C’était, je ne sais pas quand c’était;
L’été était doux et les longs jours
Etaient agréables à vivre mais rien
N’était plus beau que l’amour !
Tu jouais comme une fillette avec
Tes cheveux au grés du vent, tu ne
Voyais même pas le temps et le
Défilé des ans…
Je m’approchais à petit pas vers toi mais
Tu jouais toujours avec l’air du temps…
Et combien noble je t’aimais tant
Mais voilà que tu repars encore et comment
Ne pas exploser ma plume et tous mes secrets
Pour remplir tous les horizons de mon humble poésie,
Par quoi se consolerait le fol amoureux de toi ?
Ce n’est pas que l’esprit qui est, de ton âme, épris
Mais un cœur, aussi, en douleur compris.
Les flammes brûlantes de ma passion
M’enchaînent et me consument…
Quel souvenir plus criant que le notre
Pendant ces folles journées d’été.
On a été éloigné alors que dans l’océan
De l’affection, distrait, j’étais…
Des murs de silence et toutes les souffrances
Dressés contre notre amour ont été.
Mais rien n'étais plus beau que notre amour !
L’été était doux et les longs jours
Etaient agréables à vivre mais rien
N’était plus beau que l’amour !
Tu jouais comme une fillette avec
Tes cheveux au grés du vent, tu ne
Voyais même pas le temps et le
Défilé des ans…
Je m’approchais à petit pas vers toi mais
Tu jouais toujours avec l’air du temps…
Et combien noble je t’aimais tant
Mais voilà que tu repars encore et comment
Ne pas exploser ma plume et tous mes secrets
Pour remplir tous les horizons de mon humble poésie,
Par quoi se consolerait le fol amoureux de toi ?
Ce n’est pas que l’esprit qui est, de ton âme, épris
Mais un cœur, aussi, en douleur compris.
Les flammes brûlantes de ma passion
M’enchaînent et me consument…
Quel souvenir plus criant que le notre
Pendant ces folles journées d’été.
On a été éloigné alors que dans l’océan
De l’affection, distrait, j’étais…
Des murs de silence et toutes les souffrances
Dressés contre notre amour ont été.
Mais rien n'étais plus beau que notre amour !
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