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Ouverture demain du Premier festival de poésie féminine à Biskra où 150 poétesses algériennes et étrangères seront mise à l'honneur. La voix de la femme algérienne saura se décliner et pourra ainsi exprimer toute la beauté et la force de son verbe.
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Biskra, la ville qui a donné naissance au grand poète Khélifi Ahmed et à Abdelhamid Ababsa, qui a reproduit la légende de Hiziya, sera l’hôte cette semaine de la poésie féminine. C’est à partir de demain, en effet, que s’ouvrira à Biskra, jusqu’au 18 janvier, le premier festival de la poésie féminine.
Placée sous le haut patronage du ministère de la Culture, cette manifestation, qui se veut internationale, accueillera 150 poétesses algériennes et étrangères. La voix féminine, douce et gracieuse, se fera entendre dans toute la palmeraie.
Les poétesses algériennes, représentant les quatre coins du pays, recevront leurs amies venues de France, d’Espagne, de Jordanie, des Emirats arabes unis, mais aussi de la Chine, pour un rendez-vous d’échanges et de partage de la culture et du verbe.
Elles déclameront ensemble leurs poèmes, dans des langages différents, mais dans une langue unique : celle de l’expression poétique. Pour la partie algérienne, nous retrouverons dans cette édition des noms féminins très connus dans les milieux poétiques.
Il s’agit, notamment, de Rabéa Djelti, Mounira Saâd Khelkhal, Fouzia Laradi, Aïda Saâdi, Yamina Ben Mecheri et beaucoup d’autres plumes de l’écriture poétique, ainsi que toutes ces femmes qui n’ont pas eu l’occasion de se faire connaître, mais qui le feront durant cette semaine.
Ce festival également verra l’organisation de conférences-débats. Le poète Allaoua Djarwa Wahbi animera une conférence sur l’œuvre de Zoulikha Saoudi. Ses collègues, Saâd Boufelaka et Ahmed Cheriet, se prononceront, à leur tour, sur la littérature féminine et sur les écrits féminins dans la presse algérienne.
Le rendez-vous sera ainsi consacré à la création féminine totalement. Point de code de la famille, ni du rôle de la femme dans la politique et l’économie, mais on parlera simplement de ce côté singulier chez la femme, celui de l’écriture.
La femme algérienne a tout donné à sa patrie, à sa famille et à son entourage. Mais sa force est encore plus admirable lorsqu’elle s’exprime par le verbe et lorsque celui-ci devient la source de la beauté elle-même.
Par Le Jeune Indépendant
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Biskra, la ville qui a donné naissance au grand poète Khélifi Ahmed et à Abdelhamid Ababsa, qui a reproduit la légende de Hiziya, sera l’hôte cette semaine de la poésie féminine. C’est à partir de demain, en effet, que s’ouvrira à Biskra, jusqu’au 18 janvier, le premier festival de la poésie féminine.
Placée sous le haut patronage du ministère de la Culture, cette manifestation, qui se veut internationale, accueillera 150 poétesses algériennes et étrangères. La voix féminine, douce et gracieuse, se fera entendre dans toute la palmeraie.
Les poétesses algériennes, représentant les quatre coins du pays, recevront leurs amies venues de France, d’Espagne, de Jordanie, des Emirats arabes unis, mais aussi de la Chine, pour un rendez-vous d’échanges et de partage de la culture et du verbe.
Elles déclameront ensemble leurs poèmes, dans des langages différents, mais dans une langue unique : celle de l’expression poétique. Pour la partie algérienne, nous retrouverons dans cette édition des noms féminins très connus dans les milieux poétiques.
Il s’agit, notamment, de Rabéa Djelti, Mounira Saâd Khelkhal, Fouzia Laradi, Aïda Saâdi, Yamina Ben Mecheri et beaucoup d’autres plumes de l’écriture poétique, ainsi que toutes ces femmes qui n’ont pas eu l’occasion de se faire connaître, mais qui le feront durant cette semaine.
Ce festival également verra l’organisation de conférences-débats. Le poète Allaoua Djarwa Wahbi animera une conférence sur l’œuvre de Zoulikha Saoudi. Ses collègues, Saâd Boufelaka et Ahmed Cheriet, se prononceront, à leur tour, sur la littérature féminine et sur les écrits féminins dans la presse algérienne.
Le rendez-vous sera ainsi consacré à la création féminine totalement. Point de code de la famille, ni du rôle de la femme dans la politique et l’économie, mais on parlera simplement de ce côté singulier chez la femme, celui de l’écriture.
La femme algérienne a tout donné à sa patrie, à sa famille et à son entourage. Mais sa force est encore plus admirable lorsqu’elle s’exprime par le verbe et lorsque celui-ci devient la source de la beauté elle-même.
Par Le Jeune Indépendant