Des officiers supérieurs de l’armée algérienne et des responsables américains ont convenu d’un mémorandum d’entente portant vente d’armes pour l’Algérie, d’un montant avoisinant les 2 milliards de dollars, dont une partie sera subventionnée par des crédits américains, en échange de facilités économiques liées au secteur pétrolier, qui seraient accordées par l’Algérie aux Etats-Unis.
Selon une source bien informée, les entretiens ont eu lieu, il y quelques semaines, dans un pays de Golf, et se sont soldés par l’un des plus importants marchés d’armement entre l’Algérie et les USA, ajoutant que le montant initial du marché dépasse les deux milliards de dollars, et pourra atteindre 3 milliards de dollars, sans oublier le contrat d’acquisition des nouveaux avions civils, conclu avec le géant américain, Boeing.
Pour rappel, la transaction relative à l’acquisition des armes américains a échoué, il y deux années. C’est grâce aux révisions des conditions imposées par les deux parties qu’elle a pu voir le jour. Ainsi l’Algérie a accepté de fournir des garanties de ne pas communiquer la haute technologie des armes prévues de lui être livrées à une tierce partie. Pour leur part, les Etats-Unis se sont engagés à réviser la condition concernant le contrôle des armes, après leur réception par la partie algérienne.
Dans ce cadre, les deux parties ne sont pas d’accord sur quelques types d’armes que les USA refusent de vendre à l’Algérie, notamment des drones et des missiles air-air sophistiqués. Selon les mêmes sources, les Etats-Unis sont intéressés par l’armement de l’armée algérienne, en vue de la préparer à faire face aux groupes terroristes écumant les pays du Sahel, ce qui rapporte gros pour les compagnies américaines, à long terme, sachant que cette dernière,(l’armée algérienne), sera un client important pour desdites compagnies.
Sur un autre plan, le ministre des Affaires étrangères a débattu avec les responsables américains du programme d’une éventuelle visite du président de la République à Washington, dont la date n’est pas encore fixée. Cette visite historique est la plus importante dans l’histoire des relations entre les Etats-Unis et l’Algérie, visite à l’issue de laquelle il apportera les dernières retouches et signera des conventions à caractère économique et militaire, ainsi que des contrats d’armement, a révélé la même source.
A cet effet, la date de la visite du président de la République dépendra de la résolution de quelques différends existant entre les deux pays, particulièrement les mésententes sur quelques affaires politiques d’intérêt commun, notamment la revendication des USA d’une normalisation des relations de l’Algérie avec Israël, ainsi que d’autres points de discorde concertant des contrats de vente d’armes pour l’Algérie, dont le dossier n’est pas encore clos.
el khabar
Selon une source bien informée, les entretiens ont eu lieu, il y quelques semaines, dans un pays de Golf, et se sont soldés par l’un des plus importants marchés d’armement entre l’Algérie et les USA, ajoutant que le montant initial du marché dépasse les deux milliards de dollars, et pourra atteindre 3 milliards de dollars, sans oublier le contrat d’acquisition des nouveaux avions civils, conclu avec le géant américain, Boeing.
Pour rappel, la transaction relative à l’acquisition des armes américains a échoué, il y deux années. C’est grâce aux révisions des conditions imposées par les deux parties qu’elle a pu voir le jour. Ainsi l’Algérie a accepté de fournir des garanties de ne pas communiquer la haute technologie des armes prévues de lui être livrées à une tierce partie. Pour leur part, les Etats-Unis se sont engagés à réviser la condition concernant le contrôle des armes, après leur réception par la partie algérienne.
Dans ce cadre, les deux parties ne sont pas d’accord sur quelques types d’armes que les USA refusent de vendre à l’Algérie, notamment des drones et des missiles air-air sophistiqués. Selon les mêmes sources, les Etats-Unis sont intéressés par l’armement de l’armée algérienne, en vue de la préparer à faire face aux groupes terroristes écumant les pays du Sahel, ce qui rapporte gros pour les compagnies américaines, à long terme, sachant que cette dernière,(l’armée algérienne), sera un client important pour desdites compagnies.
Sur un autre plan, le ministre des Affaires étrangères a débattu avec les responsables américains du programme d’une éventuelle visite du président de la République à Washington, dont la date n’est pas encore fixée. Cette visite historique est la plus importante dans l’histoire des relations entre les Etats-Unis et l’Algérie, visite à l’issue de laquelle il apportera les dernières retouches et signera des conventions à caractère économique et militaire, ainsi que des contrats d’armement, a révélé la même source.
A cet effet, la date de la visite du président de la République dépendra de la résolution de quelques différends existant entre les deux pays, particulièrement les mésententes sur quelques affaires politiques d’intérêt commun, notamment la revendication des USA d’une normalisation des relations de l’Algérie avec Israël, ainsi que d’autres points de discorde concertant des contrats de vente d’armes pour l’Algérie, dont le dossier n’est pas encore clos.
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