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Pour un destin commun

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  • Pour un destin commun



    Tôt ou tard, les pays du Maghreb seront amenés à instaurer un minimum de coopération entre eux. Il y va de leur survie dans une économie mondiale en pleine mutation.
    L’Algérie et le Maroc, les deux grands pays du Maghreb, se complètent merveilleusement. Une ouverture, à travers plusieurs milliers de kilomètres, sur deux façades maritimes : l’Atlantique et la Méditerranée, d’énormes richesses minières à exploiter et un marché potentiel de plus de 60 millions de personnes. Autant d’atouts, s’ils sont convenablement exploités, notamment dans le cadre d’un marché commun maghrébin, qui créeront une aire de croissance économique maghrébine.
    le non Maghreb représente un manque à gagner en termes de taux de croissance de presque 1% pour chaque pays du Maghreb». 1% de moins en emplois créés, de pouvoir d’achat distribué et de marché interne élargi.
    Élargissement de marché seul à même d’attirer les investissements étrangers, et de créer encore, par effet boule-de-neige, plus d’emplois, plus de croissance, plus de prospérité. Or, malgré les efforts du FMI pour appuyer l’intégration régionale maghrébine, la construction du Maghreb n’est pas encore à l’ordre du jour.
    N’empêche, ce marché commun maghrébin se fera un jour. Quand ? Dieu seul le sait. Or,
    La frontière étant fermée officiellement, et la nature ayant horreur du vide, le commerce illégal s’est installé confortablement en empruntant les réseaux, plus que tolérés, de la contrebande.
    Ainsi, au moment où à Oujda on mange du pain algérien, déguste les dattes algériennes et on roule avec du carburant algérien, de l’autre côté de la frontière, on ne trouve pas seulement des légumes et fruits qui ont poussé au Maroc mais aussi jeans, djellabas, caftans, tissus d’ameublement, électronique en provenance de Nador ou d’une autre ville du Nord marocain.
    L’amélioration des relations entre l’Algérie et le Maroc est un souhait, une revendication très populaire. Il y va de la sécurité et de la prospérité de la région maghrébine. Tout le monde y gagnera. Le Maroc, qui paie une lourde facture énergétique, a besoin du pétrole et du gaz algériens.
    L’agriculture marocaine ayant fait ses preuves, les Algériens n’auront plus besoin de passer par la France pour acheter les tomates et autres produits agricoles marocains.
    La confiance mutuelle qui renaît entre deux pays jeunes qui évoluent, associée à la volonté affichée et déclarée des deux côtés, ne peut que travailler pour l’ouverture des marchés. Au profit de tous.
    Aujourd’hui plus qu’hier, dans cet espace euro–méditerranéen en ébullition, la donne maghrébine reste fondamentale. Certes, le Maghreb ne se fera pas seulement selon des logiques de marchés. L’une des clés du succès du projet maghrébin reste avant tout sa capacité à réagir à l’environnement européen.

  • #2
    Ils sont prêts à tout pour fuir leur pays et tenter l’aventure ailleurs. Ce ne sont pas de simples migrants à la recherche d’un emploi, mais des désespérés.

    « Mektoub ! » C’est le destin… Les harraga (ceux qui « brûlent » les frontières) sont les héros modernes d’une tragédie antique, d’un face-à-face incertain avec la mort ou la réussite. Des jeunes gens qui, au péril de leur vie, défient Mare Nostrum pour rejoindre des hypothétiques lendemains radieux, aperçus dans le poste de télévision familial ou sur l’écran d’ordinateur d’un cybercafé. Faute d’outils statistiques fiables – une solide chape de plomb entoure le sujet, car il est toujours pénible de jauger ses propres échecs –, il est difficile de mesurer précisément l’ampleur du phénomène. Mais en recoupant, en interrogeant, en compilant, il est possible d’en évaluer l’importance et la lourde signification pour les sociétés maghrébines.
    Avec en corollaire cette lancinante question : pourquoi ? Pourquoi « brûler » sa jeunesse, sa vie dans une mer sombre et glacée ou sur les rochers de la forteresse européenne ?
    De Rabat à Tunis en passant par Alger, une piste de conclusion se dessine. C’est autant un eldorado virtuel que recherchent ces aventuriers que la fuite d’un quotidien bouché, obéré par des gouvernements encore trop déconnectés de leur vraie richesse : leur jeunesse, souvent méprisée et, in fine, déshéritée…

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    • #3
      c'est vrai qu'on a sacrifié bcp de générations et ce n'est pas prés d'étre arrété, ils faut que la sociéte civile des deux pays fera un forcing sur les gouvernement en place pour les ammener a ouvrir les dernières frontiére fermés au monde.

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      • #4
        c vrai notre force c dans notre union
        avec l'union on aura plus de poid et plus de crédibilité

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        • #5
          Amen.........
          Je fais plein de fautes d'ortoghraphes : soyez indulgeants

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          • #6
            avec l'union on aura plus de poid et plus de crédibilité

            pour celà , il faudra couper plusieurs têtes : les unes couronnées et les autres galonnées ....

            je sais c'est barbare , mais nos dirigeants ne sont pas prets de laisser cette union se faire
            " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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            • #7
              depuis que chicha n'est plus là, on parle d'union. L'avez-vous remarqué?
              Si houari pouvait repartir à Khartoum, ce serait le best héhhéhé

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              • #8
                Pour un destin commun
                nous sommes condamné à etre voisins geographiquement pour toujours ! personne ne peut démenager ! lol
                des pays partageant presque le même dialecte , meme religion , même mentalité , ne peuvent qu'avoir un avenir en commun !!!

                le non Maghreb représente un manque à gagner en termes de taux de croissance de presque 1% pour chaque pays du Maghreb». 1% de moins en emplois créés, de pouvoir d’achat distribué et de marché interne élargi.
                C'est grave ce 1% !! !!
                si c'etait seulement pour le Maroc et l'Algerie on aurait dit que c'est normal vu les circonstances !!! mais bon les autres pays du maghreb ont des frontières ouvertes depuis presque toujours !!! alors pourquoi ce 1% entres eux ????

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                • #9
                  Si houari pouvait repartir à Khartoum, ce serait le best héhhéhé
                  aucun problème, on va patienter,.....la coupe d'afrique c pour quand....?????

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                  • #10
                    pour celà , il faudra couper plusieurs têtes : les unes couronnées et les autres galonnées ....
                    les têtes couronnées?? je crois pas. M6 a prouvé qu'il voulait le bien de tout le maghreb. ce sont les galonnés qui ont pris ça pour de la faiblesse. ils doivent assumer devant les peuples et devant l'histoire.....

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                    • #11
                      mais bon les autres pays du maghreb ont des frontières ouvertes depuis presque toujours !!! alors pourquoi ce 1% entres eux ????
                      il sont solidaire ils peuvent pas avancer sans leurs freres

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