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L’usine d’aéronautique des Emirats opérationnel.

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  • L’usine d’aéronautique des Emirats opérationnel.

    EADS resserre ses liens avec Abu Dhabi


    Le fond souverain d'Abu Dhabi et le géant européen inaugurent la première usine de construction aéronautique jamais implantée dans le Golfe. Elle est le fruit d'un partenariat privilégié.

    C'est ce samedi 14 novembre, veille de l'ouverture du salon aéronautique de Dubaï, qu'EADS, maison-mère d'Airbus et Mubadala, le fonds souverain d'Abu Dhabi, inaugurent la première usine de fabrication de composants aéronautiques jamais construite dans le Golfe. Située à El Ain, «la source» en Arabe littéraire, et deuxième plus grande ville de l'Emirat, l'usine baptisée Strata est le fruit d'un accord de partenariat industriel signé voici un an. Accord conclu dans le sillage d'un contrat commercial portant sur la livraison de 55 Airbus à Etihad, la compagnie d'Abu Dhabi.

    « Mubadala ambitionne de devenir un fournisseur de premier rang dans le domaine des aérostructures (NDLR : pièces qui une fois assemblées constituent le fuselage d'un avion). « Il a envisagé de se lancer dans ce métier en rachetant un ou plusieurs des acteurs clefs mais il a finalement décidé de jouer la carte des partenariats avec les constructeurs », explique Jean-Pierre Talamoni, vice-président Europe, Canada, Moyen Orient et Afrique d'EADS. Selon des sources bancaires anglo-saxonnes, Mubadala a envisagé de racheter le britannique GKN.


    Un site spécialisé dans les matériaux composite

    Après un accord de joint-venture avec Rolls Royce dans les moteurs, Mubadala a décidé de faire d'EADS son partenaire industriel privilégié afin de l'aider à édifier un véritable «hub» aéronautique dans le Golfe. Jusqu'ici, les ambitions des Emirats arabes unis (EAU) se concentraient dans la seule maintenance mais pas dans la fabrication.

    EADS engage de gros moyens dans Strata en support logistique, en savoir-faire et en matière grise (formation notamment) sur place car le site se spécialise d'emblée dans les pièces à valeur ajoutée, les composites.

    Mubadala, de son côté, investit 500 millions de dollars dans la première phase du projet qui doit, à terme, entraîner la création de plus de 4 000 emplois. Airbus fait entrer Mubadala dans son réseau de fournisseur et assure à Strata une charge de travail représentant 1 milliard de dollars sur dix ans. «L'usine fabriquera uniquement des pièces en composite destinées aux A330-A340, à l'A380 ainsi qu'au futur A350XWB. Le groupe Mubadala se positionne pour participer à la prochaine génération de moyen courriers d'Airbus, les successeurs de la famille des A320», précise Jean-Pierre Talamoni. L'usine d'El Ain doit être opérationnelle au 4ème trimestre 2010 tandis qu'une seconde usine, EPI, déjà achevée prendra en charge la fabrication de pièces mécaniques.


    Mubadala a noué d'autres contrats avec Boeing et Finmeccanica

    EADS s'est également engagé à installer un bureau d'ingénierie et de recherche et développement ainsi qu'un centre de maintenance en coopération avec Abu Dhabi Aircraft Technology (ADAT) afin de développer des compétences en maintenance, conversion d'avions passagers en cargos.

    Malgré tout, Mubadala n'a pas accordé d'exclusivité à EADS. Strata a engrangé un autre milliard de dollars de contrats auprès de l'autrichien FACC, sous-traitant de Boeing, ainsi que de l'italien Finmeccanica. Boeing ne devrait pas tarder à annoncer des contrats avec l'usine, notamment pour son B787.

    Mais en signant en premier avec le fonds souverain, EADS a pris une position clef dans cette région stratégique pour les constructeurs aéronautiques et s'est adjoint le soutien actif d'un groupe puissant qui peut faire favoriser d'autres coopérations dans les hélicoptères ou les satellites.


    L'enjeu est de taille. EADS participe à l'émergence d'un nouvel acteur dans les aérostructures qui ambitionne un jour de contrebalancer la puissance des groupes anglo-saxons tels que Spirit ou GKN. Et, après la Chine, l'Inde ou le Vietnam, il poursuit méthodiquement la mondialisation de ses achats tout en réduisant sa dépendance à l'égard de la zone euro. EADS espère réaliser 40% de ses achats hors d'Europe d'ici à 2020, contre 22% aujourd'hui.



    Véronique Guillermard

    13/11/2009 Mise à jour 20:10

    A380














    ...


