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Aminatou Haidar et le SO vue par les TV publiques allemandes

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  • Aminatou Haidar et le SO vue par les TV publiques allemandes

    Le Retour à la patrie: morte ou vivante!


    Depuis maintenant 29 jours que Aminatou haidar se trouve en grève de la faim sur l'a aéoroport de Lanzarote, en Espagne . Entre temps elle est si faible qu'elle ne peut pas marcher!à travers sa greve de la faim, l activiste des droits de l homme des Sahraouis voudrait obliger le Maroc, qui occupe et adminsitre le Sahara Occidental, à lui permettre de retourner chez elle, et ce á tout prix!

  • #2
    merci pour ce témoignage Menberline.
    Elle dit aussi qu'elle veut rentrer chez elle à Laayoune(sahara occidentale) morte ou vivante.
    je pense que la Gandhi sahraui est une femme determiné et ne recule devant rien tout simplement elle est dans son droit de revendiquer de retourner parmi les siens. Ce n'est pas une apatride mais une personne réfugiée dans son propre pays.

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    • #3
      Bendiwan,
      c'est quoi ce hors sujet? tu nous sors d'un coup un lapin de ton chapeau en insérant cet article de da l'hocine. Tu aurais pu ouvtrir un autre topic traitant de la question.

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      • #4
        zmigri

        Bendiwan,
        c'est quoi ce hors sujet? tu nous sors d'un coup un lapin de ton chapeau en insérant cet article de da l'hocine. Tu aurais pu ouvtrir un autre topic traitant de la question.

        d'abord ce n'est pas hors sujet , cela traite du respect des droits de l'home dans ton pays
        ensuite j'ai ouvert un topic a ce sujet
        tu es le bienvenu

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        • #5
          mdrr que c'est touchant zmigri ce que tu dis. Tu oubli que la dame vois sa cause tournée en ridicule vu la tournure que celà prend, madame peut rentrer au Maroc ne veut pas de papier marocains pour y entrer pretextant que c'est une puissance occupante. Le Maroc ne lachera pas la faire, et meme morte elle n'y entrera pas, c'est aussi simple que ca. La strategie de cette dame est de faire flechir le Maroc, et introduire l'idée que le Maroc est un colonisateur puisqu'on peut y entrer sans papier marocains. Voilà pourquoi, il n'y aura pas de recul, elle pourra creverà l'aeroport, cette affaire sera oubliée quelques semaines plus tard.
          "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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          • #6
            merci pour ce témoignage Menberline.
            avec plaisir mon ami, c est le moins que l on puisse faire pour soutenir cette jeune femme qui se bat sans arme contre un regime expansioniste!!

            Je vais poster autre chose: La fraction de la SPD ( l une des principale formation politique allemandes dans le Bundestag ) vient de de demander des comptes au gouvernement concernant le cas d Aminatou Haidar!

            dés que je vérifierai l info, je la posterai!

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            • #7
              Zmigri
              Ta Ghandi si elle veut reculer elle trouvera une bayonette algero-polisarienne sûr le ventre.
              A propos vous avez aussi le Mandela de l'Algerie ali Belhaj 12 ans de prison pour avoir gagner les elections. Tiens y a un autre Abbas Madani exilé à Qatar, qu'est ce qu'on va lui donner comme nom?
              Et le reste de milliers de FIS avec des milliers de membres leurs familles disparus à jamais.
              La haine aveugle

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              • #8
                avec plaisir mon ami, c est le moins que l on puisse faire pour soutenir cette jeune femme qui se bat sans arme contre un regime expansioniste!!
                ------------------

                Mamamia Gobbels est un stagiaire devant.
                La haine aveugle

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                • #9
                  Le Retour à la patrie: morte ou vivante!
                  Là tout le monde s'en fou la planète chauffe et avec tous ses problèmes, mais alors ces pauvres immondes n'ont rien ciré de sa propre mort 'les journaleux dial Dzair aux bottes des galonés perdrent leur temps depuis 35 ans! D'ailleurs ce foutu monde sait que vous en foutez du soi disant peuple sahraoui, l'algérie son seul objectif est détourné ses propres problèmes intérieurs qui sont nombreux, franchement je n'ai pas le temps de les citer mais aussi dans le passage d'emmerder le Maroc car la proposition de l'autonomie Marocaine embarrasse les galonés bac -10 d'Elmouria! Donc la ***** peut emmerder mais l'origine est là! He les cocos, le fréro de bouteflika va prendre la relève pour la valeureuse démocratique Algérienne ....
                  Dernière modification par Morad75, 15 décembre 2009, 19h25.

