Pour émigrer au canada, il faut avoir une bonne note, pas moins de 67 points sur un total de 100, collectionné grâce a plusieurs critères notés a leur tours.
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La sélection des nouveaux résidents économiques au Canada est basée sur un système de points. Le niveau des études vaut pour 25 points et la connaissance des langues anglaise et française 24 points. Viennent ensuite l’expérience professionnelle (21 points), l’âge (10 points), l’existence d’un emploi réservé au Canada (10 points) et la capacité d’adaptation (10 points). Le maximum étant 100 points, la note de passage est fixée actuellement à 67 points. Le ministère canadien de la Citoyenneté et de l’Immigration peut néanmoins ajuster cette note «afin d’assurer une meilleure gestion du flux des demandes».
Deux autres catégories ont un système de notation au barème différent. Il s’agit des entrepreneurs et des investisseurs.
Les premiers doivent posséder un avoir net de 300.000 dollars canadiens et présenter un projet de création d’une entreprise au Canada. Les investisseurs doivent quant à eux présenter un avoir net de 800.000 dollars canadiens et être capables d’investir 400.000 dollars canadiens tout en présentant une expérience dans les affaires.
Le barème pour les entrepreneurs et les investisseurs accorde 25 points au niveau d’études, 35 à l’expérience en matière d’exploitation d’une affaire, 10 pour l’âge, 24 pour la connaissance de l’une ou l’autre des deux langues officielles du Canada et 6 points pour la capacité d’adaptation. Pour ces deux catégories, la note de passage est fixée à 35 points. Une autre catégorie est désignée par le terme de «travailleur autonome». Il s’agit de personnes pouvant apporter «un plus» à la vie culturelle (un danseur), sportive (entraîneur de football) ou économique (fermier). Dans ce cas, une «expérience pertinente» peut apporter 35 points contre 25 pour les études, 10 pour l’âge, 24 pour la connaissance des langues et 6 points pour la capacité d’adaptation.
A. Bel, Le Quotidien d'Oran.
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La sélection des nouveaux résidents économiques au Canada est basée sur un système de points. Le niveau des études vaut pour 25 points et la connaissance des langues anglaise et française 24 points. Viennent ensuite l’expérience professionnelle (21 points), l’âge (10 points), l’existence d’un emploi réservé au Canada (10 points) et la capacité d’adaptation (10 points). Le maximum étant 100 points, la note de passage est fixée actuellement à 67 points. Le ministère canadien de la Citoyenneté et de l’Immigration peut néanmoins ajuster cette note «afin d’assurer une meilleure gestion du flux des demandes».
Deux autres catégories ont un système de notation au barème différent. Il s’agit des entrepreneurs et des investisseurs.
Les premiers doivent posséder un avoir net de 300.000 dollars canadiens et présenter un projet de création d’une entreprise au Canada. Les investisseurs doivent quant à eux présenter un avoir net de 800.000 dollars canadiens et être capables d’investir 400.000 dollars canadiens tout en présentant une expérience dans les affaires.
Le barème pour les entrepreneurs et les investisseurs accorde 25 points au niveau d’études, 35 à l’expérience en matière d’exploitation d’une affaire, 10 pour l’âge, 24 pour la connaissance de l’une ou l’autre des deux langues officielles du Canada et 6 points pour la capacité d’adaptation. Pour ces deux catégories, la note de passage est fixée à 35 points. Une autre catégorie est désignée par le terme de «travailleur autonome». Il s’agit de personnes pouvant apporter «un plus» à la vie culturelle (un danseur), sportive (entraîneur de football) ou économique (fermier). Dans ce cas, une «expérience pertinente» peut apporter 35 points contre 25 pour les études, 10 pour l’âge, 24 pour la connaissance des langues et 6 points pour la capacité d’adaptation.
A. Bel, Le Quotidien d'Oran.
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