Têtu, obsédé, râleur ou carrément cracra, il est fait ainsi et c’est à prendre ou à laisser!
Oui, l’Homo basicus est livré avec quelques bugs qu’on est bien obligé d’accepter avec le tout
La mauvaise foi
Difficile de se disputer avec classe quand l’autre nous retourne chacun de nos reproches avec un «mais c’est toi qui…». Contrairement à ce que prétend ce cher Petit Robert (un dictionnaire sexiste), la mauvaise foi est du genre masculin. Faire reconnaître son tort à un homme, c’est comme inviter un agoraphobe au Paléo: Mission impossible.
La lâcheté
Pour éviter les prises de tête, l’amant lassé préfère laisser pourrir la situation plutôt que de faire face. Il laisse le soin de rompre à sa moitié plus si douce. De même, il ne dira jamais franchement que ce blond platine est raté, mais «ça te change». L’homme est aussi courageux que l’âne dans Shrek , mais n’oubliez pas que ce dernier épouse la dragonne!
Le rapport au sexe
Peu après avoir emménagé avec son chéri, mon amie Magdalena a trouvé des films pornos cachés dans un sac plastique derrière un meuble. Elle s’est dit que cela devait être normal chez un garçon et ne lui a pas posé de questions. Quand on sait que les hommes ont 107 pensées sexuelles par jour, il n’est pas surprenant qu’ils préfèrent compter les jours depuis notre dernier coït plutôt que depuis notre dernier dîner aux chandelles. Et la tendresse ?
La phobie de l’engagement
Parlez-lui du dernier modèle d’alliance Cartier et observez le changement de couleur sur son visage. Extasiez-vous devant ces moon-boots miniatures dans la vitrine d’Ochsner et essayez de le rattraper trois blocs plus loin. L’homme craint l’engagement comme Superman craint la kryptonite, les superpouvoirs en moins.
L’irritabilité
Certains hommes ont tendance à partir au quart de tour quand on leur fait la moindre remarque. Ils se sentent agressés et ripostent de toute leur testo-stérone, comme si on voulait leur prendre l’Alsace et la Lorraine. Vivre avec un caractériel, c’est rejouer encore et encore Mes nuits avec mon ennemi: épuisant.
L’immaturité
Quand il voit un truc qui lui plaît, il le veut TOUT DE SUITE, quand il est malade, il disparaît sous les couvertures et quand il allume l’ordi, il commence d’abord par faire une partie de Paf le chien. Pas de doute, l’homme n’arrive jamais complètement à maturité, comme Peter Pan.
L’échelle des valeurs
Elle est en général inverse à la nôtre. Une différence fondamentale, que dis-je, chromosomique, qui transcende Mars et Vénus et qui se vérifie au vidéoshop, au restaurant, en vacances, devant l’avocat qui réglera votre divorce. Même pas besoin de louer Ce que pensent les hommes pour l’attester.
Le laisser-aller
Abandonnez un homme seul un mois et vous le retrouverez avec le même jogging, un T-shirt douteux, les orteils crochus et les poils qui dépassent des oreilles. Souvent, nos chers et tendres n’en ont rien à faire de leur apparence, voire de leur hygiène, ces choses si superficielles. Changer les draps chaque semaine, quelle perte de temps! Laissez-le un an et c’est Félix, du Père Noël est une ordure: un clochard!
La misogynie
Peu importent leurs origines ou leur éducation, les hommes restent néandertaliens donc un brin macho, mais c’est comme ça qu’on les aime. Qu’ils n’aient qu’un, deux ou tous les défauts cités, ils pimentent notre quotidien. Sans eux, on s’ennuierait autant que devant Hiroshima mon amour!
La maniaquerie
Le drame, c’est de tomber à l’inverse sur un obsédé du grain de poussière qui voudrait qu’on enfile des patins en feutre avant d’entrer chez lui. Et le pire, c’est qu’une fois en ménage, il voudra qu’on javellise le sol comme si c’était là qu’on allait prendre nos repas et qu’on range les provisions dans des boîtes hermétiques. Préparez-vous à vivre une dramatique sixième saison de Desperate Housewives.
