La solution du cas de la dénommée Aminatou Haidar n'incombe ni au Maroc ni à l'Espagne, mais au "polisario" et son allié l'Algérie qui doivent chercher une issue à cette affaire, a affirmé, jeudi à Madrid, le secrétaire général du Parti Authenticité et Modernité (PAM), M. Mohamed Cheikh Biadillah.
La solution de ce cas est entre les mains des personnes qui la manipulent et l'utilisent dans un dessein bien avoué de saper les efforts du Maroc dans le dossier du Sahara, a indiqué M. Biadillah dans des déclarations à la presse à l'issue d'une réunion avec les porte-paroles des groupes parlementaires à la commission des Affaires étrangères du Congrès des députés espagnols.
Cette réunion a été destinée à informer les députés espagnols des derniers développements de la question nationale et à dévoiler les manœuvres du "polisario" et ses acolytes pour torpiller les efforts du Maroc visant à trouver une issue au conflit du Sahara, à travers son initiative audacieuse d'accorder l'autonomie aux provinces du sud.
Il s'agit d'une proposition qui a été favorablement accueillie par la communauté internationale mais qui dérange les desseins des séparatistes, a souligné M. Biadillah.
La place de la dénommée Aminatou Haidar, qui a elle même fermé toute possibilité de retour en reniant sa nationalité marocaine et qui a affirmé défendre les thèses des séparatistes, n'est pas au Maroc mais à Tindouf en Algérie, a affirmé le secrétaire général du PAM.
"Nous avons donc expliqué à nos amis Espagnols que le cas de cette personne est bien particulier. C'est une personne qui, jusqu'à hier était Marocaine, voyageait avec un passeport Marocain. Elle a décidé de renier sa nationalité en pleine connaissance de cause après avoir refusé de remplir sa fiche de débarquement".
"S'attendant à être arrêtée et malmenée, dans une stratégie bien déterminée pour faire les choux gras de la presse internationale et saper ainsi les efforts sérieux que mène le Maroc pour résoudre le conflit du Sahara, elle a été surprise par la réaction sage et pondérée des autorités marocaines et se retrouve maintenant empêtrée dans le piège qu'elle s'est elle même crée", a ajouté M. Biadillah.
La réunion n'a pas été consacrée au seul cas d'Aminatou Haidar mais aussi à des sujets d'intérêts commun entre le Maroc et l'Espagne, a indiqué M. Biadillah, citant notamment le contexte de crise économique mondiale, les relations bilatérales économiques et culturelles et les perspectives d'avenir.
M. Biadillah, qui a tenu à souligner l'excellence des relations entre les deux pays amis, a indiqué que le Maroc et l'Espagne oeuvrent au renforcement de ces relations pour relever les défis communs de l'emploi, de l'environnement, de l'économie et des énergies renouvelables.
"Aucun pays dans le monde ne peut relever à lui seul ces défis, mais avec un Maghreb Uni et l'Espagne amie, on peut réussir ces chantiers et construire ainsi un Maghreb Arabe avec cinq pays, qui contribuera à coup sûr à l'instauration de la paix et la sécurité dans cette région", a indiqué M. Biadillah.
Il a dans, ce contexte, ajouté que "l'enlèvement des trois coopérants Espagnols en Mauritanie nous interpelle tous sur l'instabilité de cette région et sur notre devoir ensemble (Maroc, Algérie et Espagne) de conjuguer nos efforts pour une région stable capable de relever les défis de demain".
MAP
La solution de ce cas est entre les mains des personnes qui la manipulent et l'utilisent dans un dessein bien avoué de saper les efforts du Maroc dans le dossier du Sahara, a indiqué M. Biadillah dans des déclarations à la presse à l'issue d'une réunion avec les porte-paroles des groupes parlementaires à la commission des Affaires étrangères du Congrès des députés espagnols.
Cette réunion a été destinée à informer les députés espagnols des derniers développements de la question nationale et à dévoiler les manœuvres du "polisario" et ses acolytes pour torpiller les efforts du Maroc visant à trouver une issue au conflit du Sahara, à travers son initiative audacieuse d'accorder l'autonomie aux provinces du sud.
Il s'agit d'une proposition qui a été favorablement accueillie par la communauté internationale mais qui dérange les desseins des séparatistes, a souligné M. Biadillah.
La place de la dénommée Aminatou Haidar, qui a elle même fermé toute possibilité de retour en reniant sa nationalité marocaine et qui a affirmé défendre les thèses des séparatistes, n'est pas au Maroc mais à Tindouf en Algérie, a affirmé le secrétaire général du PAM.
"Nous avons donc expliqué à nos amis Espagnols que le cas de cette personne est bien particulier. C'est une personne qui, jusqu'à hier était Marocaine, voyageait avec un passeport Marocain. Elle a décidé de renier sa nationalité en pleine connaissance de cause après avoir refusé de remplir sa fiche de débarquement".
"S'attendant à être arrêtée et malmenée, dans une stratégie bien déterminée pour faire les choux gras de la presse internationale et saper ainsi les efforts sérieux que mène le Maroc pour résoudre le conflit du Sahara, elle a été surprise par la réaction sage et pondérée des autorités marocaines et se retrouve maintenant empêtrée dans le piège qu'elle s'est elle même crée", a ajouté M. Biadillah.
La réunion n'a pas été consacrée au seul cas d'Aminatou Haidar mais aussi à des sujets d'intérêts commun entre le Maroc et l'Espagne, a indiqué M. Biadillah, citant notamment le contexte de crise économique mondiale, les relations bilatérales économiques et culturelles et les perspectives d'avenir.
M. Biadillah, qui a tenu à souligner l'excellence des relations entre les deux pays amis, a indiqué que le Maroc et l'Espagne oeuvrent au renforcement de ces relations pour relever les défis communs de l'emploi, de l'environnement, de l'économie et des énergies renouvelables.
"Aucun pays dans le monde ne peut relever à lui seul ces défis, mais avec un Maghreb Uni et l'Espagne amie, on peut réussir ces chantiers et construire ainsi un Maghreb Arabe avec cinq pays, qui contribuera à coup sûr à l'instauration de la paix et la sécurité dans cette région", a indiqué M. Biadillah.
Il a dans, ce contexte, ajouté que "l'enlèvement des trois coopérants Espagnols en Mauritanie nous interpelle tous sur l'instabilité de cette région et sur notre devoir ensemble (Maroc, Algérie et Espagne) de conjuguer nos efforts pour une région stable capable de relever les défis de demain".
MAP
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