Selon les dires de plusieurs oracles, la fin du monde serait prévue pour le 21 Décembre 2012! L’un des plus anciens calendriers de l’histoire tire à sa fin. Le 21 Décembre 2012, selon leurs traditions, les Mayas indiquent un changement radical et global à l’échelle mondiale. Au solstice de l’hiver 2012, ils confirment sans équivoque la fin du monde tel que nous le connaissons aujourd’hui. Le terme «la fin du monde» peut prendre plusieurs significations: Apocalypsos ne signifie nullement destruction mais révélations en grec. L’Apocalypse est le dernier livre de la Bible. C’est une révélation sur la fin du monde. Les prophétie de fin du monde ont été annoncées selon l’Encyclopédie Wikipédia avec les occurrences suivantes: Résultats pour Fin du Monde: - 18.400.000 pages en français- Résultats pour End of the World: - 784.000.000 pages en anglais (et français). Pour la période récente -depuis 1975- 35 fois! A quand la prochaine du Monde? Pour les Mayas en 2012 se terminerait leur calendrier et avec lui, les êtres vivants. Pourtant, il semble au contraire que le calendrier se base sur un système de cycles, après chaque cycle un autre recommence. Le calendrier maya est basé sur le passage de la planète sur l’assiette magnétique de la galaxie, quand elle se trouve exactement dans l’axe du noyau galactique. Ophiuchus est le nom de la constellation sise au-dessus du Scorpion et du Sagittaire et le Soleil s’alignera sur le centre galactique représenté par un trou dans le ciel mille fois représenté par les Mayas...La galaxie n’est pas maintenue en forme d’assiette par de petites brises printanières. Et visuellement...si la terre tournait sur elle-même en touchant cette «assiette magnétique»...on pourrait alors croire que «les étoiles tombent du ciel» comme dit dans les prophéties apocalyptiques.
Des images fortes
La thèse de la fin du monde a été reprise par le scénario du film à succès 2012.
Peut-on croire que la fin du Monde est déjà arrivée? Les seuls récits que nous avons sont des écrits historico-religieux basés sur la corruption du genre humain. Le 3 décembre 1872, George Smith, spécialiste en assyriologie au British Museum, déchiffre devant la Société d’archéologie biblique de Londres le texte figurant sur une tablette d’argile originaire de...Ourouk en Irak. Cette tablette remonte aux environs du XVe siècle avant-J.-C. Elle est écrite en caractères cunéiformes, la plus ancienne écriture connue, et raconte rien moins que le Déluge! Plus vieux que la Bible! Les similitudes avec le texte biblique sont frappantes. Il y est question d’un homme, Utanapishtim. Il est informé par le dieu de la Sagesse que l’assemblée des divinités a décidé de détruire l’humanité. Et le dieu de donner ce conseil à Utanapishtim: «Démolis ta maison pour te faire un bateau! Renonce à tes richesses pour sauver ta vie! Détourne-toi de tes biens pour te garder sain et sauf! Mais embarque avec toi des spécimens de tous les animaux.» Pendant six jours et six nuits les vents soufflèrent, le torrent, la tempête et l’inondation accablèrent le monde, la tempête et l’inondation firent rage ensemble comme des armées en bataille. «Quand l’aube du septième jour se leva, l’orage qui venait du sud s’apaisa, la mer devint calme, l’inondation était apaisée; je regardai la face du monde, et c’était le silence, toute l’humanité était changée en argile. La surface de la mer s’étendait aussi plate que le sommet d’un toit; j’ouvris une écoutille et la lumière tomba sur mon visage. Alors, je m’inclinai profondément, je m’assis et pleurai; les larmes ruisselaient sur mon visage car de tous les côtés c’était le désert de l’eau.» Et après le déluge, ce très beau moment: Puis je lâchai un corbeau. Le corbeau prit son vol. Lorsqu’il vit les eaux se retirer. Ayant trouvé de la nourriture, il se posa et ne revint plus. Alors, je lâchai. Tout ce que le bateau contenait, aux quatre vents.
