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Moi, française, je voulais apporter un autre son de cloche, à propos de l'amitié Algero-arabe.
A en croire les dires de Rafik Saifi, le capitaine de la sélection algérienne de football : « …pour certains joueurs c’était leur première fois dans un pays arabe… Soi-disant des frères mais il n y a ni frères ni rien du tout… ». Ces propos recueillis lors d’une interview, donnée sur les ondes de RMC, appuieraient-ils l’idée, du mépris de l’ex république arabe unie en particulier et les pays, dit, arabes en général envers les algériens ? Comment ne pas y croire alors que les médias Egyptiens se déchainent en mettant en exergue la non arabité de ce peuple : « J’aimerais vous rappeler, vous, algériens, n’êtes pas arabe mais berbères… » insiste à plusieurs reprise le commentateur sportif Egyptien, Mustapha Abdou, dans son émission du 20 novembre. Ce dernier ne s’arrête pas là : « nous vous avons libéré, nous vous avons appris à parler et nous vous avons appris à vous habiller car vous n’êtes même pas bons pour garder les chèvres… »
Bien sûr, il n y a pas que des vérités dans ce que dit ce commentateur mais force est de constater que pour l’épisode du langage il n’est pas loin de la réalité car le mot « parler » dans leur esprit c’est forcément de la langue arabe dont il s’agit et à ce propos voilà ce qu’il envoi en direction des Algériens : « … Vous devez dire merci à l’instituteur Egyptien qui est venu vous apporter la langue et le savoir… ». Il est a rappelé, qu’effectivement, au lendemain du discours de Ben Bella du 28 septembre 1962, dans lequel il affirmait « je suis arabe… » par trois fois, répudiant le socle berbère de ce pays comme en répudie une épouse, en Islam par trois formulations, il a fallu tenir ses promesses et ce sont des contingents d’égyptiens qui se sont déferlés dans les écoles pour arabiser tout ce brave peuple. Les outils pédagogiques ne se sont pas arrêtés là car depuis, l’Egypte est devenu le fournisseur de l’arabisme sous toutes formes. Tout ces bienfaits venu d’Egypte ne sont-t-il pas que des cadeaux empoisonnés qui engageraient les algériens sur la voie de soumission et la reconnaissance éternelle à leur grands frère, voir tuteur ? En tout cas c’Est-ce qui semble en sortir à chaque fois qu’il y a confrontation entre ces deux peuples, soi-disant frères.
Notons-bien la lucidité de M Rafik Saifi, même tardive, au vu de l’agression dont il a était victime avec l’ensemble de ces coéquipier. Il rejoint, ainsi, le grand nationaliste arabe Gamal Abd Elnnacer qui, pendant la guerre de 1967, refusait d’entamer les poches de sang en provenance d’Algérie estimant : « …il faut commencer par le sang Arabe d’abord… ». Dans leur schizophrénie, les Algériens peuvent se consoler du fait que les Egyptiens ne soient pas arabes, eux non plus. A la seul différence ils se réfèrent, quand même, dans les surnoms qu’ils donnent à leurs joueurs, aux pharaons. Quant aux joueurs de la élection Algérienne, originaires, pour la plus part, de Kabylie et parfois de régions voisines toutes du nord, sont comparés aux renard du désert.
Une chose est, maintenant, sûr. Le mortier de l ’arabisme n’est pas armé. Ils s’effiloche à chaque fois et à la moindre des situation. L’Algérie ne sera jamais complètement Arabe, non pas parce que cette dernière ne le souhaite pas mais parce que les Arabes, n’en veulent pas.
A en croire les dires de Rafik Saifi, le capitaine de la sélection algérienne de football : « …pour certains joueurs c’était leur première fois dans un pays arabe… Soi-disant des frères mais il n y a ni frères ni rien du tout… ». Ces propos recueillis lors d’une interview, donnée sur les ondes de RMC, appuieraient-ils l’idée, du mépris de l’ex république arabe unie en particulier et les pays, dit, arabes en général envers les algériens ? Comment ne pas y croire alors que les médias Egyptiens se déchainent en mettant en exergue la non arabité de ce peuple : « J’aimerais vous rappeler, vous, algériens, n’êtes pas arabe mais berbères… » insiste à plusieurs reprise le commentateur sportif Egyptien, Mustapha Abdou, dans son émission du 20 novembre. Ce dernier ne s’arrête pas là : « nous vous avons libéré, nous vous avons appris à parler et nous vous avons appris à vous habiller car vous n’êtes même pas bons pour garder les chèvres… »
Bien sûr, il n y a pas que des vérités dans ce que dit ce commentateur mais force est de constater que pour l’épisode du langage il n’est pas loin de la réalité car le mot « parler » dans leur esprit c’est forcément de la langue arabe dont il s’agit et à ce propos voilà ce qu’il envoi en direction des Algériens : « … Vous devez dire merci à l’instituteur Egyptien qui est venu vous apporter la langue et le savoir… ». Il est a rappelé, qu’effectivement, au lendemain du discours de Ben Bella du 28 septembre 1962, dans lequel il affirmait « je suis arabe… » par trois fois, répudiant le socle berbère de ce pays comme en répudie une épouse, en Islam par trois formulations, il a fallu tenir ses promesses et ce sont des contingents d’égyptiens qui se sont déferlés dans les écoles pour arabiser tout ce brave peuple. Les outils pédagogiques ne se sont pas arrêtés là car depuis, l’Egypte est devenu le fournisseur de l’arabisme sous toutes formes. Tout ces bienfaits venu d’Egypte ne sont-t-il pas que des cadeaux empoisonnés qui engageraient les algériens sur la voie de soumission et la reconnaissance éternelle à leur grands frère, voir tuteur ? En tout cas c’Est-ce qui semble en sortir à chaque fois qu’il y a confrontation entre ces deux peuples, soi-disant frères.
Notons-bien la lucidité de M Rafik Saifi, même tardive, au vu de l’agression dont il a était victime avec l’ensemble de ces coéquipier. Il rejoint, ainsi, le grand nationaliste arabe Gamal Abd Elnnacer qui, pendant la guerre de 1967, refusait d’entamer les poches de sang en provenance d’Algérie estimant : « …il faut commencer par le sang Arabe d’abord… ». Dans leur schizophrénie, les Algériens peuvent se consoler du fait que les Egyptiens ne soient pas arabes, eux non plus. A la seul différence ils se réfèrent, quand même, dans les surnoms qu’ils donnent à leurs joueurs, aux pharaons. Quant aux joueurs de la élection Algérienne, originaires, pour la plus part, de Kabylie et parfois de régions voisines toutes du nord, sont comparés aux renard du désert.
Une chose est, maintenant, sûr. Le mortier de l ’arabisme n’est pas armé. Ils s’effiloche à chaque fois et à la moindre des situation. L’Algérie ne sera jamais complètement Arabe, non pas parce que cette dernière ne le souhaite pas mais parce que les Arabes, n’en veulent pas.
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