Le rapatriement des deux étudiants agressés à coups de couteau en Egypte dans la journée de dimanche n'a pas eu lieu.
De sources consulaires algériennes du Caire, nous apprenons que l'ambassadeur d'Algérie en Egypte a retardé leur rapatriement et a demandé la constitution d'une commission internationale pour les présenter comme «preuves des graves persécutions des ressortissants algériens en Egypte».
La commission dont il est fait cas est, dit-on, composée de représentants d'institutions internationales accréditées en Egypte dont celle onusienne.
Le Quotidien d'Oran
De sources consulaires algériennes du Caire, nous apprenons que l'ambassadeur d'Algérie en Egypte a retardé leur rapatriement et a demandé la constitution d'une commission internationale pour les présenter comme «preuves des graves persécutions des ressortissants algériens en Egypte».
La commission dont il est fait cas est, dit-on, composée de représentants d'institutions internationales accréditées en Egypte dont celle onusienne.
Le Quotidien d'Oran
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