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  • #16
    Moi c'est incntestablement 1984 de Orwell. Puis Léon l'africain de Malouf et la Métamorphose de Kafka.

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    • #17
      Connais pas, tu peux nsous en dire plus.

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      • #18
        Eh bien qu'elle envie de lire que tu donnes là.
        J'ai lu Samarcande et j'ai découvert Alamout.
        Dernière modification par Zoubir8, 11 janvier 2006, 22h18.

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        • #19
          meuilleur ?? livre

          peut etre "Le desordre des choses" ou "La maceration" de Boudejdra.
          bcp de livres que j ai bien aime ....
          ca va me revenir ...


          capuccino.

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          • #20
            <<<-- Harry Potter
            With love, Goodfella

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            • #21
              Réponse à Alya. Je suis allé sur google. Voila ce que j'ai trouvé.
              Les Sens interdits


              Mourad Djebel, qui a vécu en Algérie jusqu'en 1994, livre un texte puissant sur la vie d'une jeunesse confrontée à la barbarie et à l'insécurité permanente.

              Plonger dans le roman de Mourad Djebel, Les Sens interdits, c'est accepter de revenir sur des années de massacres sanglants dont les commanditaires ne sont pas encore clairement définis. En France, loin du danger, il serait facile de se laisser gagner par la compassion ou une indignation bon teint. Seule l'émotion que suscite la lecture du livre permet pourtant une véritable prise de conscience. Sans juger, Mourad Djebel a entrepris de définir les responsabilités. Il n'envoie pas les coupables devant les tribunaux, mais parle tout simplement de la vie des gens et des petites lâchetés qui font, par négligence, les grands drames.
              À Constantine, Maroued pleure la disparition de Yasmina, mais aussi celle de plusieurs de ses amis. Lorsque la parole est muselée dans la vie de tous les jours, qu'elle s'enlise après des années de pression sociale, se confier sur la révolte n'est pas facile : "ce qui l'entourait -cette guerre larvée contre toute forme de vie et de liberté- avec son contingent d'annonces macabres de cadavres, de meurtres au quotidien de gens qu'il admirait, était aussi en quelque sorte irréel, puisqu'il n'avait jamais pu s'y faire et le vivre en tant que réalité, il le vivait plutôt en tant que cauchemar".
              Mourad Djebel, qui cite Kateb Yacine dans son exergue, signale d'emblée ses références. Considéré comme l'apôtre de la liberté de penser et d'agir, refusant toute étiquette, l'auteur de Nedjma demeure pour beaucoup le symbole du respect des droits essentiels. Ces positions lui valurent beaucoup d'ennemis, notamment des représentants religieux, qui ne manquèrent pas de faire entendre leur voix à sa mort, refusant de le voir enterré en Algérie, refusant de le voir inhumé dans un cimetière musulman. La foule en décida autrement. Kateb Yacine est peut-être ce "poète excommunié", souvent convoqué dans le roman lorsqu'il s'agit d'évoquer les persécutions et l'intégrisme.
              Lancé à corps perdu dans ce merveilleux témoignage, Djebel additionne les pièces à charge avec une conviction jamais démentie. Il décline ses arguments et fustige "les pères et leur machisme notoire, leur complaisance à l'égard de l'ordre (...) qui les a figés dans des postures de patriarches anachroniques, refusant par la violence de céder une part de leur pouvoir". Mais aussi les étudiants pas assez conscients de leur rôle dans la société. Et tous ceux qui, "troquant à présent l'after-shave contre le musc (...) se parent, par le biais d'une pitié de circonstance, de l'illusion de la respectabilité (...) prêts à pactiser non seulement avec Allah mais avec tous les diables, pourvu que cela rapporte un sou de plus (...) arborant la barbe comme la meilleure garantie d'arriver à leurs fins". Ses coups de boutoir trahissent l'envie de comprendre, de raconter et de changer les choses par l'écriture, sans pour autant balayer tous les doutes. "Est-ce que tu crois qu'on pourra un jour transmettre tout ce qu'on est en train de vivre à quelqu'un qui ne l'aura pas vécu? (...) Tu sais, c'est une histoire simple. Trois jeunes gens qui scellent quelque chose dans une révolte urbaine qu'ils voulaient ou croyaient renaissance. (...) Une histoire banale en somme, si ce n'est le sang qui continue à couler." Enfin une oeuvre qui s'éloigne des analyses d'experts internationaux, une histoire d'amour et de mort admirablement contée.

              Les Sens interdits
              Mourad Djebel
              La Différence
              332 pages, 20,58 e (135 FF)

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              • #22
                ........................
                Dernière modification par bauréal, 06 décembre 2006, 13h47.

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                • #23
                  " Les Dames du lac " en trois volumes - De Marion Zimmerman Bradley- 1986
                  La légende d'Avalon, le roi Arthur et ses chevaliers, Excalibur l'épée magique, Lancelot du Lac, etc...
                  Les légendes me font rêver, eh oui, encore à mon grand âge !
                  J'ai commencé à les lire à l'adolescence et j'ai continué, je rêve toujours !
                  La tour Eiffel et les Aurès.
                  Irène Fatima Zohra.

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                  • #24
                    Moi ce ne sont pas des bouquins de très grands auteurs, mais je les cites quand même car ils m'ont marqués: "la ligne verte" de Stephen King qui m'a tout bonnement fait pleurer, et "l'homme qui murmurait à l'oreille des cheveaux" c'est vrai que c'est un roman à l'eau de rose mais je ne suis qu'une pauvre femme... lol
                    Pour citer un classique, je dirais "les fleurs du mal" ça se relit facilement et toujours avec le même plaisir, on ne s'en lasse pas, l'ouvrir au hasard et revoir des vers qu'on a dèjà lut 1000 fois.

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                    • #25
                      Alors moi j'en ai lu deux qui m'ont marqué profondément c'est "L'or" de blaise cendrars, je trouve que c'est le meilleur auteur que j'ai lu, j'aime aussi ses poèmes.
                      Et le second est un classique c'est "La métamorphose" de Kafka quand on lit ce livre on garde une sensation de malaise pendant pleusieurs jours, c'est le seul livre qui m'a fait ça!

                      PS Et un dernier pour la route pour rire c'est "Des femmes qui tombent" de Pierre Desprosges humour noir garanti.
                      win ze yes need ze no to win again ze no

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                      • #26
                        les sens interdits de Mourad DJEBEL.
                        un bijou de littérature de culture et de connaissance.
                        Merci, je vais essayer de me procurer ce bouquin.
                        Je ne connais pas M Djebel, mais je fais confianc à tes goûts littéraires.

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                        • #27
                          merci beaucoup, c'ets un compliment qui me va droit au coeur

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                          • #28
                            AliKaddour, il a d'ailleurs sorti un nouveau roman, les cinq et une nuits de shahrazad...un orgasme intellectuel et cérébral

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                            • #29
                              orgasme intellectuel
                              ca laisse dubitatif!
                              win ze yes need ze no to win again ze no

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                              • #30
                                C'était sincère, Alya
                                Je t'avais lu ici parler de littérature et je sais que t'es connaisseuse.




                                Ma participation au topic

                                Je crois me souvenir que j'en avais déjà parlé mais je le suggère fortement, encore une fois.
                                Au-dessous du volcan
                                Malcolm Lowry




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