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Mohamed Abdelaziz répond à Mohammed Vi
Le mépris du droit international dénoncé
Le président sahraoui, M.Mohamed Abdelaziz, s’est élevé contre les propos du roi du Maroc, Mohammed VI et dont la teneur n’augurent rien de bon pour la solution du conflit.
Un communiqué de la présidence de la République sahraouie fait état d’une lettre urgente adressée au secrétaire général des Nations unies, M.Ban Ki-moon dans laquelle il est affirmé que le discours de Mohammed VI «comporte des menaces directes contre les citoyens sahraouis».
Le président explique que le roi du Maroc orchestre personnellement la répression inhumaine, les détentions, les enlèvements et violations graves des droits de l’homme qui constituent un prolongement des politiques d’extermination, de spoliation des richesses naturelles sahraouies et de colonisation adoptées par les autorités marocaines depuis l’occupation du Sahara occidental le 31 octobre 1975.
Pour le président sahraoui, également secrétaire général du Front Polisario, «le discours dénote un développement dangereux des politiques marocaines officielles vis-à-vis de la population sahraouie privée de ses droits naturels légitimes dans un territoire qui relève de la responsabilité directe des Nations unies».
R.I
L'Expression
Le président sahraoui, M.Mohamed Abdelaziz, s’est élevé contre les propos du roi du Maroc, Mohammed VI et dont la teneur n’augurent rien de bon pour la solution du conflit.
Un communiqué de la présidence de la République sahraouie fait état d’une lettre urgente adressée au secrétaire général des Nations unies, M.Ban Ki-moon dans laquelle il est affirmé que le discours de Mohammed VI «comporte des menaces directes contre les citoyens sahraouis».
Le président explique que le roi du Maroc orchestre personnellement la répression inhumaine, les détentions, les enlèvements et violations graves des droits de l’homme qui constituent un prolongement des politiques d’extermination, de spoliation des richesses naturelles sahraouies et de colonisation adoptées par les autorités marocaines depuis l’occupation du Sahara occidental le 31 octobre 1975.
Pour le président sahraoui, également secrétaire général du Front Polisario, «le discours dénote un développement dangereux des politiques marocaines officielles vis-à-vis de la population sahraouie privée de ses droits naturels légitimes dans un territoire qui relève de la responsabilité directe des Nations unies».
R.I
L'Expression