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C’est une œuvre du regretté Mohand U Yahia Abdellah, écrivain et poète. Elle a été adaptée et interprétée au théâtre par le comédien Sami Allam et mise en scène par Hassiba Dahmoune Allam. Cette pièce a été auparavant présentée à Béjaïa le 3 août et le 4 décembre dernier à Tizi Ouzou, où elle a reçu un écho favorable auprès du public.
En fait, ce monologue cru, raconte et narre avec subjugation ce que ressent un mort qui tombe tout d’un coup au milieu de la route. A ce sujet, l’interprète de la pièce Sami Allam nous dira "comme on le dit, le mort est conscient de ce qui se passe autour de lui, car il entend tout".
Concernant la pièce, il nous relate son contexte "cette personne méconnue de son vivant se retrouve entourée par une foule qui s’intéresse à lui, tout le monde se mit en scène autour d’elle, des curieux, la police, la gendarmerie, les hommes de la Protection civile et même les mouches et les fourmis".
Après sa mort, une sorte de flash back le jette en arrière pour se remémorer tous ses souvenirs, sa vie et ce qu’il a accompli durant son passage sur terre, du mauvais comme du bien, les moments délicats qu’il a traversé ainsi que ceux qu’il a apprécié dans un monde où il passait inaperçu, presque invisible, il faut dire que la vie l’a rejetée.
Autour de cette pièce théâtrale qui dure 60 minutes, dans un genre de comédie ont travaillé Sami Allam : adaptation et interprétation, le poète Ahcène Mâariche qui a rajouté une subtilité à ce monologue à travers un poème qui s’intitule "Achal Yellan di tulas", l’accompagnement musical de Belaid Branis, la scénographie d’Abdelmalek Yahia et la mise en scène de Hassiba Dahmoune allam. La pièce est produite par le théâtre régional de Béjaïa. L’interprète principal en l’occurrence Sami Allam, nous dira à propos de cette pièce et le défi lancé "tout simplement j’ai eu peur, Mohia a démontré à travers son œuvre qu’on peut faire des merveilles avec peu de moyens. J’espère au moins égaler l’original de ce spectacle, et apporter un plus, demeure pour moi un luxe". Sami Allam est un acteur interprète et Co réalisateur et fait ses débuts durant l’année 1995 où il fait ses premiers pas sur scène au sein de la troupe Assirem d’Azazga.
En 1999, il rejoint le conservatoire central d’Alger. Quatre ans plus tard, il franchit la porte du 7e art en tant qu’assistant à la réalisation et comédien dans le film Si moh u mhand, l’insoumis et enchaine plusieurs productions, notamment la réalisation d’un court métrage qui s’intitule Le curieux ainsi que le documentaire " H’nifa, une vie brûlée co-réalisé avec Ramdan Iftini et l’interprétation de "sinitri" de Mohand u Yahia.
Par La Dépêche de Kabylie
En fait, ce monologue cru, raconte et narre avec subjugation ce que ressent un mort qui tombe tout d’un coup au milieu de la route. A ce sujet, l’interprète de la pièce Sami Allam nous dira "comme on le dit, le mort est conscient de ce qui se passe autour de lui, car il entend tout".
Concernant la pièce, il nous relate son contexte "cette personne méconnue de son vivant se retrouve entourée par une foule qui s’intéresse à lui, tout le monde se mit en scène autour d’elle, des curieux, la police, la gendarmerie, les hommes de la Protection civile et même les mouches et les fourmis".
Après sa mort, une sorte de flash back le jette en arrière pour se remémorer tous ses souvenirs, sa vie et ce qu’il a accompli durant son passage sur terre, du mauvais comme du bien, les moments délicats qu’il a traversé ainsi que ceux qu’il a apprécié dans un monde où il passait inaperçu, presque invisible, il faut dire que la vie l’a rejetée.
Autour de cette pièce théâtrale qui dure 60 minutes, dans un genre de comédie ont travaillé Sami Allam : adaptation et interprétation, le poète Ahcène Mâariche qui a rajouté une subtilité à ce monologue à travers un poème qui s’intitule "Achal Yellan di tulas", l’accompagnement musical de Belaid Branis, la scénographie d’Abdelmalek Yahia et la mise en scène de Hassiba Dahmoune allam. La pièce est produite par le théâtre régional de Béjaïa. L’interprète principal en l’occurrence Sami Allam, nous dira à propos de cette pièce et le défi lancé "tout simplement j’ai eu peur, Mohia a démontré à travers son œuvre qu’on peut faire des merveilles avec peu de moyens. J’espère au moins égaler l’original de ce spectacle, et apporter un plus, demeure pour moi un luxe". Sami Allam est un acteur interprète et Co réalisateur et fait ses débuts durant l’année 1995 où il fait ses premiers pas sur scène au sein de la troupe Assirem d’Azazga.
En 1999, il rejoint le conservatoire central d’Alger. Quatre ans plus tard, il franchit la porte du 7e art en tant qu’assistant à la réalisation et comédien dans le film Si moh u mhand, l’insoumis et enchaine plusieurs productions, notamment la réalisation d’un court métrage qui s’intitule Le curieux ainsi que le documentaire " H’nifa, une vie brûlée co-réalisé avec Ramdan Iftini et l’interprétation de "sinitri" de Mohand u Yahia.
Par La Dépêche de Kabylie
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