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Zinédine Zidane a réussi un coup de maître en inscrivant, dans les arrêts de jeu, les deux buts de la victoire française face à l’Angleterre. Dans les travées de stade de la Luz (Lisbonne), le meneur de jeu des Bleus est revenu sur ce doublé si important.
Zinédine Zidane, ce dénouement contre l’Angleterre a été absolument incroyable…
C’est le scénario idéal. Cela n’a pas été évident. Nous avons souffert tout le match face à une très bonne équipe, bien regroupée. Mais nous avons su renverser la vapeur. Fabien Barthez nous a surtout permis de rester dans le match en sortant ce penalty car à 2-0, cela aurait été un autre match. Après, nous avons eu un peu de chance sur un coup de pied arrêté.
Honnêtement, y avez-vous cru jusqu’au bout ?
Tout le monde y a cru. C’est ce qui fait la beauté de ce sport. Nous n’avons pas lâché et nous avons été récompensés.
La clé de ce match, c’est Fabien Barthez qui l’avait ?
Forcément, ça passe par là. C’est lui qui nous remet dans le match. On s’est alors dit que rien n’était perdu. Nous sommes ensuite allés chercher ces deux coups de pied arrêtés comme l’avaient fait les Anglais en première mi-temps, pour marquer. C’est un match difficile mais nous avons la victoire.
La chance, absente à la Coupe du Monde 2002, a-t-elle fait son retour à Lisbonne ?
C’est ce que nous nous sommes dits après le match. J’espère que cette chance va nous servir. C’est plutôt bien pour le moral de l’avoir retrouvée.
« On peut faire de belles choses »
Ce penalty de la dernière minute est-il comparable à celui inscrit contre le Portugal lors de l’Euro 2000 ?
Oui, c’est comparable. Mais j’aimerais surtout le refaire en demi-finale cette année : ça serait bien pour se qualifier pour la finale.
Cette semaine vous avez fait une séance de coup-francs. Aviez-vous marqué des buts comme celui-là ?
J’en ai marqués. Mais je n’y ai pas pensé. Je me suis juste dit qu’il fallait que je fasse quelque chose. J’étais bien concentré et je l’ai réussi. C’est bien pour moi, c’est bien pour l’équipe. C’est excellent pour le moral.
Contre l’Ukraine vous aviez marqué à la 88eme. Là, deux fois dans les arrêts de jeu… Contre la Croatie, doit-on s’attendre à vous voir marquer avant ces dernières secondes ?
On va voir (sourire). Ce qui est bien, c’est qu’on y a cru jusqu’au bout. Si on continue à penser comme cela et à avoir un peu de chance comme dimanche soir, on peut faire de belles choses.
Etes-vous triste pour David Beckham, votre partenaire du Real Madrid ?
C'est dommage pour lui, c'est vrai, mais c'est mieux pour nous...
Zinédine Zidane, ce dénouement contre l’Angleterre a été absolument incroyable…
C’est le scénario idéal. Cela n’a pas été évident. Nous avons souffert tout le match face à une très bonne équipe, bien regroupée. Mais nous avons su renverser la vapeur. Fabien Barthez nous a surtout permis de rester dans le match en sortant ce penalty car à 2-0, cela aurait été un autre match. Après, nous avons eu un peu de chance sur un coup de pied arrêté.
Honnêtement, y avez-vous cru jusqu’au bout ?
Tout le monde y a cru. C’est ce qui fait la beauté de ce sport. Nous n’avons pas lâché et nous avons été récompensés.
La clé de ce match, c’est Fabien Barthez qui l’avait ?
Forcément, ça passe par là. C’est lui qui nous remet dans le match. On s’est alors dit que rien n’était perdu. Nous sommes ensuite allés chercher ces deux coups de pied arrêtés comme l’avaient fait les Anglais en première mi-temps, pour marquer. C’est un match difficile mais nous avons la victoire.
La chance, absente à la Coupe du Monde 2002, a-t-elle fait son retour à Lisbonne ?
C’est ce que nous nous sommes dits après le match. J’espère que cette chance va nous servir. C’est plutôt bien pour le moral de l’avoir retrouvée.
« On peut faire de belles choses »
Ce penalty de la dernière minute est-il comparable à celui inscrit contre le Portugal lors de l’Euro 2000 ?
Oui, c’est comparable. Mais j’aimerais surtout le refaire en demi-finale cette année : ça serait bien pour se qualifier pour la finale.
Cette semaine vous avez fait une séance de coup-francs. Aviez-vous marqué des buts comme celui-là ?
J’en ai marqués. Mais je n’y ai pas pensé. Je me suis juste dit qu’il fallait que je fasse quelque chose. J’étais bien concentré et je l’ai réussi. C’est bien pour moi, c’est bien pour l’équipe. C’est excellent pour le moral.
Contre l’Ukraine vous aviez marqué à la 88eme. Là, deux fois dans les arrêts de jeu… Contre la Croatie, doit-on s’attendre à vous voir marquer avant ces dernières secondes ?
On va voir (sourire). Ce qui est bien, c’est qu’on y a cru jusqu’au bout. Si on continue à penser comme cela et à avoir un peu de chance comme dimanche soir, on peut faire de belles choses.
Etes-vous triste pour David Beckham, votre partenaire du Real Madrid ?
C'est dommage pour lui, c'est vrai, mais c'est mieux pour nous...
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