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Monica Bellucci. Ambassadrice ouzbèke à 47.500 euros de l'heure
L'Ouzbékistan ne lésine pas sur les moyens pour redorer son blason en Europe. Dernière recrue en date, Monica Bellucci. Le montant proposé avait de quoi faire oublier l'origine des fonds...
190.000€ les quatre heures de présence, avec quand même un petit discours de circonstance: c'est ce qu'a obtenu, le 8avril dernier, Monica Bellucci, pour une apparition au Musée d'art moderne de Paris, à l'occasion du gala d'Ouzbékistan 2020, la fondation de Lola Karimova. Lola Karimova? La fille d'Islam Karimov, président dictateur général de l'Ouzbékistan, petite république d'Asie centrale qu'il dirige d'une main de fer mais qui ne néglige pas, pour autant, les relations publiques. Car l'actrice italienne n'est pas la première star à céder aux charmes sonnants et trébuchants de la diplomatie ouzbèke. Françoise Sagan, dans les années 1990, ou Alain Delon, plus récemment (pour 60.000€, selon des proches, ce qu'il dément), auraient oeuvré, eux aussi, au rapprochement entre les peuples. So glamour...
Gargia, Béart...
Ladite Lola, de toute façon, semble préférer les sunlights européens aux palais de Tachkent. Proche du télé-mondain Massimo Gargia ou de l'actrice Emmanuelle Béart, on sait qu'elle invite aussi parfois à ses pince-fesses mondains Jean-Claude Van Damme ou, dans un style différent, Bernadette Chirac. Dernier échec connu, Isabelle Adjani, à qui elle aurait proposé la création d'une société de production commune. La star n'en aurait manifestement pas vu l'intérêt...
... et Guillaume Sarkozy
Un dédain que ne montre pas le monde du business: de plus en plus d'entreprises françaises lorgnant sur le marché ouzbèke. Alstom, Areva, Total, Bouygues, pour ne citer que les vaisseaux amiraux, ont ainsi pour Karimov les yeux de Chimène. Et c'est d'ailleurs un certain Guillaume Sarkozy, frère de et accessoirement ancien vice-président du Medef, qu'on retrouvait, le 8avril, au côté de Monica Bellucci.
Bakchich
190.000€ les quatre heures de présence, avec quand même un petit discours de circonstance: c'est ce qu'a obtenu, le 8avril dernier, Monica Bellucci, pour une apparition au Musée d'art moderne de Paris, à l'occasion du gala d'Ouzbékistan 2020, la fondation de Lola Karimova. Lola Karimova? La fille d'Islam Karimov, président dictateur général de l'Ouzbékistan, petite république d'Asie centrale qu'il dirige d'une main de fer mais qui ne néglige pas, pour autant, les relations publiques. Car l'actrice italienne n'est pas la première star à céder aux charmes sonnants et trébuchants de la diplomatie ouzbèke. Françoise Sagan, dans les années 1990, ou Alain Delon, plus récemment (pour 60.000€, selon des proches, ce qu'il dément), auraient oeuvré, eux aussi, au rapprochement entre les peuples. So glamour...
Gargia, Béart...
Ladite Lola, de toute façon, semble préférer les sunlights européens aux palais de Tachkent. Proche du télé-mondain Massimo Gargia ou de l'actrice Emmanuelle Béart, on sait qu'elle invite aussi parfois à ses pince-fesses mondains Jean-Claude Van Damme ou, dans un style différent, Bernadette Chirac. Dernier échec connu, Isabelle Adjani, à qui elle aurait proposé la création d'une société de production commune. La star n'en aurait manifestement pas vu l'intérêt...
... et Guillaume Sarkozy
Un dédain que ne montre pas le monde du business: de plus en plus d'entreprises françaises lorgnant sur le marché ouzbèke. Alstom, Areva, Total, Bouygues, pour ne citer que les vaisseaux amiraux, ont ainsi pour Karimov les yeux de Chimène. Et c'est d'ailleurs un certain Guillaume Sarkozy, frère de et accessoirement ancien vice-président du Medef, qu'on retrouvait, le 8avril, au côté de Monica Bellucci.
Bakchich