On verra que dans la Bible, la colombe revient avec dans son bec un rameau d’olivier. Le vaisseau échoue sur une montagne appelée Ourartou dans le récit sumérien, Ararat dans la Bible, Le Joudi dans le Coran. Le cataclysme est présenté chaque fois comme un châtiment mérité par les hommes et qui permet à l’humanité de devenir meilleure. La tablette du déluge est la onzième d’un lot de douze tablettes en écriture cunéiforme qui racontent l’épopée mythique d’un roi, Gilgamesh. Celui-ci aurait régné vers 2600 avant J.-C. sur la cité d’Ourouk. Gilgamesh s’interroge sur la précarité des régimes politiques et sur la recette qui pourrait leur donner l’immortalité. Il prend la route en direction de la porte d’où le soleil se lève pour demander conseil à son aïeul Uta-Napishtim. Après lui avoir raconté l’histoire du déluge auquel il a échappé, Uta-Napishtim indique à Gilgamesh l’endroit où il trouvera la plante de vie. C’est à son retour que la ville d’Uruk s’entourera d’un rempart, gigantesque pour l’époque, qu’elle développera tout un réseau d’irrigation et qu’elle connaîtra une période de prospérité dont l’archéologie témoigne..C.E.Chitour: Le déluge entre mythologie et religions révélées. Un défi pour la science L’Expression 04 Octobre 2007
Au total, 13 récits du Déluge sont arrivés jusqu’à nous. Il existe dans le monde de nombreux récits de déluge, par exemple chez les Incas, en Amérique du Sud, chez les Delawares, Indiens de l’est de l’Amérique du Nord. Dans la tradition grecque, parce que Jupiter considérait les hommes comme des criminels et qu’il avait été menacé de mort par l’un d’entre eux, il décida d’anéantir l’humanité. Plusieurs mythes indiens relatent les mêmes faits. Origines sumériennes. Dans cette version, Noé se nomme Ziousoudra. L’homme est devenu orgueilleux et pense qu’il est l’égal des dieux. Dans la mythologie égyptienne, ne craignant pas de tuer des hommes, la déesse Sekhmet se livre à un effroyable carnage et boit le sang de ses victimes. Les dieux s’inquiètent de la fin proche de l’humanité. Pour sauver ce qui peut encore l’être, ils inondent un champ d’un liquide rouge sang. Attiré par ce liquide, Sekhmet le boit jusqu’à la dernière goutte et s’effondre «saoulée» par cette boisson. Lorsqu’elle se réveille de son coma éthylique, l’humanité est sauvée et les hommes ont compris une leçon: ne jamais négliger les dieux. C’est son orgueil qui le mène à une quasi-destruction. Il existe quatre versions principales du Déluge selon la mythologie chinoise.
Le plus ancien récit que nous avons est «L’an 600 de la vie de Noé, au second mois, le dix-septième jour du mois, en ce jour-là, toutes les fontaines du grand abîme se rompirent, et les écluses des cieux s’ouvrirent. Et le déluge fut sur la terre 40 jours, et toutes les montagnes qui étaient sous tous les cieux furent couvertes.» (Genèse 7 versets 11, 17 et19) (...) Nous avons de cet événement deux enseignements bien utiles à tirer. Tout d’abord, le fait que le monde de ce temps-là ait été détruit par un déluge universel, à cause de la méchanceté et de la violence des hommes, nous fait réfléchir sérieusement sur le danger qui plane maintenant au-dessus du monde actuel.
