Tweet
Cécile Oumhani est lauréate du Prix littéraire européen de l’ADELF (Association des écrivains de langue française) 2009 pour son roman Le café d’Yllka paru aux éditions Elyzad en Tunisie.
Cécile Oumhani, poète et romancière, vit entre la Tunisie et la France. Son œuvre est traduite en plusieurs langues. Elle a déjà publié Une odeur de henné et Les Racines du mandarinier en Tunisie.
La presse et les critiques ont accueilli favorablement ce roman : « Le café d’Yllka, le dernier et exceptionnel roman de Cécile Oumhani, est le plus épuré parce qu’il interroge le plus poignant de la destinée humaine», ou encore «Et le foisonnement de mots que tisse Le café d’Yllka fait penser à celui des vers du grand poète de la Terre Mahmoud Darwich : la nostalgie au café, au pain, à l’odeur de la mère. Et à la senteur de la terre, la mère-patrie».
Ce roman a été inspiré à l’auteur par une femme croisée à l'aéroport de Budapest. Une femme difficile à oublier, à la fois inconnue et familière et dont les yeux racontent une terrible tragédie. L’aéroport, ce lieu de passage, à la croisée de plusieurs villes chargées d’histoire : Pristina, Sarajevo…
Cécile Oumhani, née le 12 décembre 1952 à Namur (Belgique), est une écrivaine franco-britannico- tunisienne. Elle a grandi entre le français et l’anglais, dans un environnement multiculturel. Les voyage de sa famille lui ont permit de développer une familiarité avec des univers variés : Belgique, Inde, Allemagne, Écosse…
Sa rencontre à l’âge adulte avec la Tunisie est venue presque naturellement enrichir sa culture et son imaginaire. Nourrie de littératures francophone et anglophone, l’écriture est venue naturellement remplir son besoin d’évasion et d’expression.
Comme beaucoup de femmes, prises entre sa vie familiale et professionnelle, Cécile Oumhani s’est mise à écrire par bribes, des textes courts, de la poésie avant de passer au roman en gardant toutefois cette limpidité et cette fraîcheur du texte poétique : Un jardin à La Marsa, (Paris- Méditerranée), Plus loin que la nuit (L'Aube).
Cécile Oumhani est maître de conférences à l'université de Paris 12 et a été membre de l’équipe Encres Vagabondes de 1995 à 2005. Marraine de Étoiles d’Encre, elle collabore régulièrement à cette revue mais aussi à Europe. Ses articles paraissent aussi dans la partie littéraire du quotidien tunisien La Presse. Le prix littéraire européen est présidé par Jacques Chevrier, professeur émérite à la Sorbonne, président de l’ADELF ; le jury de cette 26e édition réunit les écrivains et universitaires, Olga de Mercouly, André Lorant, responsable du prix, Yves de Daruvar, Louis Pouliquen, Albert Russo, Viorel Stefaneanu et Maurice Zinovieff.
Le prix sera remis officiellement à la lauréate au siège de l’Unesco à Paris, en mars 2010.
Par Le Soir
Cécile Oumhani, poète et romancière, vit entre la Tunisie et la France. Son œuvre est traduite en plusieurs langues. Elle a déjà publié Une odeur de henné et Les Racines du mandarinier en Tunisie.
La presse et les critiques ont accueilli favorablement ce roman : « Le café d’Yllka, le dernier et exceptionnel roman de Cécile Oumhani, est le plus épuré parce qu’il interroge le plus poignant de la destinée humaine», ou encore «Et le foisonnement de mots que tisse Le café d’Yllka fait penser à celui des vers du grand poète de la Terre Mahmoud Darwich : la nostalgie au café, au pain, à l’odeur de la mère. Et à la senteur de la terre, la mère-patrie».
Ce roman a été inspiré à l’auteur par une femme croisée à l'aéroport de Budapest. Une femme difficile à oublier, à la fois inconnue et familière et dont les yeux racontent une terrible tragédie. L’aéroport, ce lieu de passage, à la croisée de plusieurs villes chargées d’histoire : Pristina, Sarajevo…
Cécile Oumhani, née le 12 décembre 1952 à Namur (Belgique), est une écrivaine franco-britannico- tunisienne. Elle a grandi entre le français et l’anglais, dans un environnement multiculturel. Les voyage de sa famille lui ont permit de développer une familiarité avec des univers variés : Belgique, Inde, Allemagne, Écosse…
Sa rencontre à l’âge adulte avec la Tunisie est venue presque naturellement enrichir sa culture et son imaginaire. Nourrie de littératures francophone et anglophone, l’écriture est venue naturellement remplir son besoin d’évasion et d’expression.
Comme beaucoup de femmes, prises entre sa vie familiale et professionnelle, Cécile Oumhani s’est mise à écrire par bribes, des textes courts, de la poésie avant de passer au roman en gardant toutefois cette limpidité et cette fraîcheur du texte poétique : Un jardin à La Marsa, (Paris- Méditerranée), Plus loin que la nuit (L'Aube).
Cécile Oumhani est maître de conférences à l'université de Paris 12 et a été membre de l’équipe Encres Vagabondes de 1995 à 2005. Marraine de Étoiles d’Encre, elle collabore régulièrement à cette revue mais aussi à Europe. Ses articles paraissent aussi dans la partie littéraire du quotidien tunisien La Presse. Le prix littéraire européen est présidé par Jacques Chevrier, professeur émérite à la Sorbonne, président de l’ADELF ; le jury de cette 26e édition réunit les écrivains et universitaires, Olga de Mercouly, André Lorant, responsable du prix, Yves de Daruvar, Louis Pouliquen, Albert Russo, Viorel Stefaneanu et Maurice Zinovieff.
Le prix sera remis officiellement à la lauréate au siège de l’Unesco à Paris, en mars 2010.
Par Le Soir