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LE Maroc a connu de profonds changements dans les domaines politique, économique et social depuis l'accession de SM le Roi Mohammed VI au Trône de Ses glorieux ancêtres, souligne le cabinet britannique d'intelligence économique, The Oxford Business Group (OBG), dans son rapport annuel pour 2009 sur le Maroc.
Le cabinet (basé à Londres) a mis en exergue les réformes tous azimuts initiées par le Souverain, lesquelles réformes qui ont eu le mérite de renforcer le développement économique du Maroc, consolider ses fondamentaux démocratiques et améliorer la protection des droits de l'homme et des libertés civiles.
"Certainement, en tant que démocratie parlementaire dotée d'une économie de plus en plus diversifiée, la croissance économique du Maroc peut être attribuée à un certain nombre de facteurs", indique le rapport, dont la publication coïncide avec le 10ème anniversaire de l'accession de SM le Roi Mohammed VI au Trône de Ses glorieux ancêtres.
Le document souligne, dans ce contexte, que la fête du Trône, fêtée en juillet dernier, a été l'occasion de mettre en relief les pas franchis par le Royaume.
Rappelant les nombreuses réformes politiques introduites par SM le Roi Mohammed VI depuis Son intronisation, l'OBG a relevé que les réformes institutionnelles ont permis de renforcer les piliers démocratiques du Royaume, citant notamment la mise en place de la Commission pour la réforme administrative et de l'Instance Equité et Réconciliation (IER), "une initiative, unique en son genre dans le monde arabe".
Sur le plan social, le cabinet britannique a salué les réformes inclusives mises en œuvre dans ce domaine visant, entre autres, à encourager un plus grand engagement public parmi les citoyens.
Le rapport revient, dans ce cadre, sur le renforcement de l'arsenal juridique régissant les droits de la femme et l'augmentation du budget consacré à l'enseignement.
SM le Roi Mohammed VI a également veillé à assurer le développement de toutes les régions du Royaume, observe le groupe londonien, mettant l'accent sur l'intérêt que le Souverain accorde à l'éducation en tant que facteur de développement, en particulier en milieu rural.
Et le cabinet de souligner les grandes avancées du Maroc dans les domaines économiques, rappelant, dans ce contexte, les réformes initiées par SM le Roi Mohammed VI en vue de libéraliser les principaux secteurs d'activité économique.
A la faveur de ces réformes, le taux de croissance annuel du Produit Intérieur Brut (PIB) s'est installé en moyenne entre 4 et 5 pc entre 2000 et 2007, explique la source, ajoutant que l'inflation demeure sous contrôle.
"L'économie est de loin plus robuste et hautement diversifiée qu'elle ne l'était avant 1999", indique l'OBG, ajoutant que le secteur des services contribue à hauteur de plus de 50 pc au PIB, alors que la part du secteur industriel se situe à 25 pc, "en grande partie grâce au leadership fort du gouvernement".
Le rapport cite, par ailleurs, les grands plans et programmes de développement lancés par le Maroc, dont la Vision-2010 et le Plan Azur destinés à redynamiser le secteur du tourisme, le Plan Emergence en tant que stratégie cohérente pour développer le secteur industriel et le Plan Maroc Vert visant à renforcer la stabilité d'un secteur agricole hautement important.
Tous ces plans, qui commencent à apporter leurs fruits, assurent le développement économique du Maroc selon une trajectoire soutenue de croissance et d'expansion, estime le groupe, soulignant que le statut avancé obtenu par le Royaume avec l'Union européenne (UE) a offert au Maroc un accès plus large aux fonds et aux investissements européens tout en assurant une entrée plus libre des produits marocains dans les marchés de l'UE.
Source:
L'Opinion
Le cabinet (basé à Londres) a mis en exergue les réformes tous azimuts initiées par le Souverain, lesquelles réformes qui ont eu le mérite de renforcer le développement économique du Maroc, consolider ses fondamentaux démocratiques et améliorer la protection des droits de l'homme et des libertés civiles.
"Certainement, en tant que démocratie parlementaire dotée d'une économie de plus en plus diversifiée, la croissance économique du Maroc peut être attribuée à un certain nombre de facteurs", indique le rapport, dont la publication coïncide avec le 10ème anniversaire de l'accession de SM le Roi Mohammed VI au Trône de Ses glorieux ancêtres.
Le document souligne, dans ce contexte, que la fête du Trône, fêtée en juillet dernier, a été l'occasion de mettre en relief les pas franchis par le Royaume.
Rappelant les nombreuses réformes politiques introduites par SM le Roi Mohammed VI depuis Son intronisation, l'OBG a relevé que les réformes institutionnelles ont permis de renforcer les piliers démocratiques du Royaume, citant notamment la mise en place de la Commission pour la réforme administrative et de l'Instance Equité et Réconciliation (IER), "une initiative, unique en son genre dans le monde arabe".
Sur le plan social, le cabinet britannique a salué les réformes inclusives mises en œuvre dans ce domaine visant, entre autres, à encourager un plus grand engagement public parmi les citoyens.
Le rapport revient, dans ce cadre, sur le renforcement de l'arsenal juridique régissant les droits de la femme et l'augmentation du budget consacré à l'enseignement.
SM le Roi Mohammed VI a également veillé à assurer le développement de toutes les régions du Royaume, observe le groupe londonien, mettant l'accent sur l'intérêt que le Souverain accorde à l'éducation en tant que facteur de développement, en particulier en milieu rural.
Et le cabinet de souligner les grandes avancées du Maroc dans les domaines économiques, rappelant, dans ce contexte, les réformes initiées par SM le Roi Mohammed VI en vue de libéraliser les principaux secteurs d'activité économique.
A la faveur de ces réformes, le taux de croissance annuel du Produit Intérieur Brut (PIB) s'est installé en moyenne entre 4 et 5 pc entre 2000 et 2007, explique la source, ajoutant que l'inflation demeure sous contrôle.
"L'économie est de loin plus robuste et hautement diversifiée qu'elle ne l'était avant 1999", indique l'OBG, ajoutant que le secteur des services contribue à hauteur de plus de 50 pc au PIB, alors que la part du secteur industriel se situe à 25 pc, "en grande partie grâce au leadership fort du gouvernement".
Le rapport cite, par ailleurs, les grands plans et programmes de développement lancés par le Maroc, dont la Vision-2010 et le Plan Azur destinés à redynamiser le secteur du tourisme, le Plan Emergence en tant que stratégie cohérente pour développer le secteur industriel et le Plan Maroc Vert visant à renforcer la stabilité d'un secteur agricole hautement important.
Tous ces plans, qui commencent à apporter leurs fruits, assurent le développement économique du Maroc selon une trajectoire soutenue de croissance et d'expansion, estime le groupe, soulignant que le statut avancé obtenu par le Royaume avec l'Union européenne (UE) a offert au Maroc un accès plus large aux fonds et aux investissements européens tout en assurant une entrée plus libre des produits marocains dans les marchés de l'UE.
Source:
L'Opinion