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Un bureau d’appui régional sera créé à Alger dans le cadre du programme des Nations unies sur la gestion des catastrophes et des interventions d’urgence (UN-SPIDER), avec utilisation des données spatiales. Le projet a été concrétisé hier, suite à la signature d’une convention entre l’Agence spatiale algérienne (ASAL) et le Bureau des affaires spatiales des Nations unies.
En marge de la Conférence africaine sur les sciences et technologies spatiales au service du développement durable, le directeur de l’Agence spatiale algérienne (ASAL) a déclaré que le satellite Alsat 2 sera lancé au premier trimestre de l’année 2010. Lors de cette rencontre, des experts représentant divers pays africains ont développé l’opportunité de la mise en place d’une stratégie commune pour le développement durable. Selon M. Oussedik, directeur général de l’ASAL, il s’agit d’une exploitation régionale et africaine des données spatiales. Par ailleurs, une deuxième convention a été signée entre l’Afrique du Sud, le Kenya, le Nigeria et l’Algérie. Elle concerne la réalisation d’une constellation satellitaire pour la gestion des ressources africaines (ARMC). Pour ce qui est du premier projet, l’Algérie abritera un bureau régional qui jouera un rôle important dans la prévention des risques majeurs. Le projet sera réalisé en collaboration avec la Direction générale de la Protection civile, a expliqué M. Oussedik. «Dans le cas d’une catastrophe naturelle, les données arrivent au bureau créé grâce à une convention. Les données et images sont étudiées et envoyées rapidement aux pays concernés, dans la sous-région de l’Afrique du Nord et le Sahel», a déclaré le premier responsable de l’ASAL. Concernant la deuxième convention, signée hier, elle permettra, selon ses initiateurs, d’avoir des images qui permettront un développement durable des pays africains. M. Oussedik évoquera également la possibilité d’un programme spatial africain. Les images obtenues seront aussi utilisées dans les programmes de désertification, des ressources en eau et de la lutte antiacridienne. Intervenant, pour sa part, à l’ouverture du séminaire, Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, a déclaré que le programme spatial national à l’horizon 2020 prévoit la conception et la réalisation de systèmes spéciaux d’observation de la terre à différentes résolutions spatiales et spectacles et un système spatial de télécommunications Alcomsat-1. Ainsi et dans la continuité du système d’Alsat-1 d’observation de la terre, ce programme spatial prévoit, notamment à court terme, une mini-constellation d’observation de la terre à haute résolution Alsat-2A qui est actuellement en campagne de lancement et Alsat-2B. Il s’agit aussi d’un satellite d’observation de la terre à moyenne résolution Alsat 1B assurant la continuité de la mission d’Alsat-1. Par ailleurs, a expliqué le ministre, à moyen et long terme, d’autres systèmes spatiaux à l’effet d’assurer la couverture quasi totale et permanente des préoccupations nationales en termes d’observation de la terre seront initiés. Selon le ministre, les images satellitaires ont permis, notamment, une utilisation en matière de lutte contre la désertification, les incendies de forêts et les inondations. Les images satellitaires sont aussi utilisées pour le cadastre national.
F. -Zohra B. Le Soir d'Algérie.
En marge de la Conférence africaine sur les sciences et technologies spatiales au service du développement durable, le directeur de l’Agence spatiale algérienne (ASAL) a déclaré que le satellite Alsat 2 sera lancé au premier trimestre de l’année 2010. Lors de cette rencontre, des experts représentant divers pays africains ont développé l’opportunité de la mise en place d’une stratégie commune pour le développement durable. Selon M. Oussedik, directeur général de l’ASAL, il s’agit d’une exploitation régionale et africaine des données spatiales. Par ailleurs, une deuxième convention a été signée entre l’Afrique du Sud, le Kenya, le Nigeria et l’Algérie. Elle concerne la réalisation d’une constellation satellitaire pour la gestion des ressources africaines (ARMC). Pour ce qui est du premier projet, l’Algérie abritera un bureau régional qui jouera un rôle important dans la prévention des risques majeurs. Le projet sera réalisé en collaboration avec la Direction générale de la Protection civile, a expliqué M. Oussedik. «Dans le cas d’une catastrophe naturelle, les données arrivent au bureau créé grâce à une convention. Les données et images sont étudiées et envoyées rapidement aux pays concernés, dans la sous-région de l’Afrique du Nord et le Sahel», a déclaré le premier responsable de l’ASAL. Concernant la deuxième convention, signée hier, elle permettra, selon ses initiateurs, d’avoir des images qui permettront un développement durable des pays africains. M. Oussedik évoquera également la possibilité d’un programme spatial africain. Les images obtenues seront aussi utilisées dans les programmes de désertification, des ressources en eau et de la lutte antiacridienne. Intervenant, pour sa part, à l’ouverture du séminaire, Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, a déclaré que le programme spatial national à l’horizon 2020 prévoit la conception et la réalisation de systèmes spéciaux d’observation de la terre à différentes résolutions spatiales et spectacles et un système spatial de télécommunications Alcomsat-1. Ainsi et dans la continuité du système d’Alsat-1 d’observation de la terre, ce programme spatial prévoit, notamment à court terme, une mini-constellation d’observation de la terre à haute résolution Alsat-2A qui est actuellement en campagne de lancement et Alsat-2B. Il s’agit aussi d’un satellite d’observation de la terre à moyenne résolution Alsat 1B assurant la continuité de la mission d’Alsat-1. Par ailleurs, a expliqué le ministre, à moyen et long terme, d’autres systèmes spatiaux à l’effet d’assurer la couverture quasi totale et permanente des préoccupations nationales en termes d’observation de la terre seront initiés. Selon le ministre, les images satellitaires ont permis, notamment, une utilisation en matière de lutte contre la désertification, les incendies de forêts et les inondations. Les images satellitaires sont aussi utilisées pour le cadastre national.
F. -Zohra B. Le Soir d'Algérie.
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