plutôt dans un désaccord avec les entreprises espagnoles au sujet du prix et de la distribution des produits de Sonatrach en Espagne.
Ce projet de 900 M€, qui vise à accroître les exportations de gaz algérien en direction de l'Europe, est réalisé par un consortium regroupant la société publique algérienne Sonatrach (36%), les entreprises espagnoles Cepsa (20%), Iberdrola (20%) et Endesa (12%) ainsi que le français Gaz de France (12%).
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