LEMONDE.FR avec AFP
L'ex-chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Mohamed ElBaradei, affirme, dans des déclarations publiées vendredi 4 décembre, qu'il envisagerait de briguer la présidence égyptienne en 2011 à condition que le processus électoral soit démocratique.
. ElBaradei, 67 ans, qui vient de quitter son poste après douze ans à la tête de l'AIEA, indique suivre de près les appels à sa candidature à la présidentielle, mais affirme vouloir "des assurances d'équité", écrit le journal indépendant égyptien Al-Doustour.
"Le processus [électoral] doit se dérouler comme dans les pays démocratiques" et être "entièrement supervisé par un organisme national indépendant", souligne le Prix Nobel de la paix 2005, après des informations sur des irrégularités lors des élections de 2005.
Le président Hosni Moubarak, 81 ans, avait alors été élu pour un cinquième mandat de six ans et son parti avait obtenu 80 % des sièges au Parlement.
M. ElBaradei demande également la présence d' "observateurs de l'ONU pour garantir la transparence" du scrutin, et une réforme de la Constitution pour permettre à "tous les Egyptiens" de poser leur candidature. La Constitution doit être "basée sur les libertés et droits de l'homme convenus internationalement".
M. Moubarak n'a toujours pas fait savoir s'il comptait se présenter pour un sixième mandat. Son fils Gamal, souvent présenté comme son héritier, n'a pas non plus fait connaître ses intentions.
L'opposition égyptienne avait dit espérer convaincre M. ElBaradei de briguer la présidence.
La loi égyptienne prévoit la possibilité de se présenter pour les personnes membres depuis au moins un an d'une instance dirigeante d'un parti fondé au moins cinq ans avant les élections. Des membres du parti libéral Al-Wafd se sont proposés d'intégrer M. ElBaradei dans l'instance dirigeante du parti afin qu'il puisse se porter candidat.
Mohamed ElBaradei a également commencé à recevoir l'appui de certains médias indépendants, alors que plusieurs groupes inscrits sur le réseau social Facebook appellent les Egyptiens "à voter ElBaradei".
L'ex-chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Mohamed ElBaradei, affirme, dans des déclarations publiées vendredi 4 décembre, qu'il envisagerait de briguer la présidence égyptienne en 2011 à condition que le processus électoral soit démocratique.
. ElBaradei, 67 ans, qui vient de quitter son poste après douze ans à la tête de l'AIEA, indique suivre de près les appels à sa candidature à la présidentielle, mais affirme vouloir "des assurances d'équité", écrit le journal indépendant égyptien Al-Doustour.
"Le processus [électoral] doit se dérouler comme dans les pays démocratiques" et être "entièrement supervisé par un organisme national indépendant", souligne le Prix Nobel de la paix 2005, après des informations sur des irrégularités lors des élections de 2005.
Le président Hosni Moubarak, 81 ans, avait alors été élu pour un cinquième mandat de six ans et son parti avait obtenu 80 % des sièges au Parlement.
M. ElBaradei demande également la présence d' "observateurs de l'ONU pour garantir la transparence" du scrutin, et une réforme de la Constitution pour permettre à "tous les Egyptiens" de poser leur candidature. La Constitution doit être "basée sur les libertés et droits de l'homme convenus internationalement".
M. Moubarak n'a toujours pas fait savoir s'il comptait se présenter pour un sixième mandat. Son fils Gamal, souvent présenté comme son héritier, n'a pas non plus fait connaître ses intentions.
L'opposition égyptienne avait dit espérer convaincre M. ElBaradei de briguer la présidence.
La loi égyptienne prévoit la possibilité de se présenter pour les personnes membres depuis au moins un an d'une instance dirigeante d'un parti fondé au moins cinq ans avant les élections. Des membres du parti libéral Al-Wafd se sont proposés d'intégrer M. ElBaradei dans l'instance dirigeante du parti afin qu'il puisse se porter candidat.
Mohamed ElBaradei a également commencé à recevoir l'appui de certains médias indépendants, alors que plusieurs groupes inscrits sur le réseau social Facebook appellent les Egyptiens "à voter ElBaradei".
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