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Algerie : salaire minimum de 15 000 dinars

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  • Algerie : salaire minimum de 15 000 dinars

    Promise, le 24 février 2009, par le président Abdelaziz Bouteflika, la hausse du salaire national minimum garanti (SNMG) sera effective à partir du 1er janvier 2010. Et elle sera de l’ordre de 25 %, taux fixé par la Tripartite (un mécanisme de dialogue social regroupant le gouvernement, les syndicats et le patronat), qui s’est réunie à Alger les 2 et 3 décembre.

    Le SNMG passera donc de 12 000 à 15 000 dinars (de 108 à 135 euros).

    « Cette augmentation bénéficiera à plus de 70 % de la population active. Elle coûtera 90 milliards de dinars [près de 812 millions d’euros] au Trésor public », a précisé Ahmed Ouyahia, le Premier ministre, qui a dirigé les travaux.

    Si le principe de la hausse était acquis, son montant a fait l’objet d’âpres négociations. Les syndicats autonomes, exclus de la Tripartite car ils ne sont pas signataires du pacte économique et social, revendiquaient un SNMG à 30 000 dinars. Quant à l’Union générale des travailleurs (UGTA), principale centrale syndicale du pays, elle a proposé une hausse de 50 % pour pallier la forte érosion du pouvoir d’achat, due à une inflation de plus de 6 % en 2009.

    Patronat et gouvernement ont freiné des quatre fers pour ne pas pénaliser les entreprises dont la trésorerie a pâti des effets de la crise économique mondiale et pour ne pas aggraver le déficit budgétaire (voir page 53). La question du SNMG ayant demandé beaucoup de temps et d’énergie (les négociations ont duré toute la nuit du 2 au 3 décembre), les autres points à l’ordre du jour ont été rapidement passés en revue et reportés à la prochaine session. Les patrons ont profité de l’occasion pour exposer les difficultés que leur posent les dernières mesures gouvernementales en matière de contrôle des transferts d’argent à l’étranger. Sans succès. Ahmed Ouyahia est resté intransigeant.

    09/12/2009 1049 | Jeune Afrique | Par : Cherif Ouazani

  • #2
    C'est bien, mais ca n'atteint pas toujours les salaires minimum au Maroc ou en Tunisie, qui connaissent une moindre inflation.

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    • #3
      oui vue le nombre des fonctionnaires qui depasse les deux pays reunis que tu as cite....sans parler des avantagesz sociaux et medicaux
      Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

      Gödel

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      • #4
        Chosissez entre un SMIG déterminé par le pouvoir d'achat et celui fixé par rapport à la productivité...

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        • #5
          je trouve que ce n'est pas suffisant malgré tout, puisque je suppose que le niveau de vie au Maroc est à peu prés le même qu'en Algérie....

          sinon ce dont je suis sûr c'est qu'au Maroc les syndicats sont entrain de négocier un SMIG à 3000dh!!!!!

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          • #6
            le smig au maroc et tunisie sont a 180 euros si je me trompe pas.
            algerie 150 euros.

            il y a quand meme rattrapage.on est au meme niveau si on prend en compte tous les avantages des fonctionnaires et meme de tous les algeriens.
            l'algerie redistribue plus en social que les autres pays.
            soins,ecole,energie,nouritture ect ect

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            • #7
              on augmente le salaire minimum pour un peuple de bras cassé

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              • #8
                numidia

                va te faire .........r
                Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

                Gödel

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                • #9
                  IL FAUT FAIRE UNE AUGMENTATION DU POINT INDICAIRE


                  quand a l'augmentation du pourcentage les vrais bénéficiaire ce sont les haut salaires


                  LE SMIG à 15 000 c'est le salaire d'une journée en 1962 jusqu'a 1965

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                  • #10
                    LE BRAS cassé c'est ton nom
                    Dernière modification par le sage, 12 décembre 2009, 12h17. Motif: ce message pour numidia

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                    • #11
                      on augmente le salaire minimum pour un peuple de bras cassé
                      wechbik hbelt? je ne vais pas d'insulté mais a3raf qadrek tu ne peux pas traité tout un peuple de bras cassé comme ça dans une petite phrase qui n'a ni queue ni tete.

                      avant de parler de smig, il faut parler de production de travail, d'économie formelle. le taux de chaumage en Algérie est de 15% voir plus, l'économie parallèle représente 50% de l'économie algérienne, parler du smig dans des conditions pareilles est un non sens pour moi..

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                      • #12
                        anebeu


                        le calcul du salaire selon le statu de la fonction publique


                        il est calculé sur la base du pouvoir d'achat

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                        • #13
                          le peuple algérien est un peuple d'asistez il attend tous du gouvernement il n'a aucune volonté contrairement a nos voisins qui se son réveillez est on saisi leur chance est développé seule leur pays avec leu cerveau car ils on compris que leur dirigent étais des incompétent est que sa menée a rien d'atendre leur bonne volonté pendant que l'algérien croi encore que l'argent du pétrole va lui tombez dans la poche heureusement que c'est boutef qui gère le pays est le fait évoluez pendant le peuple joue au domino

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                          • #14
                            numidia


                            ça ce vois que tu connait ton pays

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                            • #15
                              Votre altèsse roi Fakrouna,

                              C'est là où tout le problème de l'Algérie...

                              - Des salaires fixés en fonction du pouvoir d'achat

                              - Un pouvoir d'achat qui s'érode d'un jour à l'autre à cause des spéculaturs que l'Etat n'arrive même pas à contrôler (Cf Réponse de Djaaboub lors d'un conseil des ministres avec le Président)

                              - L'Etat qui est à la fois le plus grand employeur et le garant de la stabilité sociale...Il joue donc le rôle d'un syndicat et d'un patronat, pas facile quand on connait la capacité de nos mangers..

                              - Etc...

                              En somme, rien ne va...

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