********** - Le Maroc a regretté aujourd’hui par la voix de son ministre des Affaires étrangères, qu’aucune avancée ne soit réalisée dans ses relations avec l’Algérie, soit l’adhésion à un processus de contact ou de normalisation, en allusion à l’ouverture des frontières terrestres entre les deux pays.
Taïeb Fassi-Fehri, chef de la diplomatie marocaine, a souligné que "la normalisation et l’échange diplomatique avec Israël ne sont pas à l’ordre du jour, dans le contexte actuel," signalant que "le Maroc s’est rallié à l’initiative de paix arabe, et partant, il ne peut pas encourager les différentes parties à aller de l’avant en matière de processus de paix".
Au sujet de l’état des relations entre son pays et l’Algérie, Fassi-Fehri a affirmé qu'"il est regrettable que les relations entre le Maroc et l’Algérie, n’aient connu aucune avancée. Le Maroc déplore cet état de fait, étant donné les aspirations des cinq peuples de la région et des deux peuples marocain et algérien pour l’action maghrébine commune".
Il a laissé entendre qu'"aucun signal n’est parvenu de la part de nos frères algériens en vue d’adhérer au processus de normalisation, de contact ou à des opérations purement bilatérales". Ils n’ont, non plus, manifesté aucun signe pour l’ouverture des frontières entre les deux pays. "A l’inverse, ils ont préféré recourir à des manœuvres et des plans négatifs entravant toute avancée en vue d’une solution définitive pour ce litige provoqué", a-t-il conclu.
Taïeb Fassi-Fehri, chef de la diplomatie marocaine, a souligné que "la normalisation et l’échange diplomatique avec Israël ne sont pas à l’ordre du jour, dans le contexte actuel," signalant que "le Maroc s’est rallié à l’initiative de paix arabe, et partant, il ne peut pas encourager les différentes parties à aller de l’avant en matière de processus de paix".
Au sujet de l’état des relations entre son pays et l’Algérie, Fassi-Fehri a affirmé qu'"il est regrettable que les relations entre le Maroc et l’Algérie, n’aient connu aucune avancée. Le Maroc déplore cet état de fait, étant donné les aspirations des cinq peuples de la région et des deux peuples marocain et algérien pour l’action maghrébine commune".
Il a laissé entendre qu'"aucun signal n’est parvenu de la part de nos frères algériens en vue d’adhérer au processus de normalisation, de contact ou à des opérations purement bilatérales". Ils n’ont, non plus, manifesté aucun signe pour l’ouverture des frontières entre les deux pays. "A l’inverse, ils ont préféré recourir à des manœuvres et des plans négatifs entravant toute avancée en vue d’une solution définitive pour ce litige provoqué", a-t-il conclu.
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