Tigzirt risque de connaître le même sort que celui de Aïn El-Hammam dont le centre-ville a complètement été détruit par les pouvoirs publics à cause des glissements de terrain.
La ville côtière qu’est Tigzirt est confrontée au même problème, semble-t-il. Les résultats préliminaires d’une étude effectuée sur les lieux n’infirment pas cette thèse, et ce en attendant les résultats prévus le mois de décembre prochain.
L’étude en question a été confiée à un groupe français qui a pris en échantillon 150 ha du sol de Tigzirt, sur une profondeur de 50 mètres. Celle-ci, qui a coûté une enveloppe de 30 millions de dinars, a confirmé, en effet, la fragilité du sol de Tigzirt. D’ailleurs, a-t-on affirmé hier, si des projets de développement tardent à voir le jour dans cette cité c’est à cause de cet épineux problème. Il est clair qu’on ne peut pas procéder à l’aménagement urbain de la ville.
A titre d’exemple, si cette thèse n’est pas écartée, ce sera du gaspillage pur et simple, sachant qu’il n’est pas impossible qu’on procède à la destruction au moins de certains quartiers, si les résultats se révèlent alarmants. Il est vrai en fait que des affaissements sont déjà visibles dans la ville notamment du côté du lieu dit Feraoun.
Notons que le conseil de wilaya, tenu hier, a été consacré à la daïra de Tigzirt et à ses trois communes qui sont Iflissen, Mizrana et Tigzirt. Cette réunion à laquelle étaient invités les représentants des trois APC ainsi que ceux de la société civile, comité de village et association, était l’occasion pour les uns et les autres d’exposer les problèmes auxquels les localités sont confrontées. L’eau, le gaz de ville, le réseau routier, l’ouverture des pistes constituent les principales préoccupations des villageois de cette région qui n’est pas, il est vrai, au bout de ses peines.
Après avoir écouté attentivement les interventions de ces derniers, ce fut autour des directeurs de l’exécutif de la wilaya de répondre aux doléances de ces villages et localités. Tout le monde est sorti avec l’espoir de voir les trois communes sortir de leur marasme et rater une bonne fois pour toutes le train de développement qui n’a pas encore sifflé dans la région. C’est ce qu’on peut déduire, en tout cas, des différents exposés des représentants de ces municipalités.
Par la Dépêche de Kabylie
La ville côtière qu’est Tigzirt est confrontée au même problème, semble-t-il. Les résultats préliminaires d’une étude effectuée sur les lieux n’infirment pas cette thèse, et ce en attendant les résultats prévus le mois de décembre prochain.
L’étude en question a été confiée à un groupe français qui a pris en échantillon 150 ha du sol de Tigzirt, sur une profondeur de 50 mètres. Celle-ci, qui a coûté une enveloppe de 30 millions de dinars, a confirmé, en effet, la fragilité du sol de Tigzirt. D’ailleurs, a-t-on affirmé hier, si des projets de développement tardent à voir le jour dans cette cité c’est à cause de cet épineux problème. Il est clair qu’on ne peut pas procéder à l’aménagement urbain de la ville.
A titre d’exemple, si cette thèse n’est pas écartée, ce sera du gaspillage pur et simple, sachant qu’il n’est pas impossible qu’on procède à la destruction au moins de certains quartiers, si les résultats se révèlent alarmants. Il est vrai en fait que des affaissements sont déjà visibles dans la ville notamment du côté du lieu dit Feraoun.
Notons que le conseil de wilaya, tenu hier, a été consacré à la daïra de Tigzirt et à ses trois communes qui sont Iflissen, Mizrana et Tigzirt. Cette réunion à laquelle étaient invités les représentants des trois APC ainsi que ceux de la société civile, comité de village et association, était l’occasion pour les uns et les autres d’exposer les problèmes auxquels les localités sont confrontées. L’eau, le gaz de ville, le réseau routier, l’ouverture des pistes constituent les principales préoccupations des villageois de cette région qui n’est pas, il est vrai, au bout de ses peines.
Après avoir écouté attentivement les interventions de ces derniers, ce fut autour des directeurs de l’exécutif de la wilaya de répondre aux doléances de ces villages et localités. Tout le monde est sorti avec l’espoir de voir les trois communes sortir de leur marasme et rater une bonne fois pour toutes le train de développement qui n’a pas encore sifflé dans la région. C’est ce qu’on peut déduire, en tout cas, des différents exposés des représentants de ces municipalités.
Par la Dépêche de Kabylie
Commentaire