    Dernière modification par Adama, 29 juin 2011, 23h49.

  • #2
    suite 1

    Où les raisons du pourquoi ? Du comment ? Lorsque l’on réalise une synergie fusionnelle et motrice totalement implacable…


    Le Qatar en passe de prendre une participation dans Porsche


    Adama 10/06/2009 à 04h47

    Le point
    Publié le 23/03/2009 à 13:43 Reuters



    Abou Dhabi devient premier actionnaire de Daimler


    Le titre Daimler a progressé lundi matin en Bourse alors que le fonds Aabar Investments, contrôlé par les pouvoirs publics d'Abou Dhabi, va devenir son premier actionnaire. Certains analystes craignent cependant que cette opération s'explique par des difficultés accrues du constructeur automobile allemand.

    Aabar va investir 1,95 milliard d'euros (2,67 milliards de dollars) en échange de 9,1% du capital de Daimler, selon cet accord annoncé dimanche soir, qui doit renforcer les finances du fabricant de Mercedes-Benz, alors que le marché automobile mondial plonge.

    "La décision de Daimler pourrait soulever des questions sur les perspectives de la direction pour 2009", écrivent dans une note à leurs clients les analystes de Commerzbank, qui sont à 'accumuler' sur le titre Daimler. "Cependant, dans l'environnement actuel nous pensons que le fait que Daimler ait accès aux marchés actions est une force et nous allons acheter en profitant de toute faiblesse potentielle du titre".

    Le titre Daimler a bondi de plus de 8% en matinée à la Bourse de Francfort mais a ensuite limité ses gains. Il gagne encore 1,15% à 21,58 euros vers 12h00 GMT, alors que l'indice DJ Stoxx des valeurs du secteur automobile prend 1,21%.

    Cette opération surprise souligne la force de frappe financière des exportateurs d'hydrocarbures du Golfe, alors que de nombreux géants industriels occidentaux sont en mal d'aides publiques, dans un contexte de crise internationale.
    Le titre Aabar a lui gagné 2,3%.


    PAS DE PRIME

    Certains analystes restent cependant sceptiques concernant l'opération. Daimler va émettre environ 96,4 millions d'actions nouvelles à destination d'Aabar, au prix unitaire de 20,27 euros, via une augmentation de capital réservée représentant 10% du capital actuel, sans attribution de droits de souscription des actionnaires actuels.

    Ce prix représente une remise de 5% par rapport à la clôture du titre Daimler vendredi dernier, à 21,34 euros.

    "L'absence de prime et l'exclusion des actionnaires actuels de l'opération devraient renforcer les craintes concernant la situation financière et stratégique de Daimler", écrivent de leur côté les analystes d'UBS, qui restent à la vente sur le titre. "L'opération de Daimler souligne aussi notre avis sur la nécessité d'approches créatives, alors que l'appétit des actionnaires existants pour une recapitalisation sans changements structurels semble limité".

    Daimler a fait dans le passé l'objet de spéculations répétées concernant un rachat car il est l'un des seuls grands constructeurs automobiles mondiaux dont le capital n'est pas "verrouillé" par un grand actionnaire. Son compatriote BMW est par exemple lui contrôlé à 46,6% par la famille Quandt.

    "Nous ne sommes pas surpris par l'augmentation de capital (de Daimler) et attendons effectivement des actions similaires de la part de tous les constructeurs automobiles européens, à moins d'une amélioration marquée et rapide de l'environnement", écrit Morgan Stanley, qui reste à "renforcer" sur le titre. "Cette décision montre qu'avoir une situation de liquidité nette positive dans l'automobile ne protège pas nécessairement du risque d'une dilution du capital".


    DILUTION DU KOWEIT

    Après dilution du capital, la participation de l'Emirat du Koweit dans Daimler devrait être ramenée à 6,9%, contre 7,6% avant cette opération, et Aabar supplanter l'Emirat comme premier actionnaire du constructeur.

    Dénommé auparavant Aabar Petroleum Investments Company PJSC et fondé début 2005, le fonds d'investissement d'Abou Dhabi a mené des activités d'exploration pétrolière et gazière en Asie du Sud-Est avant de vendre en 2008 ses actifs clés comme Pearl Energy Limited et Dalma Energy LLC acquises à peine quelques années plus tôt.

    Aabar s'est depuis lors développé dans l'immobilier et les services financiers, en acquérant récemment AIG Private Bank pour 407 millions de francs suisses (265 millions d'euros) en actions et par emprunt et en prenant 3,3% du capital de l'exploitant de concessions autoroutières Atlantia, ex-Autostrade.