                  Commentaire


                  • #10
                    Des gens beaucoup plus respectables tels que Moumen Diouri (dont l'Avenue menant à la prison de Kénitra porte le nom de son père-un comble-!), Serfaty et ect, ont été emprisonnés aussi.

                    Il n'y a pas eu en Algérie de Tazmamart dont Hassan II avait menti l'existence jusqu'à son dernier souflle.

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                    • #11
                      Oui certes Monsieur, mais jamais nous avons eu plus de 250000 morts et sans oublier les disparus!Allah ya harhoum....
                      Dernière modification par Morad75, 15 décembre 2009, 19h33.

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                      • #12
                        mahjoub et morad,
                        pourquoi cet acharnement contre une femme pacifique?
                        Pourquoi vous parlez de journaleux algériens alors le reprtage envoyé par menberline vient d'une tv allemande et relayé dans le monde entier dans toutes les langues?
                        Pour une fois ce sont les autres pays épris de justice qui défendent la Gandhi sahraui et même l'ancienne puissance colonisatrice l'espagne commence à prendre au sérieux ce pb.

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                        • #13
                          zimigri
                          pourquoi cet acharnement contre une femme pacifique?
                          heu, je me suis jamais acharné contre une personne qui souhaite poursuivre sa grève de la faim, moi perso je l'encourage à porter plainte contre le Maroc et l’Espagne avec la bénédiction de l'ONU ! Si si, comme le font les pauvres palestiniens, Tchéchènes et autres opprimés de ce bas Monde! Mais que faites vous!Franchement je suis déçu de votre solidarité avec ces pauvres opprimés de notre univers! Mais nom d'un chien faites quelque chose pour les aider ! Oh peuple d'algérie....
                          Dernière modification par Morad75, 15 décembre 2009, 20h54.

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                          • #14
                            Mais que faites vous oh les défenseurs des opprimés de ce bs monde!Franchement je suis déçu de solidarités avec les pauvres de ce Monde! Mais que faites-vous nom d'un chien pour les aider !

                            C'est qui ce " vous" ?

                            Commentaire


                            • #15
                              " vous" ?
                              La bande des défenseurs des peuples opprimés et des droits de l'homme! Ils se trouvent juste à l'Est là où j'habite! Tiens l'exemple du pauvre chameau...

                              En colère contre la répression dont souffrent ses militants à Ghardaïa, le président du FFS, Hocine Aït Ahmed sort de sa réserve. Il critique le silence de l’Europe face aux atteintes aux droits de l’homme en Algérie.



                              Dans une lettre adressée, le 9 décembre dernier à Navanethem Pillay, haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, rendue publique hier, le leader du FFS ne cache pas son exaspération contre « le harcèlement judiciaire et policier » contre ses militants, en particulier le fédéral du parti à Ghardaïa, Kamel Eddine Fekhar. Ce dernier, estime Hocine Aït Ahmed, est victime, en permanence, « d’un harcèlement policier, administratif et judiciaire ». Citant la mobilisation générale des autorités pour défendre la cause de la militante sahraouie des droits de l’homme, Aminatou Haïdar, il relève le double discours du pouvoir algérien. « Depuis des semaines, le pouvoir algérien mène campagne en faveur de la militante sahraouie Aminatou Haïdar tant sur la scène internationale que dans les médias publics et privés algériens. (…)
                              Depuis des années, c’est dans le silence complice des plus grandes démocraties du monde que le peuple algérien est empêché de s’exprimer librement. Médias sous contrôle, espace public monopolisé, société atomisée et mise sous pression policière permanente », déplore-t-il. En interpellant les instances onusiennes, le président du plus vieux parti de l’opposition en Algérie accuse les Européens et en particuliers leurs représentations en Algérie de passer sous silence les violations répétitives des droits de l’homme dans le pays. « Alors que les ambassades européennes sont mises sous le contrôle quasi exclusif des créatures du régime, de véritables militants des droits de l’homme souffrent, en plus du harcèlement policier, administratif et judiciaire permanent que leur inflige le pouvoir, de l’indifférence des représentations diplomatiques de l’Union européenne ! », souligne-t-il en dénonçant la démission des Européens en matière de défense des droits de l’homme.
                              Des militants FFS devant le juge, le 17 décembre prochain

