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Les retraites anticipées supprimaient en Algérie

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  • Les retraites anticipées supprimaient en Algérie

    03/12/2009 22:06

    La retraite anticipée sera supprimée. L’annonce a été faite par le Premier ministre Ahmed Ouyahia, jeudi, à la fin de la tripartite qui réunissait le gouvernement, l’UGTA et le patronat. Un groupe de travail va plancher sur ce dossier et devra remettre ses conclusions à une tripartite réduite qui se réunira avant la fin du premier trimestre 2010. Les conclusions seront analysées et traduites en texte de loi.

    Ahmed Ouyahia a précisé que la retraite anticipée a été adoptée en 1997 en raison des difficultés économiques que connaissait le pays avec la fermeture des entreprises publiques et la compression des effectifs. « Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Au contraire, le départ à la retraite avant l’âge légal porte préjudice aux entreprises. Nous voulons donc supprimer la retraite anticipée car il n’existe aucune raison de la maintenir », a-t-il déclaré. Mais l’âge légal de la retraite n’est pas remis en cause, a précisé M. Ouyahia.

    Par ailleurs, le Premier ministre a confirmé que l’Etat continuera à verser les allocations familiales aux entreprises privées. Mais “nous allons établir un agenda pour aller vers un payement par les entreprises des allocations familiales. Mais, cela se fera d’une manière graduelle. Je dois rappeler que cette mesure était déjà prévue par un accord signé en 2005”, a-t-il précisé.

    Le gouvernement, selon M. Ouyahia, a pris en compte le caractère fragile des finances de certaines entreprises. Un groupe de travail sera également chargé de préparer avant la fin mars 2010 des propositions sur ce dossier. Cela dit, le payement des allocations familiales par les entreprises privées ou publiques ne se fera pas avant 2012.

    Merouane Mokdad TSA
    En toute état de cause, je subodore leur manque absolue de réelles initiatives au demeurant patent. Là où le bas blesse, ne réside nullement dans la gestion du secteur privé, devant être laissé à l’initiative des seules négociations patronales et intersyndicales comme il est d’usage
    dans toute société normalement hiérarchisée et organisée dans son fonctionnement.

    Soit ! Ce fait qui n’est en faite que le rideau de fumer masquant de son mirage, la façade du seul véritable nœud, l’obstacle primordiale à tout changement.
    Et des lors qu’il a était extirpé de la problématique générale. Attelons-nous à présent à l’unique charge abyssale qui plomb indéniablement le pays, la société, l’état. Soldant son avenir et celui de son peuple dans une chute sans fin le menant à la ruine depuis 40 ans, et de se faite ne produisant en vérité qu’une terre stérile.
    Cette entité corporatiste, nombriliste, incompétente, arc-boutée dans ces privilèges si nous pouvant l’affubler de ces termes désagréables « aux oreilles de certains » des principaux intéresser ne serait être autre que la seul et unique « fabuleuse fonction publique algérienne ».
    Tel une pieuvre à l’agonie accrochait au reste du cadavre flottant d’un bateau dérivant dénommer « Algérie ».

    En principe, l’état dans sa mission régalienne charge des individus hommes et femmes « normalement » dûment formées aux plus hautes responsabilités et dépositaire de ses principes, ainsi que de son autorité face à tout à chacun, avec pour unique devoir la juste application des taches qui lui ont était assignées.
    La haute fonction publique ayant pour mission la gestion des affaires courante de son administration, de sa trésorerie, de sa justice, de sa sécurité, de sa santé et la formation de ces jeunes concitoyens par une éducation « d’excellence basée sur la seul méritocratie dans un esprit d’équité ».
    Bien évidemment, dans votre grande perspicacité vous l’aurez tous deviner la situation est aux antipodes de cette état de fait. Et puisque selon le clairvoyant adage « les chiens ne font pas des chats ». L’Algérie produit à la chaine par cycle continue depuis 40 décennies une marée d’êtres non finis qui viennent se rajouter à chaque nouveau reflue de marée à la précédente. Et que d’autres sous de meilleurs cieux plus éclairer nous envie du fait de leur grand nombre et de leur jeunesse. Des cerveaux dénaturés, défectueux et déstructurés dans leur ensemble, de manière totalement indépendante de leur volonté, impuissant devant la fatalité.

    Mais chut ! Ils risqueraient de nous entendre chuchoter. Ne disons surtout pas que nous devons en changer. Que tous ceci n’a que bien trop durer, en vérité. Qu’il serait grand dieu. Totalement indécent de tous les remercier et les renvoyer à leurs logis où ils seraient bien mieux pour notre paix d’esprit.
    Comment allons nous les rémunérer en monnaie sonnante et trébuchante de leur brave abnégation à leur très chère patrie et sa collectivité ? Par le fruit du travail acharné de nos descendant citoyens bien évidemment, qu’ils ont eux même éduqués. Et ceci en amassant moult richesses et savoirs à travers différentes sauvages contrés, sans coup férir. Point de doute à ce sujet.

    Ah ! Non, non, non. Malheureux ! En vérité les caisses sont depuis toujours vides ! Faisons le par une substance visqueuse et mal odorante dénommée « pétrole », ainsi qu’une autre toute aussi mystérieuse, explosive, du nom de « gaz », en remerciement de leur dévouement emplie d’amour et de sacrifices pour leur mère patrie. Et après, lorsqu’il viendra le jour où nous en serons entièrement démunie? Que ferons-nous ??????

    Je présume que vous l’aurez deviné tout au long de ces lignes et diatribes. Triste présage pour notre funeste avenir. Rien ne va véritablement changé…
    Dernière modification par Adama, 05 décembre 2009, 21h43.
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