    Abu Dhabi Investment Company (ADIC) et Mubadala Development Company ont participé à la création d'Aabar mais le fonds est actuellement contrôlé par le groupe public d'Abou Dhabi International Petroleum Investment Company (IPIC).

    Aabar a bouclé de son côté lundi une augmentation de capital de 1,82 milliard de dollars, via des obligations convertibles, souscrite par IPIC.

    Le président d'Aabar n'a pas exclu de son côté de prendre une participation dans d'autres constructeurs automobiles mais a ajouté que le fonds ne le ferait pas seul.

    Khadem Al Qubaisi, également directeur général d'IPIC, a précisé ne pas pouvoir s'exprimer pour l'instant sur un éventuel intérêt pour le groupe européen d'aéronautique et de défense EADS, dont Daimler est un des principaux actionnaires.

    Il a ajouté qu'Aabar serait en contact avec la direction de Daimler tous les mois et serait un actionnaire plus actif que le Koweit. Il n'entend pas demander pour l'instant de siège au conseil de surveillance de Daimler mais "peut-être dans l'avenir" et vise un investissement à long terme.


    Le président du directoire de Daimler, Dieter Zetsche, a lui assuré qu'Aabar n'avait pas imposé de conditions stratégiques à cet accord, tandis que Berlin a jugé que cet investissement était un signal positif.

    Daimler et Aabar prévoient par ailleurs des coopérations dans trois secteurs différents: le développement de véhicules électriques qui permettraient de réduire les émissions de carbone, celui de matériaux complexes et innovants pour l'automobile et des projets sociaux à Abou Dhabi, pour former des jeunes dans l'industrie automobile.

    Version française Danielle Rouquié et Stanislas Dembinski, édité par Marc Angrand




    Actionnariat de Daimler:

    Le plus grand actionnaire de Daimler est actuellement le fonds Aabar Investments , contrôlé indirectement par le gouvernement de l'émirat d'Abu Dhabi 9,1 % , l'état du Koweit avec 6,9 % suivi par la Deutsche Bank avec un peu moins de 4,35 % et l'émirat de Dubai avec un peu plus de 2 % des actions du groupe.

    Rompre avec la mentalité du Golfe


    Adama 27/10/2009 à 19h25


    L'émirat d'Abu Dhabi jette les bases d'une industrie aéronautique

    15/06/09


    Non content d'être l'un des plus importants clients d'Airbus et Boeing, via la compagnie Etihad, Abu Dhabi souhaite également devenir l'un de leurs principaux fournisseurs. Le fonds d'investissement d'Abu Dhabi, Mubadala Development Co, a en effet annoncé hier, à la veille de l'inauguration du Salon du Bourget, le lancement, le 29 juin, des travaux de construction d'une usine d'éléments d'avions en composites, qui doit être opérationnelle au quatrième trimestre 2010. L'usine devrait notamment produire des éléments d'aérostructure en composites tels que les aérofreins, les ailerons et le carénage. Mubadala précise que l'usine, baptisée « Strata », a déjà conclu des contrats avec des constructeurs aéronautiques, au premier rang desquels EADS et sa filiale Airbus, mais aussi l'autrichien FACC et l'italien Alenia Aeronautica, filiale de Finmeccanica. « Des contrats initiaux avec ces partenaires d'une valeur totale de plus de 2 milliards de dollars ont été déjà finalisés », affirme Mubadala.


    500 spécialistes

    La future usine devrait notamment fabriquer des pièces pour le futur Airbus A350 ainsi que pour son concurrent, le Boeing 787. Placée sous la direction de Ross Bradley, ancien directeur général de Farnborough Aerospace Consortium, qui a rejoint Mubadala en octobre 2008, Strata devrait recruter dans un premier temps quelque 500 techniciens et ingénieurs, et monter progressivement jusqu'à atteindre à un millier d'employés en 2020.

    « Le développement d'un pôle aéronautique international est un élément clef du plan de développement économique Vision 2030 d'Abu Dhabi », explique le communiqué.

    B. T. Les Echos





    Pour plus d’infos le Lien :


    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...ighlight=Qatar




    ...
    Dernière modification par Adama, 29 juin 2011, 23h47.

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    • #3
      suite 2

      Oyez, Oyez braves gens ! Ecoutez cette histoire d'avant ! Prêtez moi votre oreille. Pour ouïr conte sans pareil ! Il y a fort longtemps de cela, ...