                              La réaction de Hocine Aït Ahmed confirme la révolte du parti devant la cascade de procès qui s’abattent sur les militants du FFS à Ghardaïa. Une révolte exprimée encore par le premier secrétaire du parti, Karim Tabbou, lors d’un point de presse animé, hier à Alger. Selon lui, une trentaine de militants de FFS et des droits de l’homme de Ghardaïa doivent se présenter, jeudi prochain, au tribunal de la wilaya pour un procès datant de 2004. « A travers cette avalanche de procès, le pouvoir vise à maintenir la pression sur les militants du parti et à provoquer le sentiment de peur chez la population locale », soutient-il.
                              Selon lui, les autorités projettent, depuis l’été dernier, « de substituer aux partis et aux instances légales dans la région des organisations archaïques ». « Depuis les événements de Berriane, ce sont les mosquées et l’administration qui gèrent les affaires de la wilaya de Ghardaïa », précise-t-il. Pour sa part, Kamel Eddine Fekhar, premier concerné par le procès de jeudi prochain, se montre très inquiet. Accusé dans sept affaires, dont deux en criminel, le fédéral du FFS de Ghardaïa parle d’un acharnement judiciaire contre sa personne. Pour le soutenir, lui et ses camarades, le FFS décide de mobiliser ses militants et d’organiser le conseil national du parti à Ghardaïa vendredi prochain. Le FFS, ajoute encore Karim Tabbou, a alerté les chancelleries des pays étrangers en Algérie.
                              Djamila Bouhired à Bouteflika : Je vous demande de ne plus nous humiler
                              Aujourd’hui, Djamila Bouhired est amoindrie, et, devant la négligence frisant le mépris dont elle fait l’objet de la part de l’Algérie d’en haut, elle a résolu de sortir de sa réserve pour dire basta à l’humiliation des moudjahidine, les vrais. Dans un contexte où les martyrs et les glorieux résistants de la Guerre de Libération nationale sont traînés dans la boue dans la foulée de la guerre des mots entre Alger et Le Caire et la campagne médiatique acharnée lancée par certains médias et politicards égyptiens contre la nation algérienne, le coup de gueule de Djamila Bouhired résonne comme une mise au point lourde de sens. Mais là où le bât blesse, c’est que la légendaire moudjahida ne s’adresse pas à l’Egypte officielle ni aux Egyptiens fanatiques (qui ont été jusqu’à accabler ceux qui ont salué son combat dans un film éternel), mais son message s’adresse avant tout à l’Etat algérien, le président Bouteflika en tête, et au peuple algérien de façon générale, ce même peuple pour lequel elle était prête à donner sa vie, elle, la miraculée de la Bataille d’Alger et des griffes de Massu et Bigeard. Dans deux lettres manuscrites datées du 9 décembre dernier, Djamila Bouhired interpelle donc vigoureusement le locataire d’El Mouradia et l’opinion publique algérienne.
                              Les déboires d’une grande dame
                              Dans sa lettre ouverte au chef de l’Etat, elle use d’une formule aussi cinglante qu’émouvante : « A Monsieur le Président d’une Algérie que j’ai voulue indépendante. » Et d’évoquer sa situation sociale avec franchise et dignité, en déplorant sans ménagement le sort réservé à des personnalités historiques d’un tel rang : « Mon épicier, mon boucher, ma supérette, pourront témoigner des crédits qu’ils m’accordent », écrit-elle, avant de souligner : « Il ne m’est jamais venu à l’esprit de compléter mes revenus par des