Le cheval, allongé le crâne et longue la
Mandibule ; étalon ou jument, dans notre parc,
Ils déambulent.
Superbe allure d’un coureur souvent rapide
Et galopeur. La teinte à la nuance grisâtre, marron ou
Sombre noirâtre et parfois même blanchâtre
Colore son svelte corps.
Jadis, il fût dans la guerre flamboyant
Tel un éclair, laissant très loin derrière un
Brun nuage de poussière.
Et son cheval dans son enclos se promène,
Son oreille est comme la feuille de myrte et sa
Couleur est celle d’une fleur, épanouie,
Du bel grenadier.
Je me rappelle de ce cheval et d’elle,
Sa chevelure à elle et son pelage à la flanelle,
Leurs yeux brûlaient le feu et
Sondaient la profondeur.
Leur danse commence au rythme de
Leurs pas qui balancent, ma jalousie dénonce leur
Complice intimité et leur Joli
Chant de romance.
Le pauvre poète, les yeux
Figés par le décors, regarde, de loin
Venir sa désespérance.
Mandibule ; étalon ou jument, dans notre parc,
Ils déambulent.
Superbe allure d’un coureur souvent rapide
Et galopeur. La teinte à la nuance grisâtre, marron ou
Sombre noirâtre et parfois même blanchâtre
Colore son svelte corps.
Jadis, il fût dans la guerre flamboyant
Tel un éclair, laissant très loin derrière un
Brun nuage de poussière.
Et son cheval dans son enclos se promène,
Son oreille est comme la feuille de myrte et sa
Couleur est celle d’une fleur, épanouie,
Du bel grenadier.
Je me rappelle de ce cheval et d’elle,
Sa chevelure à elle et son pelage à la flanelle,
Leurs yeux brûlaient le feu et
Sondaient la profondeur.
Leur danse commence au rythme de
Leurs pas qui balancent, ma jalousie dénonce leur
Complice intimité et leur Joli
Chant de romance.
Le pauvre poète, les yeux
Figés par le décors, regarde, de loin
Venir sa désespérance.
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