À toi qui rêve de moi!
Ne lésine pas sur tes songes, laisses les aller au-delà de moi , laisses les transcender mes espoirs , laisses les se dissoudre dans les méandres de je ne sais quoi.
Faits en sorte que les délices de la vie se penchent sur mon visages pour essuyer les larmes d’une innocence perdue dans les annales d’une vie pleine de volcans.
Penches toi sur moi et raconte moi ton histoire, l’histoire de ces hommes honnis, perdus dans le désespoir de voir un jour fleurir leurs vies au travers de la misère des hommes.
Que me dis-tu?
Que me chantes-tu ?
À ce point es-tu insignifiante?
Croire que la vie de ces hommes est une branche ne soutenant que le nid d’une abeille?
Qu’es-ce le nid d’une abeille dans le poids d’un homme?
Regarde moi, ai-je la consistance d’un insecte pour t’inspirer cette insignifiance? Suis-je si léger, si transparent, si futile pour te tromper à ce point?
Ressaisi-toi! Regarde moi droit dans ces yeux que j’ai emprunté au désordre. Laisse toi séduire par le rôle second que tient mon existence dans le théâtre aux tentures hideuses d’une croyance inconnue.
Tu me croiras, je puis te l’affirmer!
Ne lésine pas sur tes songes, laisses les aller au-delà de moi , laisses les transcender mes espoirs , laisses les se dissoudre dans les méandres de je ne sais quoi.
Faits en sorte que les délices de la vie se penchent sur mon visages pour essuyer les larmes d’une innocence perdue dans les annales d’une vie pleine de volcans.
Penches toi sur moi et raconte moi ton histoire, l’histoire de ces hommes honnis, perdus dans le désespoir de voir un jour fleurir leurs vies au travers de la misère des hommes.
Que me dis-tu?
Que me chantes-tu ?
À ce point es-tu insignifiante?
Croire que la vie de ces hommes est une branche ne soutenant que le nid d’une abeille?
Qu’es-ce le nid d’une abeille dans le poids d’un homme?
Regarde moi, ai-je la consistance d’un insecte pour t’inspirer cette insignifiance? Suis-je si léger, si transparent, si futile pour te tromper à ce point?
Ressaisi-toi! Regarde moi droit dans ces yeux que j’ai emprunté au désordre. Laisse toi séduire par le rôle second que tient mon existence dans le théâtre aux tentures hideuses d’une croyance inconnue.
Tu me croiras, je puis te l’affirmer!
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