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Réagissant aux attaques qui ont ciblé leurs sièges
Djezzy jette la pierre à Nedjma
C'est l’explication que devait donner Hamid Grine lors d'un point de presse tenu au dernier étage de la direction générale qui n'a pas été touché par les manifestants.
L'orateur entame son point de presse en exprimant son indignation vis-à-vis des tournures dramatiques enregistrées en Egypte et met l'accent sur «le soutien de Djezzy aux verts dont il espère la qualification à Khartoum». Sur ce chapitre, il devait préciser que «Djezzy a offert 20 millions de dinars à Air Algérie en guise de sponsor». Il affirmera :
«nous soutenons indéfectiblement l'EN.» Hamid Grine devait rappeler que «son entreprise a été le principal sponsor de l'EN depuis 7 années et qu'aujourd'hui Djezzy est le partenaire de quatre grands joueurs, à savoir Ziani, Saïfi, Bouguerra et Yahia Antar.» Pour argumenter l'hypothèse de la manipulation, Grine devait affirmer que «les attaques étaient orchestrées», insinuant, dans le sillage, que «celles-ci étaient orchestrées par des personnes évoluant dans la sphère des opérateurs».
Dans un communiqué rendu public, l'opérateur a précisé que «le climat tendu qui a entouré la rencontre de football au Caire entre l'Algérie et l'Egypte a permis à certaines parties jalouses du succès de Djezzy d'exploiter cette situation en vue d'inciter à la violence contre les infrastructures et les édifices de l'entreprise», ajoutant «qu'au cours de ces actes de vandalisme, des terminaux téléphoniques ainsi que du matériel informatique ont fait l'objet de saccage, vol et pillage» précisant dans un autre passage que « les pertes sont estimées à plusieurs millions de dollars». Il a indiqué, en outre, que 15 agences ont été ciblées par les milliers d'émeutiers, précisant que «le préjudice de ces attaques seront évalués par des rapports d’assurances et ceux des services de police». «70 000 portables d'une valeur de 5 millions de dollars ont été volés», devait-il indiquer substantiellement.
L'orateur, faisant état d'un amalgame entretenu autour de l'appartenance statutaire de la société par les personnes derrière cette campagne de «dénigrement volontaire», a rappelé «que la haine éprouvée par les émeutiers a été attisée par des personnes prétextant que cet opérateur était égyptien alors que réellement, la société est de droit algérien et que seuls les capitaux sont égyptiens».
Dans son point de presse, il indiquera que «cet incident, dont le préjudice pénalise les 4500 employés et les quelque 100 000 emplois indirects, est condamnable». Il terminera par révéler qu’une «cellule de crise œuvrera à trouver une solution à ces employés dont les postes sont réellement menacés».
A la question de savoir le bien-fondé des rumeurs faisant état du sponsoring de l'équipe égyptienne par Djezzy, l'animateur du point de presse répondra par la négative : «A aucun moment, Djezzy n'a pensé à sponsoriser l'équipe égyptienne.» Il révélera avec soulagement que «le switch n'a pas été détérioré» insinuant le bon fonctionnement du réseau téléphonique.
C'est avec force que le représentant de Djezzy fera part de son indignation et de la condamnation des actes et agissements des égyptiens lors et après la rencontre du Caire.
LE TEMPS
Djezzy jette la pierre à Nedjma
C'est l’explication que devait donner Hamid Grine lors d'un point de presse tenu au dernier étage de la direction générale qui n'a pas été touché par les manifestants.
L'orateur entame son point de presse en exprimant son indignation vis-à-vis des tournures dramatiques enregistrées en Egypte et met l'accent sur «le soutien de Djezzy aux verts dont il espère la qualification à Khartoum». Sur ce chapitre, il devait préciser que «Djezzy a offert 20 millions de dinars à Air Algérie en guise de sponsor». Il affirmera :
«nous soutenons indéfectiblement l'EN.» Hamid Grine devait rappeler que «son entreprise a été le principal sponsor de l'EN depuis 7 années et qu'aujourd'hui Djezzy est le partenaire de quatre grands joueurs, à savoir Ziani, Saïfi, Bouguerra et Yahia Antar.» Pour argumenter l'hypothèse de la manipulation, Grine devait affirmer que «les attaques étaient orchestrées», insinuant, dans le sillage, que «celles-ci étaient orchestrées par des personnes évoluant dans la sphère des opérateurs».
Dans un communiqué rendu public, l'opérateur a précisé que «le climat tendu qui a entouré la rencontre de football au Caire entre l'Algérie et l'Egypte a permis à certaines parties jalouses du succès de Djezzy d'exploiter cette situation en vue d'inciter à la violence contre les infrastructures et les édifices de l'entreprise», ajoutant «qu'au cours de ces actes de vandalisme, des terminaux téléphoniques ainsi que du matériel informatique ont fait l'objet de saccage, vol et pillage» précisant dans un autre passage que « les pertes sont estimées à plusieurs millions de dollars». Il a indiqué, en outre, que 15 agences ont été ciblées par les milliers d'émeutiers, précisant que «le préjudice de ces attaques seront évalués par des rapports d’assurances et ceux des services de police». «70 000 portables d'une valeur de 5 millions de dollars ont été volés», devait-il indiquer substantiellement.
L'orateur, faisant état d'un amalgame entretenu autour de l'appartenance statutaire de la société par les personnes derrière cette campagne de «dénigrement volontaire», a rappelé «que la haine éprouvée par les émeutiers a été attisée par des personnes prétextant que cet opérateur était égyptien alors que réellement, la société est de droit algérien et que seuls les capitaux sont égyptiens».
Dans son point de presse, il indiquera que «cet incident, dont le préjudice pénalise les 4500 employés et les quelque 100 000 emplois indirects, est condamnable». Il terminera par révéler qu’une «cellule de crise œuvrera à trouver une solution à ces employés dont les postes sont réellement menacés».
A la question de savoir le bien-fondé des rumeurs faisant état du sponsoring de l'équipe égyptienne par Djezzy, l'animateur du point de presse répondra par la négative : «A aucun moment, Djezzy n'a pensé à sponsoriser l'équipe égyptienne.» Il révélera avec soulagement que «le switch n'a pas été détérioré» insinuant le bon fonctionnement du réseau téléphonique.
C'est avec force que le représentant de Djezzy fera part de son indignation et de la condamnation des actes et agissements des égyptiens lors et après la rencontre du Caire.
LE TEMPS
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