      Complément informations :


      PARIS: UAE selects Piaggio Avanti for multi utility role


      The United Arab Emirates Air Force has selected the P180 Avanti II aircraft as part of a fleet expansion programme to include two light multi-utility aircraft.

      The Italian turboprop has been chosen following an extensive evaluation process that took into consideration characteristics and performance of several aircraft in the same class as well as, reliability, cost effectiveness and operational flexibility.
      Piaggio Aero – part owned by Abu Dhabi-based Mubadala - will also supply a complete Integrated Logistics Support package, including training for pilots and technicians.

      Piaggio CEO Alberto Galassi said: "The selection of the P.180 by the UAE represents a huge success for the Italian high-tech industry and confirms the value of the P.180 Avanti II aircraft as advanced multi-utility aircraft. Our company has taken the decision to invest in the development of special multipurpose configurations and this decision provides a positive outcome for our investment”, Mr. Galassi added.

      The Avanti will support a diverse mission requirement in the Gulf including fast transportation of specialised staff, a primary necessity for tactical and technical coordination; a medical evacuation and fast sanitary transportation of patients, with the possibility of checking on the patient’s condition during the transfer as well as giving efficient first aid assistance.

      In order to meet this requirement, the two Avanti II aircraft will be equipped with an “Ambulance Kit,” that, through a quick reconfiguration, allows the aircraft to become an efficient air ambulance unit. The aircraft provides outstanding accessibility for patient loading, and its spacious cabin offers a work-friendly environment for medical staff.

      The Avanti has a range of over 1.500 miles, a maximum speed of 402 kts and is able to reach an altitude of 41.000 ft: these performances can be compared to those of a turbojet aircraft, however the Piaggio Avanti II’s operating costs are at least 33% lower. It is also equipped with an enormous, stand up cabin which, together with its flexibility of use and multiplicity of installed equipment satisfies the variety of the UAE Air Force’s needs.





      Traduction approximative pour non Anglophone :


      La United Arab Emirates Air Force a choisi l'avion P180 Avanti II dans le cadre d'un programme d'expansion de la flotte afin d'inclure deux multi-lumière des avions polyvalents.

      L'italien de turbopropulseurs a été choisie après un processus d'évaluation approfondie qui prenne en considération les caractéristiques et les performances de plusieurs appareils dans la même classe ainsi que, la fiabilité, la rentabilité et la flexibilité opérationnelle.

      Piaggio Aero - en partie contrôlé par Abou Dhabi, Mubadala base d'actions - sera également fournir un paquet complet Integrated Logistics Support, y compris la formation des pilotes et des techniciens.

      Piaggio CEO Alberto Galassi, a déclaré: "Le choix de la P.180 par les EAU représente un grand succès pour l'industrie italienne de haute technologie et confirme la valeur de l'aéronef P.180 Avanti II comme avancée multi-avions polyvalents. Notre société a pris la décision d'investir dans le développement de configurations spéciales à usages multiples et cette décision prévoit un résultat positif pour notre investissement ", a ajouté M. Galassi.

      L'Avanti soutiendra une exigence de la mission diversifiée dans le Golfe, y compris le transport rapide de personnel spécialisé, une nécessité première pour la coordination tactique et technique, une évacuation médicale et le transport sanitaire rapide des patients, avec la possibilité de vérifier l'état du patient pendant le transfert comme tout en donnant de l'aide efficace de premiers secours.

      Afin de répondre à cette exigence, les deux avions Avanti II sera équipé d'un Kit d'ambulance "," que, grâce à une reconfiguration rapide, permettant à l'avion pour devenir une unité efficace d'ambulance aérienne. L'avion offre une accessibilité exceptionnelle pour le chargement des patients, et sa cabine spacieuse offre un environnement de travail convivial pour le personnel médical.

      L'Avanti a une portée de plus de 1.500 miles, une vitesse maximale de 402 noeuds et est en mesure d'atteindre une altitude de 41.000 ft: Ces performances peuvent être comparées à celles d'un avion à turboréacteur, mais le coût d'exploitation le Piaggio Avanti II ya au moins 33 % inférieurs. Il est également équipé d'un énorme, levez-vous de cabine qui, avec sa souplesse d'utilisation et de la multiplicité des équipements installés répondent aux divers besoins de l'UAE Air Force.




      Car :

      Piaggio Aero Industries est l'une des plus importantes entreprises italiennes produisant des avions.

      La société a été fondée en 1884 par Rinaldo Piaggio à Sestri Ponente (Gênes), ayant comme principal domaine d'activité la production de matériel ferroviaire.