S’agit-il là de faits authentiques? Voici ce qu’à dit un scientifique, Monsieur Hapgoog: «L’une des grandes destructions de vie se produisit à la fin de la dernière période glaciaire. D’après la datation des carottes prélevées au fond de la mer de Ross, la dernière période glaciaire ne commença qu’il y a 6000 ans. Des bouleversements gigantesques ont enfoui des fossiles bien au-dessous de matériaux terrestres énormément plus vieux qu’eux. Il y a des signes indiquant que de grandes étendues de la Terre furent inondées en quelques temps.» (Revue Newsweek, 23 décembre 1963). Les restes d’animaux. Le caractère instantané de cette catastrophe universelle, nous est révélé par l’état des restes des animaux retrouvés dans la région arctique, où des millions de bêtes ont été, à une époque géologique assez récente, tuées subitement et instantanément congelées dans la boue et la glace du sous-sol arctique. On dirait que des troupes d’animaux qui paissaient ou chassaient ont été subitement soulevées par un énorme raz-de-marée et déposées sur des bandes de terre le long du nord du Canada, de l’Alaska et de la Sibérie. Elles sont toujours là par millions, sous forme de tas d’ossements de chair et de fourrure. Souvent il s’agit d’espèces qui, normalement, ne vivaient pas ensemble. La façon dont ils ont été ensevelis, laisse supposer qu’ils sont tous morts en même temps, et qu’ensuite ils ont été transportés pêle-mêle par des forces très grandes.
Le docteur Frank Hibbon, professeur d’archéologie au Nouveau-Mexique, a visité cette région au cours d’une expédition ayant pour but l’étude des mammouths de l’Alaska. Il a observé à propos de la confusion des restes gelés de chevaux, de bisons, de tigres dents-de-sabre, de lions, de cerfs, d’ours et de mammouths: «Nous trouvons aussi parmi la boue d’Alaska, des preuves de bouleversements atmosphériques d’une violence extraordinaire! Les mammouths et les bisons étaient également déchiquetés et tordus, comme par une main cosmique, sous l’effet d’une colère céleste. On dirait que, sous l’effet de quelque catastrophe, tout l’univers animal et végétal de l’Alaska a été soudainement congelé sur place, dans toutes les attitudes de la mort. Des pattes, des corps, des têtes, des fragments, ont été trouvés entassés ou dispersés, des animaux déchiquetés ont été projetés à travers la campagne, bien qu’ils eussent peut-être pesé plusieurs tonnes.»
Le caractère universel d’un désastre préhistorique et la disparition apparemment inexplicable d’espèces entières, ont été commentés par Charles Darwin, Il écrivait: «L’esprit ne peut s’empêcher de croire à quelque grande catastrophe. Mais pour détruire ainsi des animaux grands et petits, en Patagonie du Sud, au Brésil, sur la Cordillère du Pérou, en Amérique du Nord jusqu’au détroit de Béring, il a fallu que toute la base du globe terrestre soit secouée.» Ces indices sont exactement ceux qu’on s’attendrait à trouver, après la chute d’une immense voûte de vapeur d’eau. Les régions polaires furent brusquement plongées dans un état de gel intense, les animaux qui se trouvaient dans cette région ou tout près, périrent gelés sur place. (...) S’il y a eu un déluge universel, on peut s’attendre à ce que le souvenir d’une telle catastrophe se soit longtemps conservé parmi les hommes.
Pr Chems Eddine CHITOUR .
Des images fortes
La thèse de la fin du monde a été reprise par le scénario du film à succès 2012.