Fémina
Oui, l’Homo basicus est livré avec quelques bugs qu’on est bien obligé d’accepter avec le tout
La mauvaise foi
Difficile de se disputer avec classe quand l’autre nous retourne chacun de nos reproches avec un «mais c’est toi qui…». Contrairement à ce que prétend ce cher Petit Robert (un dictionnaire sexiste), la mauvaise foi est du genre masculin. Faire reconnaître son tort à un homme, c’est comme inviter un agoraphobe au Paléo: Mission impossible.
La lâcheté
Pour éviter les prises de tête, l’amant lassé préfère laisser pourrir la situation plutôt que de faire face. Il laisse le soin de rompre à sa moitié plus si douce. De même, il ne dira jamais franchement que ce blond platine est raté, mais «ça te change». L’homme est aussi courageux que l’âne dans Shrek , mais n’oubliez pas que ce dernier épouse la dragonne!
Le rapport au sexe
Peu après avoir emménagé avec son chéri, mon amie Magdalena a trouvé des films pornos cachés dans un sac plastique derrière un meuble. Elle s’est dit que cela devait être normal chez un garçon et ne lui a pas posé de questions. Quand on sait que les hommes ont 107 pensées sexuelles par jour, il n’est pas surprenant qu’ils préfèrent compter les jours depuis notre dernier coït plutôt que depuis notre dernier dîner aux chandelles. Et la tendresse ?
La phobie de l’engagement
Parlez-lui du dernier modèle d’alliance Cartier et observez le changement de couleur sur son visage. Extasiez-vous devant ces moon-boots miniatures dans la vitrine d’Ochsner et essayez de le rattraper trois blocs plus loin. L’homme craint l’engagement comme Superman craint la kryptonite, les superpouvoirs en moins.
L’irritabilité
Certains hommes ont tendance à partir au quart de tour quand on leur fait la moindre remarque. Ils se sentent agressés et ripostent de toute leur testo-stérone, comme si on voulait leur prendre l’Alsace et la Lorraine. Vivre avec un caractériel, c’est rejouer encore et encore Mes nuits avec mon ennemi: épuisant.
L’immaturité
Quand il voit un truc qui lui plaît, il le veut TOUT DE SUITE, quand il est malade, il disparaît sous les couvertures et quand il allume l’ordi, il commence d’abord par faire une partie de Paf le chien. Pas de doute, l’homme n’arrive jamais complètement à maturité, comme Peter Pan.
L’échelle des valeurs
Elle est en général inverse à la nôtre. Une différence fondamentale, que dis-je, chromosomique, qui transcende Mars et Vénus et qui se vérifie au vidéoshop, au restaurant, en vacances, devant l’avocat qui réglera votre divorce. Même pas besoin de louer Ce que pensent les hommes pour l’attester.
Le laisser-aller
Abandonnez un homme seul un mois et vous le retrouverez avec le même jogging, un T-shirt douteux, les orteils crochus et les poils qui dépassent des oreilles. Souvent, nos chers et tendres n’en ont rien à faire de leur apparence, voire de leur hygiène, ces choses si superficielles. Changer les draps chaque semaine, quelle perte de temps! Laissez-le un an et c’est Félix, du Père Noël est une ordure: un clochard!
La misogynie
Peu importent leurs origines ou leur éducation, les hommes restent néandertaliens donc un brin macho, mais c’est comme ça qu’on les aime. Qu’ils n’aient qu’un, deux ou tous les défauts cités, ils pimentent notre quotidien. Sans eux, on s’ennuierait autant que devant Hiroshima mon amour!
La maniaquerie
Le drame, c’est de tomber à l’inverse sur un obsédé du grain de poussière qui voudrait qu’on enfile des patins en feutre avant d’entrer chez lui. Et le pire, c’est qu’une fois en ménage, il voudra qu’on javellise le sol comme si c’était là qu’on allait prendre nos repas et qu’on range les provisions dans des boîtes hermétiques. Préparez-vous à vivre une dramatique sixième saison de Desperate Housewives.
Fémina
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