      De 1915 a commencé la production de matériaux pour l'industrie aéronautique, d'arriver après le début de la production d'aéronefs et de moteurs d'avion.

      Dans les années suivantes est également conçu le premier hélicoptère de l'histoire en fait manipulé par l'homme, sous la direction de l'ingénieur Corradino D'Ascanio.

      Après la Seconde Guerre mondiale, l'histoire de Piaggio a une percée quand, en 1946, conçu par le même D'Ascanio, une moto est breveté qui marquera l'histoire de la motorisation individuelle en Italie: la Vespa.

      Dans les années suivantes qui continue d'être l'avion production de motos jusqu'en 1964, quand il a formellement séparer les deux divisions sont: Les avions de la production dans l'usine à Sestri Ponente porte le nom d'IAM Rinaldo Piaggio, Vespa et est produite dans l'usine en Pontedera.

      Le P136, le Piaggio P148 et P166 sont certains des appareils produits au cours de cette période.

      Le PD-808 est le seul certificat dans la catégorie des jumeaux italiens-avions de transport à réaction. Le premier vol à Gênes Août 29, 1964 piloté par le capitaine Evasio Ferretti. La certification a été obtenue en 1966.

      Dans les années 80 commence, c'est la collaboration internationale, tant la conception du P180 Avanti, toujours l'un des avions les plus innovants de la catégorie. Malgré cela, les années 90 a vu l'entreprise dans une crise dont elle ne se modifie que ces dernières années, avec le succès et la certification Avanti Avanti II en 2005.

      Avec une commande de côté 36 Avanti II à venir, une entreprise du New Jersey, une valeur de près de 200M €, la société semble sortir de la crise.

      Le 19 avril 2006, Mubadala Development (Société d'investissement du gouvernement d'Abou Dhabi) a annoncé son entrée dans son capital avec une part de 35%.




      ...
      Dernière modification par Adama, 29 juin 2011, 18h35.

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      • #4
        suite 3

        Piaggio P180 Avanti


        Motorisation

        Moteur : Pratt & Whitney Canada PT6A


        Dimensions

        Envergure: 14,03 m

        Longueur : 14,40 m

        Hauteur : 3,98 m

        Surface alaire: 16 m2

        Nombre de places : 9



        Masse

        Masse à vide : 3400 Kg

        Masse maximum : 5262 kg



        Performances

        Vitesse de croisière : 644 km/h

        Vitesse maximale : 732 km/h

        Plafond : 12500 m

        Distance franchissable : 2595 km














        Un tout dernier point. Les Emirats négocient en ce moment même un équipement en avions de chasse modèle Rafale avec la France pour remplacer ses anciens Mirages vieillissants technologiquement. Au delà des exigences d’un moteur avec une poussée plus accrue et l’installation également d’un tout nouveau radar. Il est fort à parier qu’avec la mise en place d’une industrie aéronautique, celle-ci intègre bien évidemment le montage partiel ou totale de cet avion de combat sur place à l’image du Brésil et de l’Arabie Saoudite avec son Eurofighter Typhoon incluant un transfert technologique. La bataille fasse à son principal concurrent l’Eurofigther d’EADS va être acharné et impitoyable.




        Emirats : la vente du Rafale avance, dit Hervé Morin

        15/11/09 - 11H17

        Le ministre français de la Défense, Hervé Morin, a estimé dimanche que les négociations sur la vente aux Emirats arabes unis de l'avion de combat Rafale fabriqué par Dassault avançaient "à un bon rythme", lors d'un point de presse au Salon aéronautique de Dubaï.

        "Je trouve que ça avance à un bon rythme. On se parle en disant qu'il y a tel ou tel problème, dans un climat de confiance absolu", a dit M. Morin, devant la presse française.

        La vente du Rafale aux Emirats arabes unis avait été évoquée samedi lors d'un entretien entre M. Morin et cheikh Mohamed Ben Zayed Al-Nahyane, prince héritier de l'émirat d'Abou Dhabi et commandant en chef adjoint des forces armées émiraties.

        Dès 2008, les Emiratis avaient fait savoir qu'ils envisageaient "sérieusement" de remplacer leurs 60 Mirage 2000 par l'avion de combat de Dassault. Depuis, les discussions continuent.

        "Acheter un système d'arme pour 30 à 40 ans, c'est un système où vous devez intégrer les offsets (transferts industriels, ndlr), les transferts de technologie, la maintenance, les armements, le radar, la motorisation et la formation des pilotes. Ce sont des négociations longues ", a souligné M. Morin.




        Rafale











        ...


        Dernière modification par Adama, 29 juin 2011, 18h38.

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