Voici 5 revendications féministes que les femmes aimeraient au fond d’elles, que vous ignoriez.
Pourquoi ne disent-elles pas simplement ce qu’elles veulent vraiment, me demanderez vous ?
Parce que ce serait plus des femmes si leur communication était directe !
« Je peux porter ces sacs toute seule »
La femme moderne a l’habitude de subvenir seule à ses besoins (argent, logement, tâches domestiques, etc…). Votre nouvelle copine working girl gérait sa vie très bien avant que vous n’arriviez et gèrera très bien si vous la quittez.
Même si elle “gère tout toute seule”, n’hésitez pas à lui proposer de l’aider de temps en temps ou à vous montrer galant et protecteur. Ouvrez quelques portes devant elle, portez les sacs lourds pour elle ou raccompagnez là en bas de chez elle. Ca peut sembler “old school”, mais quoiqu’elles disent, la galanterie reste une valeur sure.
« Je me fous de ce qu’on peut penser de mon apparence »
Il fut un temps (pas si éloigné que ça) où l’importance de la femme n’était fonction que de son apparence. Vous aurez du mal à trouver une femme qui admette la même chose aujourd’hui… A présent, les femmes indépendantes veulent être valorisées pour leur intelligence, leur carrière, leur spiritualité et… Ah oui j’oubliais, leur apparence.
La donne a changé, mais pas tant que ça. Les femmes qui assurent ne pas être flattées par les compliments sur leur look sont des menteuses/torturées/intellos qui réfléchissent trop. Si c’était vrai, l’industrie de la beauté et de la mode ne brasserait pas des milliards comme c’est le cas aujourd’hui. Faites lui remarquer ses autres qualités bien sûr, mais si son physique vous plaît, complimentez la. Ce n’est pas plus compliqué que ça.
« On fait moit’ / moit’ »
Son salaire : 2000 euros par mois. Le prix d’un dîner dans un bon restaurant : 80 euros. Partager l’addition : 40 euros chacun. Vous qui payez le tout : ça n’a pas de prix. ; )
Elle n’attend pas de vous que vous payiez tout à sa place. Cette époque est bien révolue. Mais si occasionnellement vous reprenez votre statu d’homme galant, pouvant subvenir à ses besoins, elle le remarquera et l’appréciera. Par contre, même si vous êtes celui qui invite plus souvent, assurez vous qu’elle vous rende parfois l’invitation. Sinon ça ne s’appelle plus une petite copine mais un parasite.
« Je n’ai pas besoin que tu penses à ma place ! »
Il y a de bonnes chances pour que votre copine ne soit pas une desperate housewife qui vient implorer votre parole divine et éclairée dès qu’un problème se présente à elle.
Encore une fois, beaucoup de femmes modernes gèrent leur vie seule. Votre copine veut donc certes que vous accordiez de l’importance à ses opinions, mais il y a aussi des moments où elle souhaiterait simplement que vous preniez les rênes.
On en revient toujours à la même chose: on ne peut pas effacer des milliers et des milliers d’années de conditionnement génétique et social. Vous verrez rapidement que dans une grande majorité des relations, ce sera à vous de prendre les décisions surtout en ce qui concerne le quotidien “comment on règle ce petit problème, qu’est-ce qu’on fait ce soir, cet été, etc…”
95% des femmes – même les cadres dynamiques castratrices au travail – aiment pouvoir rentrer chez elles et se reposer sur un homme qui prend les choses en main. Alors soyez prêt à DECIDER. Votre indécision et votre passivité sont des tue-l’amour puissants.
« La course au mari, moi je suis pas comme ça ! »
Il y a toujours des exceptions à la règle, mais l’écrasante majorité des femmes souhaite se marier et fonder une famille. Là encore c’est avant tout génétique et profondément ancré dans le cerveau le plus primitif… donc je prends pas trop de risque avec cette affirmation.
Cela ne veut pas dire que vous devez vous précipiter dans une bijouterie pour lui acheter une bague au bout de 3 semaines de relation.
Cela signifie seulement que, quoique vous dise votre copine à ce sujet, si vous commencez à lui parler bague et mariage au bout d’un moment ensemble, vous verrez ces petits yeux s’écarquiller comme Bruce Willis devant le sabre japonais dans Pulp Fiction…
Nb : C’est un article trouvé sur le net, que je trouve assez intéressant et dont je suis assez d’accord.
