Aminatou Haïdar, qui campe depuis plusieurs jours en salle d’attente dans la zone internationale de l’aéroport espagnol de Lanzarote, voudrait, ni plus, ni moins, faire plier l’Etat et le peuple marocains sous ses caprices de manipulatrice stipendiée.
Mme Haïdar, qui n’a jamais refusé les indemnités sonnantes et trébuchantes octroyées par l’IER, qui a largement profité de son salaire de fonctionnaire (fantôme) de la municipalité de Boujdour, qui a parcouru la terre entière avec un passeport marocain, fait aujourd’hui « son cinéma », pour le plus grand profit des séides du F. Polisario.
La dame Haïdar, en effet, ne veut plus être marocaine. Elle a même récusé son appartenance à notre Nation publiquement, par écrit, devant les autorités judiciaires et des représentants de sa famille.
La « campeuse de Lanzarote » ne veut pas, également, de sauf-conduit espagnol pour entrer officiellement en territoire canarien et encore moins de l’offre d’un passeport de l’ancienne puissance occupante du Sahara Occidental.
La fieffée manipulatrice, bien élégante dans son boubou quand elle prend la pose pour les paparazzi espagnols, ne peut, enfin, demander à ses amis d’Alger un passeport aux armes d’El Djezaïr, ce qui reviendrait à reconnaître à la face du monde qu’elle est une simple mercenaire.
Résultat, elle embarrasse (et le terme n’est pas vraiment adéquat) la diplomatie madrilène, tandis que les « démocrates » du Partido Popular en profitent pour casser du Moratinos à tour de bras !
Mme Haïdar, qui ne se veut plus marocaine, exige quand même de retourner au Maroc, non parce qu’il s’agit de sa mère patrie, mais parce qu’elle a reçu la mission d’y représenter la cinquième colonne, celle des traîtres stipendiés agissant à l’intérieur même du pays pour y contester la marocanité inaliénable de nos provinces du Sud.
Aucun Etat, aucune autorité, aucun citoyen fier de son identité nationale, (pas à la mode Sarkozy ou suisse pour autant), ne saurait accepter un tel chantage.
Aminatou Haïdar n’est rien d’autre aujourd’hui qu’une apatride.
Nul doute que le tapage médiatique continuera à nos frontières, que les « ONG » à la solde d’Alger poursuivront leurs actions stériles encore quelque temps. « La patate chaude » qu’est devenue Aminatou Haïdar ne sera pas pour autant « refilée » à ceux qu’elle a reniés.
Quand on brûle ses vaisseaux, on reste à terre…
lanouvelletribune
Mme Haïdar, qui n’a jamais refusé les indemnités sonnantes et trébuchantes octroyées par l’IER, qui a largement profité de son salaire de fonctionnaire (fantôme) de la municipalité de Boujdour, qui a parcouru la terre entière avec un passeport marocain, fait aujourd’hui « son cinéma », pour le plus grand profit des séides du F. Polisario.
La dame Haïdar, en effet, ne veut plus être marocaine. Elle a même récusé son appartenance à notre Nation publiquement, par écrit, devant les autorités judiciaires et des représentants de sa famille.
La « campeuse de Lanzarote » ne veut pas, également, de sauf-conduit espagnol pour entrer officiellement en territoire canarien et encore moins de l’offre d’un passeport de l’ancienne puissance occupante du Sahara Occidental.
La fieffée manipulatrice, bien élégante dans son boubou quand elle prend la pose pour les paparazzi espagnols, ne peut, enfin, demander à ses amis d’Alger un passeport aux armes d’El Djezaïr, ce qui reviendrait à reconnaître à la face du monde qu’elle est une simple mercenaire.
Résultat, elle embarrasse (et le terme n’est pas vraiment adéquat) la diplomatie madrilène, tandis que les « démocrates » du Partido Popular en profitent pour casser du Moratinos à tour de bras !
Mme Haïdar, qui ne se veut plus marocaine, exige quand même de retourner au Maroc, non parce qu’il s’agit de sa mère patrie, mais parce qu’elle a reçu la mission d’y représenter la cinquième colonne, celle des traîtres stipendiés agissant à l’intérieur même du pays pour y contester la marocanité inaliénable de nos provinces du Sud.
Aucun Etat, aucune autorité, aucun citoyen fier de son identité nationale, (pas à la mode Sarkozy ou suisse pour autant), ne saurait accepter un tel chantage.
Aminatou Haïdar n’est rien d’autre aujourd’hui qu’une apatride.
Nul doute que le tapage médiatique continuera à nos frontières, que les « ONG » à la solde d’Alger poursuivront leurs actions stériles encore quelque temps. « La patate chaude » qu’est devenue Aminatou Haïdar ne sera pas pour autant « refilée » à ceux qu’elle a reniés.
Quand on brûle ses vaisseaux, on reste à terre…
lanouvelletribune
Commentaire