Peut-on croire que la fin du Monde est déjà arrivée? Les seuls récits que nous avons sont des écrits historico-religieux basés sur la corruption du genre humain. Le 3 décembre 1872, George Smith, spécialiste en assyriologie au British Museum, déchiffre devant la Société d’archéologie biblique de Londres le texte figurant sur une tablette d’argile originaire de...Ourouk en Irak. Cette tablette remonte aux environs du XVe siècle avant-J.-C. Elle est écrite en caractères cunéiformes, la plus ancienne écriture connue, et raconte rien moins que le Déluge! Plus vieux que la Bible! Les similitudes avec le texte biblique sont frappantes. Il y est question d’un homme, Utanapishtim. Il est informé par le dieu de la Sagesse que l’assemblée des divinités a décidé de détruire l’humanité. Et le dieu de donner ce conseil à Utanapishtim: «Démolis ta maison pour te faire un bateau! Renonce à tes richesses pour sauver ta vie! Détourne-toi de tes biens pour te garder sain et sauf! Mais embarque avec toi des spécimens de tous les animaux.» Pendant six jours et six nuits les vents soufflèrent, le torrent, la tempête et l’inondation accablèrent le monde, la tempête et l’inondation firent rage ensemble comme des armées en bataille. «Quand l’aube du septième jour se leva, l’orage qui venait du sud s’apaisa, la mer devint calme, l’inondation était apaisée; je regardai la face du monde, et c’était le silence, toute l’humanité était changée en argile. La surface de la mer s’étendait aussi plate que le sommet d’un toit; j’ouvris une écoutille et la lumière tomba sur mon visage. Alors, je m’inclinai profondément, je m’assis et pleurai; les larmes ruisselaient sur mon visage car de tous les côtés c’était le désert de l’eau.» Et après le déluge, ce très beau moment: Puis je lâchai un corbeau. Le corbeau prit son vol. Lorsqu’il vit les eaux se retirer. Ayant trouvé de la nourriture, il se posa et ne revint plus. Alors, je lâchai. Tout ce que le bateau contenait, aux quatre vents.
On verra que dans la Bible, la colombe revient avec dans son bec un rameau d’olivier. Le vaisseau échoue sur une montagne appelée Ourartou dans le récit sumérien, Ararat dans la Bible, Le Joudi dans le Coran. Le cataclysme est présenté chaque fois comme un châtiment mérité par les hommes et qui permet à l’humanité de devenir meilleure. La tablette du déluge est la onzième d’un lot de douze tablettes en écriture cunéiforme qui racontent l’épopée mythique d’un roi, Gilgamesh. Celui-ci aurait régné vers 2600 avant J.-C. sur la cité d’Ourouk. Gilgamesh s’interroge sur la précarité des régimes politiques et sur la recette qui pourrait leur donner l’immortalité. Il prend la route en direction de la porte d’où le soleil se lève pour demander conseil à son aïeul Uta-Napishtim. Après lui avoir raconté l’histoire du déluge auquel il a échappé, Uta-Napishtim indique à Gilgamesh l’endroit où il trouvera la plante de vie. C’est à son retour que la ville d’Uruk s’entourera d’un rempart, gigantesque pour l’époque, qu’elle développera tout un réseau d’irrigation et qu’elle connaîtra une période de prospérité dont l’archéologie témoigne..C.E.Chitour: Le déluge entre mythologie et religions révélées. Un défi pour la science L’Expression 04 Octobre 2007
Au total, 13 récits du Déluge sont arrivés jusqu’à nous. Il existe dans le monde de nombreux récits de déluge, par exemple chez les Incas, en Amérique du Sud, chez les Delawares, Indiens de l’est de l’Amérique du Nord. Dans la tradition grecque, parce que Jupiter considérait les hommes comme des criminels et qu’il avait été menacé de mort par l’un d’entre eux, il décida d’anéantir l’humanité. Plusieurs mythes indiens relatent les mêmes faits. Origines sumériennes. Dans cette version, Noé se nomme Ziousoudra. L’homme est devenu orgueilleux et pense qu’il est l’égal des dieux. Dans la mythologie égyptienne, ne craignant pas de tuer des hommes, la déesse Sekhmet se livre à un effroyable carnage et boit le sang de ses victimes. Les dieux s’inquiètent de la fin proche de l’humanité. Pour sauver ce qui peut encore l’être, ils inondent un champ d’un liquide rouge sang. Attiré par ce liquide, Sekhmet le boit jusqu’à la dernière goutte et s’effondre «saoulée» par cette boisson. Lorsqu’elle se réveille de son coma éthylique, l’humanité est sauvée et les hommes ont compris une leçon: ne jamais négliger les dieux. C’est son orgueil qui le mène à une quasi-destruction. Il existe quatre versions principales du Déluge selon la mythologie chinoise.
