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Développement des énergies renouvelables en Algérie: Vers une association nationale
Le Dr Mohand Arkoub, président du comité d’organisation du 4e colloque sur les énergies renouvelables et leurs applications à l’université de Béjaïa a indiqué, avant-hier au Jeune Indépendant, qu’il souhaitait que cet événement soit l’occasion «de lancer la création de l’association algérienne des énergies renouvelables que nous souhaitons être un acteur dans le développement et la promotion des énergies renouvelables en Algérie».
Pour rappel, l’université de Béjaïa a organisé, mardi et mercredi derniers, le 2e workshop international sur les énergies renouvelables et leurs applications qu’a abrité le campus de Targa Ouzemmour.
Conférences plénières, ateliers, communications orales et posters ont constitué les diverses activités du workshop. Cinq thèmes principaux, à savoir : l’énergie solaire thermique (production de chaleur et production d’électricité), l’énergie solaire photovoltaïque, l’énergie éolienne, le développement des énergies renouvelables (stratégies, aspects économiques et environnementaux) et autres (biocarburants, pile à combustion, hydrogène) ont été débattus. De nombreux spécialistes et chercheurs nationaux exerçant en Algérie et à l’étranger ont pris part à ce rassemblement. Parmi eux on peut citer les professeurs Seddik Bacha (France) et Mohand-Ameziane Ouhrouche (Canada). Ces derniers ont d’ailleurs été particulièrement remerciés par le Dr Arkoub «pour avoir partagé avec les organisateurs, dès le début, l’enthousiasme d’organiser ce workshop».
Des experts sont venus de Belgique, du Canada, de France, de Grande-Bretagne, de la Guyane française, du Maroc et de Tunisie.
«En quatre années (2005-2009), le marché des énergies renouvelables, particulièrement celui de l’énergie solaire, a connu un bond fantastique. Les projets sont à plusieurs dizaines, voire même de centaines de mégawatts», explique le Dr Mohand Arkoub.
Notre interlocuteur conclura en rappelant que «l’énergie est l’un des trois enjeux du millénaire. Et notre pays possède tous les atouts pour jouer les premiers rôles».
Le Jeune Indépendant
Pour rappel, l’université de Béjaïa a organisé, mardi et mercredi derniers, le 2e workshop international sur les énergies renouvelables et leurs applications qu’a abrité le campus de Targa Ouzemmour.
Conférences plénières, ateliers, communications orales et posters ont constitué les diverses activités du workshop. Cinq thèmes principaux, à savoir : l’énergie solaire thermique (production de chaleur et production d’électricité), l’énergie solaire photovoltaïque, l’énergie éolienne, le développement des énergies renouvelables (stratégies, aspects économiques et environnementaux) et autres (biocarburants, pile à combustion, hydrogène) ont été débattus. De nombreux spécialistes et chercheurs nationaux exerçant en Algérie et à l’étranger ont pris part à ce rassemblement. Parmi eux on peut citer les professeurs Seddik Bacha (France) et Mohand-Ameziane Ouhrouche (Canada). Ces derniers ont d’ailleurs été particulièrement remerciés par le Dr Arkoub «pour avoir partagé avec les organisateurs, dès le début, l’enthousiasme d’organiser ce workshop».
Des experts sont venus de Belgique, du Canada, de France, de Grande-Bretagne, de la Guyane française, du Maroc et de Tunisie.
«En quatre années (2005-2009), le marché des énergies renouvelables, particulièrement celui de l’énergie solaire, a connu un bond fantastique. Les projets sont à plusieurs dizaines, voire même de centaines de mégawatts», explique le Dr Mohand Arkoub.
Notre interlocuteur conclura en rappelant que «l’énergie est l’un des trois enjeux du millénaire. Et notre pays possède tous les atouts pour jouer les premiers rôles».
Le Jeune Indépendant