Rachida Dati "déplore" la fermeture des frontières maroco-algériennes
Tanger - L'eurodéputée Rachida Dati a "déploré" la fermeture des frontières terrestres entre le Maroc et l'Algérie.
"Je ne peux que déplorer la fermeture des frontières terrestres entre le Maroc et l'Algérie", a déclaré Mme Dati, lors d'une conférence de presse vendredi soir à Tanger en marge de sa participation aux Medays 2009 organisés par l'Institut Amadeus.
Selon l'ex-ministre française de la Justice, cette situation est d'autant plus incompréhensible que le Maroc et l'Algérie "sont des pays amis, voisins et qui partagent la même histoire".
Etant de père marocain et de mère algérienne, "je ne peux que déplorer cette fermeture des frontières", a-t-elle insisté.
S'agissant de l'émigration et de la sécurité, l'un des thèmes abordés lors de la 2ème journée de ce Forum, Mme Dati a indiqué que la France et l'Europe ont besoin d'une émigration organisée pour parer au vieillissement de leur population, précisant que la politique d'émigration du président français, Nicolas Sarkozy, ne signifie pas la fermeture des frontières.
"Au contraire, a-t-elle dit, il faut encourager l'émigration légale mais en même temps lutter contre les réseaux criminels et les passeurs" qui exploitent la misère et la pauvreté des Africains.
Elle a, par ailleurs, plaidé pour le renforcement de la coopération entre l'Union européenne et l'Afrique dans les domaines du nucléaire civil, du transport maritime et des énergies renouvelables notamment.
Plusieurs personnalités, dont le secrétaire général de la Présidence espagnole, Leon Bernardino, l'ancien ministre égyptien des Affaires étrangères, Abdel Aziz Mohammad Hegazy, et l'amiral commandant-adjoint du commandement allié de l'OTAN, Luciano Zappata, ont participé à ce panel.
Tanger - L'eurodéputée Rachida Dati a "déploré" la fermeture des frontières terrestres entre le Maroc et l'Algérie.
"Je ne peux que déplorer la fermeture des frontières terrestres entre le Maroc et l'Algérie", a déclaré Mme Dati, lors d'une conférence de presse vendredi soir à Tanger en marge de sa participation aux Medays 2009 organisés par l'Institut Amadeus.
Selon l'ex-ministre française de la Justice, cette situation est d'autant plus incompréhensible que le Maroc et l'Algérie "sont des pays amis, voisins et qui partagent la même histoire".
Etant de père marocain et de mère algérienne, "je ne peux que déplorer cette fermeture des frontières", a-t-elle insisté.
S'agissant de l'émigration et de la sécurité, l'un des thèmes abordés lors de la 2ème journée de ce Forum, Mme Dati a indiqué que la France et l'Europe ont besoin d'une émigration organisée pour parer au vieillissement de leur population, précisant que la politique d'émigration du président français, Nicolas Sarkozy, ne signifie pas la fermeture des frontières.
"Au contraire, a-t-elle dit, il faut encourager l'émigration légale mais en même temps lutter contre les réseaux criminels et les passeurs" qui exploitent la misère et la pauvreté des Africains.
Elle a, par ailleurs, plaidé pour le renforcement de la coopération entre l'Union européenne et l'Afrique dans les domaines du nucléaire civil, du transport maritime et des énergies renouvelables notamment.
Plusieurs personnalités, dont le secrétaire général de la Présidence espagnole, Leon Bernardino, l'ancien ministre égyptien des Affaires étrangères, Abdel Aziz Mohammad Hegazy, et l'amiral commandant-adjoint du commandement allié de l'OTAN, Luciano Zappata, ont participé à ce panel.
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