Le plus ancien récit que nous avons est «L’an 600 de la vie de Noé, au second mois, le dix-septième jour du mois, en ce jour-là, toutes les fontaines du grand abîme se rompirent, et les écluses des cieux s’ouvrirent. Et le déluge fut sur la terre 40 jours, et toutes les montagnes qui étaient sous tous les cieux furent couvertes.» (Genèse 7 versets 11, 17 et19) (...) Nous avons de cet événement deux enseignements bien utiles à tirer. Tout d’abord, le fait que le monde de ce temps-là ait été détruit par un déluge universel, à cause de la méchanceté et de la violence des hommes, nous fait réfléchir sérieusement sur le danger qui plane maintenant au-dessus du monde actuel.
S’agit-il là de faits authentiques? Voici ce qu’à dit un scientifique, Monsieur Hapgoog: «L’une des grandes destructions de vie se produisit à la fin de la dernière période glaciaire. D’après la datation des carottes prélevées au fond de la mer de Ross, la dernière période glaciaire ne commença qu’il y a 6000 ans. Des bouleversements gigantesques ont enfoui des fossiles bien au-dessous de matériaux terrestres énormément plus vieux qu’eux. Il y a des signes indiquant que de grandes étendues de la Terre furent inondées en quelques temps.» (Revue Newsweek, 23 décembre 1963). Les restes d’animaux. Le caractère instantané de cette catastrophe universelle, nous est révélé par l’état des restes des animaux retrouvés dans la région arctique, où des millions de bêtes ont été, à une époque géologique assez récente, tuées subitement et instantanément congelées dans la boue et la glace du sous-sol arctique. On dirait que des troupes d’animaux qui paissaient ou chassaient ont été subitement soulevées par un énorme raz-de-marée et déposées sur des bandes de terre le long du nord du Canada, de l’Alaska et de la Sibérie. Elles sont toujours là par millions, sous forme de tas d’ossements de chair et de fourrure. Souvent il s’agit d’espèces qui, normalement, ne vivaient pas ensemble. La façon dont ils ont été ensevelis, laisse supposer qu’ils sont tous morts en même temps, et qu’ensuite ils ont été transportés pêle-mêle par des forces très grandes.
Le docteur Frank Hibbon, professeur d’archéologie au Nouveau-Mexique, a visité cette région au cours d’une expédition ayant pour but l’étude des mammouths de l’Alaska. Il a observé à propos de la confusion des restes gelés de chevaux, de bisons, de tigres dents-de-sabre, de lions, de cerfs, d’ours et de mammouths: «Nous trouvons aussi parmi la boue d’Alaska, des preuves de bouleversements atmosphériques d’une violence extraordinaire! Les mammouths et les bisons étaient également déchiquetés et tordus, comme par une main cosmique, sous l’effet d’une colère céleste. On dirait que, sous l’effet de quelque catastrophe, tout l’univers animal et végétal de l’Alaska a été soudainement congelé sur place, dans toutes les attitudes de la mort. Des pattes, des corps, des têtes, des fragments, ont été trouvés entassés ou dispersés, des animaux déchiquetés ont été projetés à travers la campagne, bien qu’ils eussent peut-être pesé plusieurs tonnes.»
Le caractère universel d’un désastre préhistorique et la disparition apparemment inexplicable d’espèces entières, ont été commentés par Charles Darwin, Il écrivait: «L’esprit ne peut s’empêcher de croire à quelque grande catastrophe. Mais pour détruire ainsi des animaux grands et petits, en Patagonie du Sud, au Brésil, sur la Cordillère du Pérou, en Amérique du Nord jusqu’au détroit de Béring, il a fallu que toute la base du globe terrestre soit secouée.» Ces indices sont exactement ceux qu’on s’attendrait à trouver, après la chute d’une immense voûte de vapeur d’eau. Les régions polaires furent brusquement plongées dans un état de gel intense, les animaux qui se trouvaient dans cette région ou tout près, périrent gelés sur place. (...) S’il y a eu un déluge universel, on peut s’attendre à ce que le souvenir d’une telle catastrophe se soit longtemps conservé parmi les hommes.
Pr Chems Eddine CHITOUR .
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