Tweet
Sabrina est une jeune fille sensible. Elle aime les fleurs, les livres, la poésie et la nature. Comme toutes les jeunes filles en fleur, elle rêve du prince charmant. A l’école, tous ses enseignants lui prédisent un avenir d’auteure. Sabrina a la rime dans la plume. Un jour, un jeune homme, ébloui par sa beauté, demande sa main.
Comme Sabrina est encore très jeune, sa famille décide de fêter les fiançailles en attendant le mariage prévu dans trois ans. La jeune fille met un terme à ses études s’orientant vers un autre métier : le stylisme. Les préparatifs du mariage vont bon train. Et puis boum, badaboum ! Le fiancé que Sabrina ne connaît même pas décide de tout arrêter. Un choc pour la jeune fille en fleur qui ne s’explique pas ce geste. Désormais, elle ne croit plus en rien et s’amuse à rabrouer chaque prétendant qui vient toquer à sa porte…
Ce roman est inspiré d’une histoire vraie. Après avoir perdu de vue son amie d’enfance, l’auteur la retrouve un jour, au détour du hasard. Les deux femmes s’assoient. Sabrina déroule le fil de sa vie, une histoire qui inspirera l’écriture de ce roman.
Le destin de Sabrina, de Hassina Boudjenoun, éditions Dar El Noamane, 2009, prix 300 DA.
Par Le Soir
Comme Sabrina est encore très jeune, sa famille décide de fêter les fiançailles en attendant le mariage prévu dans trois ans. La jeune fille met un terme à ses études s’orientant vers un autre métier : le stylisme. Les préparatifs du mariage vont bon train. Et puis boum, badaboum ! Le fiancé que Sabrina ne connaît même pas décide de tout arrêter. Un choc pour la jeune fille en fleur qui ne s’explique pas ce geste. Désormais, elle ne croit plus en rien et s’amuse à rabrouer chaque prétendant qui vient toquer à sa porte…
Ce roman est inspiré d’une histoire vraie. Après avoir perdu de vue son amie d’enfance, l’auteur la retrouve un jour, au détour du hasard. Les deux femmes s’assoient. Sabrina déroule le fil de sa vie, une histoire qui inspirera l’écriture de ce roman.
Le destin de Sabrina, de Hassina Boudjenoun, éditions Dar El Noamane, 2009, prix 300 DA.
Par Le Soir