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Hier s'est tenu à Alger, une rencontre entre des hommes d’affaires algériens et français afin d'étudier ensemble le maximum de perspectives de partenariat dans les domaines de la maintenance industrielle, de la pétrochimie, de l’agro-industrie et des services.
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Sur initiative de la Bourse algérienne de sous-traitance et de partenariat (BASTP) en collaboration avec la Chambre de commerce de Marseille et la société ABS, des hommes d’affaires algériens et français se sont rencontrés, hier, à l’hôtel El Aurassi en vue de d’étudier ensemble les perspectives de partenariat dans les domaines de la maintenance industrielle, de la pétrochimie, de l’agro-industrie et des services. Les opérateurs économiques des deux pays, particulièrement ceux de la région Centre de l’Algérie et ceux de la région marseillaise, intéressés par ce genre de manifestations poursuivront aujourd’hui leurs discussions.
Des discussions qui auront lieu également demain et après demain (17 et 18 janvier) à Hassi Messaoud entre les membres de la délégation française et les industriels de cette ville pétrolière. «Notre objectif, à travers ces rencontres, est de concrétiser le maximum de projets de partenariat entre les deux pays pour améliorer le niveau des échanges économiques entre les deux», a déclaré, hier, en marge de la réunion M. Aballah Ghedjatti, président de la BASTP. Et d’annoncer que l’association qu’il préside prépare actuellement, conjointement avec Euro développement PME (EDPME) et le ministère de la PME et de l’Artisanat, une étude sur la compétitivité des entreprises algériennes à l’ère de l’ouverture du marché national à la concurrence.
Sur la base de cette étude, un programme spécial sera lancé au profit de certaines entreprises dans un délai de six mois, selon les explications données par le président de la BASTP qui mettra, par ailleurs, l’exergue sur la nécessité d’élargir les champs d’activités des entreprises algériennes pour multiplier entre autres les sources d’emploi et résorber ainsi le chômage.
A titre indicatif, depuis la création de la BASTP en 1991, des centaines d’entreprises algériennes et étrangères, notamment françaises ont été mises en relation, selon M. Azziouz Laïb, directeur de ladite Bourse. Aussi, d’après le représentant de la mission économique française à Alger, les échanges entre les deux pays évoluent de 12 à 14% annuellement.
S’agissant de la Bourse, il y a lieu de noter qu’elle active en quatre réseaux (est, centre, ouest et sud) coordonnés par le Conseil national de la sous-traitance. Une instance créée en 2003 par le ministère de la PME et de l’Artisanat. Pour la région Centre dont le réseau est l’organisateur de la rencontre d’hier, la Bourse qui est une association à but non lucratif regroupe prés de 250 entreprises (sur un fichier de 1 100 entreprises) entre secteurs privé et public.
La BASTP a pour principales missions de recenser le potentiel réel des entreprises algériennes de sous- traitance et de mettre en relation les offres et les demandes de sous-traitrance et de partenariat sur le plan national et international. De même, pour l’encouragement de l’utilisation optimale des capacités de production des industries algériennes.
Par La Tribune
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Sur initiative de la Bourse algérienne de sous-traitance et de partenariat (BASTP) en collaboration avec la Chambre de commerce de Marseille et la société ABS, des hommes d’affaires algériens et français se sont rencontrés, hier, à l’hôtel El Aurassi en vue de d’étudier ensemble les perspectives de partenariat dans les domaines de la maintenance industrielle, de la pétrochimie, de l’agro-industrie et des services. Les opérateurs économiques des deux pays, particulièrement ceux de la région Centre de l’Algérie et ceux de la région marseillaise, intéressés par ce genre de manifestations poursuivront aujourd’hui leurs discussions.
Des discussions qui auront lieu également demain et après demain (17 et 18 janvier) à Hassi Messaoud entre les membres de la délégation française et les industriels de cette ville pétrolière. «Notre objectif, à travers ces rencontres, est de concrétiser le maximum de projets de partenariat entre les deux pays pour améliorer le niveau des échanges économiques entre les deux», a déclaré, hier, en marge de la réunion M. Aballah Ghedjatti, président de la BASTP. Et d’annoncer que l’association qu’il préside prépare actuellement, conjointement avec Euro développement PME (EDPME) et le ministère de la PME et de l’Artisanat, une étude sur la compétitivité des entreprises algériennes à l’ère de l’ouverture du marché national à la concurrence.
Sur la base de cette étude, un programme spécial sera lancé au profit de certaines entreprises dans un délai de six mois, selon les explications données par le président de la BASTP qui mettra, par ailleurs, l’exergue sur la nécessité d’élargir les champs d’activités des entreprises algériennes pour multiplier entre autres les sources d’emploi et résorber ainsi le chômage.
A titre indicatif, depuis la création de la BASTP en 1991, des centaines d’entreprises algériennes et étrangères, notamment françaises ont été mises en relation, selon M. Azziouz Laïb, directeur de ladite Bourse. Aussi, d’après le représentant de la mission économique française à Alger, les échanges entre les deux pays évoluent de 12 à 14% annuellement.
S’agissant de la Bourse, il y a lieu de noter qu’elle active en quatre réseaux (est, centre, ouest et sud) coordonnés par le Conseil national de la sous-traitance. Une instance créée en 2003 par le ministère de la PME et de l’Artisanat. Pour la région Centre dont le réseau est l’organisateur de la rencontre d’hier, la Bourse qui est une association à but non lucratif regroupe prés de 250 entreprises (sur un fichier de 1 100 entreprises) entre secteurs privé et public.
La BASTP a pour principales missions de recenser le potentiel réel des entreprises algériennes de sous- traitance et de mettre en relation les offres et les demandes de sous-traitrance et de partenariat sur le plan national et international. De même, pour l’encouragement de l’utilisation optimale des capacités de production des industries algériennes.
Par La Tribune