apports frauduleux qui, malheureusement, sont très fréquents dans mon pays. » Une allusion on ne peut plus claire à la corruption à grande échelle qui gangrène le système. La lettre bouleversante de Djamila Bouhired vient ainsi battre en brèche un préjugé fort tenace selon lequel « la famille révolutionnaire se sucre sans vergogne » et que les militants indépendantistes n’hésitent pas à monnayer au prix fort leurs sacrifices d’hier. « Je sais que certains moudjahidine et moudjahidate sont dans la même situation », voire, ajoute-t-elle, « dans une situation plus critique », s’indigne la grande moudjahida. Des « frères et sœurs » insiste-t-elle, dont l’intégrité est au dessus de tout soupçon. Et de conclure sa lettre en martelant : « Je vous demanderais de ne plus nous humilier et de revaloriser notre dérisoire pension de guerre afin de vivre dans un minimum de dignité le peu de temps qui nous reste à vivre. »
                              « Je suis Djamila Bouhired, condamnée à mort en 1957 »
                              Dans le second document, Djamila Bouhired prend à témoin le peuple algérien. « Aujourd’hui, je me vois dans l’obligation de faire appel à vous », écrit-elle à l’attention de ceux qu’elle désigne affectueusement par ses « chers frères et sœurs algériens ». Faisant preuve d’une humilité qui n’a d’égale que sa colère, elle se présente comme l’aurait fait Madame Tout-le-monde : « Permettez-moi tout d’abord de me présenter. Je suis Djamila Bouhired, condamnée à mort en 1957 par le tribunal militaire d’Alger. » Et vlan ! Mais la vaillante moudjahida ne s’étalera pas davantage sur ses hauts faits de guerre. Elle évoquera plutôt son état de santé critique qui nécessite des interventions chirurgicales lourdes, dit-elle, et une prise en charge fort onéreuse. Mme Bouhired nous apprend au passage que c’est de l’étranger, et précisément de certains émirats du Golfe, qu’elle a reçu une offre de prise en charge, offre qu’elle a dignement déclinée pour d’évidentes considérations de « nif ». A l’Etat algérien maintenant de jouer… Nous le disions, Djamila Bouhired s’est fait très laconique et très discrète sur son fulgurant parcours militant. Il faut dire qu’elle n’avait guère besoin de se présenter. Djamila Bouhired rejoint le FLN alors qu’elle est étudiante. Elle intègre vite la Zone autonome d’Alger où elle devient officier de liaison aux côtés de Yacef Saâdi dont elle est l’assistante en pleine Bataille d’Alger. En avril 1957, elle est blessée et arrêtée. Incarcérée à la prison de Maison Carrée (El Harrach), elle sera torturée et condamnée à mort pour attentats à la bombe. S’ensuit une vaste campagne d’indignation menée par son futur mari, un certain… Jacques Vergès, ainsi que George Arnaud qui publient aux éditions de Minuit un manifeste tonitruant : Pour Djamila Bouhired. La jeune combattante acquiert dès lors un statut particulier et devient le symbole de toutes les femmes résistantes de l’Algérie insurgée. Si bien qu’en 1958, elle se verra immortalisée dans un film éponyme : Djamilah, signé Youcef Chahine, avec Magda Sabbahi dans le rôle-titre. Djamila Bouhired ne sera libérée qu’en 1962. Après l’indépendance, elle se distinguera par sa discrétion, loin des cercles officiels et de tous les lieux de pouvoir. Aujourd’hui, cette héroïne hors pair mène une autre lutte, cette fois contre la maladie. L’Algérie tout entière doit s’élever pour lui témoigner sa reconnaissance et son amour...

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