Paternité
Largué les amarres floues
Sur les mers de cailloux
Au contact des brulots
Les flots sont devenu fous
Souvenirs de calanques
Asphyxié l'air des banques
Maries l'oxygène de l'air
Au siphons des réverbères
Respire a pleins poumons
Les fragrances de l'automne
Coloriages et coup de crayons,
Ferons de toi un homme
Singularité des hilarités
Au pied des sapins hérités
Le voile de l'éphémère
A construit tes rêves de pères
Message lacrymal en substance
Que tu peint dans tes stances
Tu vis des mots, tu survit
Tu vide ton sang, c'est ta vie
Obsédé par les écrans de carton,
Où Babylone a dessiné l'idéal
Tu en marre d'être Tonton
Tu est ivre d'un liquide fœtal
Calcul de calvaires,
Tu montre tes dents, tel l'affamé
Dégivrage de l'âme calcaire
Brisées sur la glace d'une destinée
Rien ne te console,
Pas même la mort, ni l'oubli
Ni même ces statues Mongole
Qui se moque de tes nuits...
Chaarar,
Largué les amarres floues
Sur les mers de cailloux
Au contact des brulots
Les flots sont devenu fous
Souvenirs de calanques
Asphyxié l'air des banques
Maries l'oxygène de l'air
Au siphons des réverbères
Respire a pleins poumons
Les fragrances de l'automne
Coloriages et coup de crayons,
Ferons de toi un homme
Singularité des hilarités
Au pied des sapins hérités
Le voile de l'éphémère
A construit tes rêves de pères
Message lacrymal en substance
Que tu peint dans tes stances
Tu vis des mots, tu survit
Tu vide ton sang, c'est ta vie
Obsédé par les écrans de carton,
Où Babylone a dessiné l'idéal
Tu en marre d'être Tonton
Tu est ivre d'un liquide fœtal
Calcul de calvaires,
Tu montre tes dents, tel l'affamé
Dégivrage de l'âme calcaire
Brisées sur la glace d'une destinée
Rien ne te console,
Pas même la mort, ni l'oubli
Ni même ces statues Mongole
Qui se moque de tes nuits...
Chaarar,
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