Bonsoir
Une jeune Belge de 26 ans est dans le coma et risque l'amputation de sa jambe gagnée par une infection bactérienne virulente après s'être fait tatouer une rose sur le pied.
Cette information a été rapportée jeudi par des journaux belges.
La jeune fille, qui s'était fait tatouer le 27 novembre à Hamme (Flandre, nord de la Belgique), a dû être hospitalisée et placée sous coma artificiel pour tenter d'enrayer une grave infection à la jambe. Cette infection résiste aux antibiotiques, selon le quotidien bruxellois «La Dernière Heure» et des journaux d'expression néerlandaise, notamment «De Standaard».
Les médecins ont confirmé que sa jambe serait menacée d'amputation si l'infection due à une bactérie nécrophage n'était pas endiguée. «Tout indique qu'elle se bat contre l'infection bactérienne», a indiqué de son côté un porte-parole du ministère de la Santé.
Selon le tatoueur, la jeune femme voulait masquer le nom de son ancien petit ami sous la rose, placée sur la malléole externe.
La mère de la jeune femme a porté plainte et le salon de tatouage est fermé jusqu'à vendredi bien que, selon les premiers éléments, sa responsabilité dans l'infection ne soit pas établie. Depuis l'ouverture du salon en 2003, aucun manquement aux règles sanitaires n'a été détecté par les contrôles d'hygiène officiels.
20 minutes Ch
Une jeune Belge de 26 ans est dans le coma et risque l'amputation de sa jambe gagnée par une infection bactérienne virulente après s'être fait tatouer une rose sur le pied.
Cette information a été rapportée jeudi par des journaux belges.
La jeune fille, qui s'était fait tatouer le 27 novembre à Hamme (Flandre, nord de la Belgique), a dû être hospitalisée et placée sous coma artificiel pour tenter d'enrayer une grave infection à la jambe. Cette infection résiste aux antibiotiques, selon le quotidien bruxellois «La Dernière Heure» et des journaux d'expression néerlandaise, notamment «De Standaard».
Les médecins ont confirmé que sa jambe serait menacée d'amputation si l'infection due à une bactérie nécrophage n'était pas endiguée. «Tout indique qu'elle se bat contre l'infection bactérienne», a indiqué de son côté un porte-parole du ministère de la Santé.
Selon le tatoueur, la jeune femme voulait masquer le nom de son ancien petit ami sous la rose, placée sur la malléole externe.
La mère de la jeune femme a porté plainte et le salon de tatouage est fermé jusqu'à vendredi bien que, selon les premiers éléments, sa responsabilité dans l'infection ne soit pas établie. Depuis l'ouverture du salon en 2003, aucun manquement aux règles sanitaires n'a été détecté par les contrôles d'hygiène officiels.
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