Qu’en pensez-vous ?
Pourquoi ne disent-elles pas simplement ce qu’elles veulent vraiment, me demanderez vous ?
Parce que ce serait plus des femmes si leur communication était directe !
« Je peux porter ces sacs toute seule »
La femme moderne a l’habitude de subvenir seule à ses besoins (argent, logement, tâches domestiques, etc…). Votre nouvelle copine working girl gérait sa vie très bien avant que vous n’arriviez et gèrera très bien si vous la quittez.
Même si elle “gère tout toute seule”, n’hésitez pas à lui proposer de l’aider de temps en temps ou à vous montrer galant et protecteur. Ouvrez quelques portes devant elle, portez les sacs lourds pour elle ou raccompagnez là en bas de chez elle. Ca peut sembler “old school”, mais quoiqu’elles disent, la galanterie reste une valeur sure.
« Je me fous de ce qu’on peut penser de mon apparence »
Il fut un temps (pas si éloigné que ça) où l’importance de la femme n’était fonction que de son apparence. Vous aurez du mal à trouver une femme qui admette la même chose aujourd’hui… A présent, les femmes indépendantes veulent être valorisées pour leur intelligence, leur carrière, leur spiritualité et… Ah oui j’oubliais, leur apparence.
La donne a changé, mais pas tant que ça. Les femmes qui assurent ne pas être flattées par les compliments sur leur look sont des menteuses/torturées/intellos qui réfléchissent trop. Si c’était vrai, l’industrie de la beauté et de la mode ne brasserait pas des milliards comme c’est le cas aujourd’hui. Faites lui remarquer ses autres qualités bien sûr, mais si son physique vous plaît, complimentez la. Ce n’est pas plus compliqué que ça.
« On fait moit’ / moit’ »
Son salaire : 2000 euros par mois. Le prix d’un dîner dans un bon restaurant : 80 euros. Partager l’addition : 40 euros chacun. Vous qui payez le tout : ça n’a pas de prix. ; )
Elle n’attend pas de vous que vous payiez tout à sa place. Cette époque est bien révolue. Mais si occasionnellement vous reprenez votre statu d’homme galant, pouvant subvenir à ses besoins, elle le remarquera et l’appréciera. Par contre, même si vous êtes celui qui invite plus souvent, assurez vous qu’elle vous rende parfois l’invitation. Sinon ça ne s’appelle plus une petite copine mais un parasite.
« Je n’ai pas besoin que tu penses à ma place ! »
Il y a de bonnes chances pour que votre copine ne soit pas une desperate housewife qui vient implorer votre parole divine et éclairée dès qu’un problème se présente à elle.
Encore une fois, beaucoup de femmes modernes gèrent leur vie seule. Votre copine veut donc certes que vous accordiez de l’importance à ses opinions, mais il y a aussi des moments où elle souhaiterait simplement que vous preniez les rênes.
On en revient toujours à la même chose: on ne peut pas effacer des milliers et des milliers d’années de conditionnement génétique et social. Vous verrez rapidement que dans une grande majorité des relations, ce sera à vous de prendre les décisions surtout en ce qui concerne le quotidien “comment on règle ce petit problème, qu’est-ce qu’on fait ce soir, cet été, etc…”
95% des femmes – même les cadres dynamiques castratrices au travail – aiment pouvoir rentrer chez elles et se reposer sur un homme qui prend les choses en main. Alors soyez prêt à DECIDER. Votre indécision et votre passivité sont des tue-l’amour puissants.
« La course au mari, moi je suis pas comme ça ! »
Il y a toujours des exceptions à la règle, mais l’écrasante majorité des femmes souhaite se marier et fonder une famille. Là encore c’est avant tout génétique et profondément ancré dans le cerveau le plus primitif… donc je prends pas trop de risque avec cette affirmation.
Cela ne veut pas dire que vous devez vous précipiter dans une bijouterie pour lui acheter une bague au bout de 3 semaines de relation.
Cela signifie seulement que, quoique vous dise votre copine à ce sujet, si vous commencez à lui parler bague et mariage au bout d’un moment ensemble, vous verrez ces petits yeux s’écarquiller comme Bruce Willis devant le sabre japonais dans Pulp Fiction…
Nb : C’est un article trouvé sur le net, que je trouve assez intéressant et dont je suis assez d’accord.
Qu’en pensez-vous ?
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