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Des clandestins algériens ont été arrêtés en Turquie, au Maroc ainsi qu'à Malte. Ce fut un bien triste Aïd pour eux.
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Des immigrants illégaux de nationalité algérienne ont été interceptés, ces derniers jours de l’Aïd, par les autorités portuaires de la Turquie, du Maroc et de Malte pour immigration clandestine. Certains d’entre eux devaient être rapatriés vers leur pays d’origine, tandis que d’autres ont été incarcérés dans des centres de détention en attendant leur expulsion. Une partie de ces ressortissants algériens auraient été arrêtés dans la zone d’Edirn, à 230 km au nord-ouet d’Istanbul, proche de la Bulgarie par la police militaire turque. En attendant leur déportation vers l’Algérie, ces ressortissants, dont le nombre n’a pas été communiqué, se trouvent actuellement détenus dans une prison de la ville d’Istanbul (Turquie). Accompagnés d’autres immigrants illégaux, ils avaient tenté de franchir la frontière pour gagner vraisemblablement la Hongrie.
D’autre part, deux immigrants clandestins repérés à bord d’un navire marocain au large d’Agadir ont été interdits par la PAF marocaine de descendre du navire jusqu’à leur rapatriement à leur pays d’origine.
Pour leur rentrée au pays, une compagnie maritime marocaine, tout en se disant prête à payer les frais du voyage, vient de lancer un appel au consulat général d’Algérie à Casablanca pour que soit délivré aux deux immigrants clandestins (Idan Hichem et Kherbane Aziz) un laisser-passer en vue de leur rapatriement vers Alger. Les deux Algériens, expulsés de Rotterdam (Hollande), ne seraient détenteurs d’aucun document d’identité. La compagnie maritime précise que Aziz et Hichem auraient embarqué clandestinement le 23 novembre 2005, à partir de Casablanca à bord d’un porte-container marocain, en partance vers les Pays-Bas. Dans ce pays, ils avaient tenté d’obtenir l’asile, mais les autorités policières les a re-embarqués après avoir infligé au commandant une amende de 12.000 euros. De retour à Casablanca, la PAF marocaine a catégoriquement refusé leur descente du navire.
A Malte, les autorités portuaires de Marsaxlokk essayaient depuis avant-hier de négocier le sort de 5 citoyens algériens âgés entre 18 et 48 ans, arrivés clandestinement au port de la ville dans la nuit du mardi à mercredi (jours coïncidant avec la fête de l’Aïd). Les responsables du navire North Sun, battant, semble-t-il, pavillon russe, auraient refusé de les reprendre.
La police du port ayant procédé à la capture puis à l’arrestation des 5 personnes, alors qu’elles tentaient de descendre d’un container vide, avait indiqué que les clandestins auraient pu s’introduire à bord du bateau à partir du port d’Alger. Se référant à leurs déclarations, la police précise qu’ils furent aidés par une tierce partie, cette partie ayant une parfaite connaissance du programme de l’établissement portuaire algérien. Jusqu’à hier, le port de Marsaxlokk refusait toujours de laisser partir le bateau, tandis que pour le cas des ressortissants algériens, une incarcération dans un centre de détention pour immigrants est envisagée, et cela en attendant leur expulsion.
Par Le Quotidien d'Oran
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Des immigrants illégaux de nationalité algérienne ont été interceptés, ces derniers jours de l’Aïd, par les autorités portuaires de la Turquie, du Maroc et de Malte pour immigration clandestine. Certains d’entre eux devaient être rapatriés vers leur pays d’origine, tandis que d’autres ont été incarcérés dans des centres de détention en attendant leur expulsion. Une partie de ces ressortissants algériens auraient été arrêtés dans la zone d’Edirn, à 230 km au nord-ouet d’Istanbul, proche de la Bulgarie par la police militaire turque. En attendant leur déportation vers l’Algérie, ces ressortissants, dont le nombre n’a pas été communiqué, se trouvent actuellement détenus dans une prison de la ville d’Istanbul (Turquie). Accompagnés d’autres immigrants illégaux, ils avaient tenté de franchir la frontière pour gagner vraisemblablement la Hongrie.
D’autre part, deux immigrants clandestins repérés à bord d’un navire marocain au large d’Agadir ont été interdits par la PAF marocaine de descendre du navire jusqu’à leur rapatriement à leur pays d’origine.
Pour leur rentrée au pays, une compagnie maritime marocaine, tout en se disant prête à payer les frais du voyage, vient de lancer un appel au consulat général d’Algérie à Casablanca pour que soit délivré aux deux immigrants clandestins (Idan Hichem et Kherbane Aziz) un laisser-passer en vue de leur rapatriement vers Alger. Les deux Algériens, expulsés de Rotterdam (Hollande), ne seraient détenteurs d’aucun document d’identité. La compagnie maritime précise que Aziz et Hichem auraient embarqué clandestinement le 23 novembre 2005, à partir de Casablanca à bord d’un porte-container marocain, en partance vers les Pays-Bas. Dans ce pays, ils avaient tenté d’obtenir l’asile, mais les autorités policières les a re-embarqués après avoir infligé au commandant une amende de 12.000 euros. De retour à Casablanca, la PAF marocaine a catégoriquement refusé leur descente du navire.
A Malte, les autorités portuaires de Marsaxlokk essayaient depuis avant-hier de négocier le sort de 5 citoyens algériens âgés entre 18 et 48 ans, arrivés clandestinement au port de la ville dans la nuit du mardi à mercredi (jours coïncidant avec la fête de l’Aïd). Les responsables du navire North Sun, battant, semble-t-il, pavillon russe, auraient refusé de les reprendre.
La police du port ayant procédé à la capture puis à l’arrestation des 5 personnes, alors qu’elles tentaient de descendre d’un container vide, avait indiqué que les clandestins auraient pu s’introduire à bord du bateau à partir du port d’Alger. Se référant à leurs déclarations, la police précise qu’ils furent aidés par une tierce partie, cette partie ayant une parfaite connaissance du programme de l’établissement portuaire algérien. Jusqu’à hier, le port de Marsaxlokk refusait toujours de laisser partir le bateau, tandis que pour le cas des ressortissants algériens, une incarcération dans un centre de détention pour immigrants est envisagée, et cela en attendant leur expulsion.
Par Le Quotidien d'Oran